Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
(Le mépris)-Jean-Luc Godard-
—Et mes seins, tu les aimes ?
—Tu vois mes pieds dans la glace ? .....—Oui
—Tu les trouves jolis ? - Oui, très !
- Et mes chevilles, tu les aimes ? - Oui .....
—Tu les aimes mes genoux aussi ?
-Oui, j’aime beaucoup tes genoux
- Et mes cuisses ? - Aussi !
- Tu vois mon derrière dans la glace ? - Oui
Tu les trouves jolies mes fesses ? - Oui, très ! -
— Je me mets à genoux ? - Non, ça va ..
Et mes seins tu les aimes ? - Oui, énormément !
- Doucement, pas si fort ! - Pardon ! -
—Qu’est ce que tu préfères mes seins
ou la pointe de mes seins - Je sais pas ; c’est pareil
- Et mes épaules tu les aimes ? - Oui - Je trouve qu’elles ne sont pas assez rondes - Et mes bras ? Et mon visage ? - Aussi ! - Tout ?
—Ma bouche, mes yeux, mon nez, mes oreilles ?
- Oui, tout ! - Donc tu m’aimes totalement
- Oui, je t’aime totalement, tendrement, tragiquement
- Moi aussi Paul !
Ptit LouisB, auteur du texte gay ci-dessous, en fait les prémices de l'amour gay charnel entre l'ado Louis et Robert l'amant habituel de jeunes culs. Mais, tout en ayant des accents condescendants, voire mièvres(eh oui! faites mieux vous -claudio-) leur dialogue mène à plus de sexe, alors que Godard en fait une cause de rupture
- Et ma pine, tu l'aimes ma pine ? - Aussi ! - Et ... (hihi)
Louis : Je me sentais de plus en plus féminin. La femme en moi se réveillait et je m’imaginais être une jolie fille donnant du plaisir à son homme. Cette idée nouvelle me stimulait et me rendait gourmand de son sexe.
— Tu as aimé, mon amour ? lui demandai-je en caressant son membre encore luisant de ma salive.
Robert— Oui, beaucoup…
— Je suce bien ?
— Oui, tu suces très bien, mon chéri…
— Tu aimes être sucé par ta jolie copine ?
— Oui, ma chérie, je t’adore…
— Tu caressais mes cheveux pendant que je te suçais…
— Oui, j’aime beaucoup tes cheveux…
— Tu aimes mes cheveux…
— Je les adore, tes longs cheveux blonds…
— Tu voudrais qu’ils soient encore plus longs ?
— Oui, mon amour…
— Alors je vais les laisser pousser, je veux te plaire encore plus…
— Tu me plais déjà énormément… Je vais m’occuper de toi, maintenant…
— Tu vas me sucer ?
— Oui, et je vais aussi préparer ton petit trou d’amour…
— Mon petit trou d’amour ! Mmm… j’aime comme tu parles comme ça…
— Je vais prendre bien soin de ton petit trou d’amour… ajouta-t-il malicieusement.
Je m’étendis sur le dos, au milieu du lit, bien offert à mon amant.
— À toi, maintenant, fais-moi ce que tu veux, donne-moi tout le plaisir possible…
— Tu peux compter sur moi, mon Loulou d’amour…
— Je compte sur toi, mon Robby d’amour. Tu peux m’appeler Louise, puisque je suis ta copine…
— Oui, ma Louise, tu es si jolie, ma chérie, ma douce copine…
Ces mots doux m’avaient comblé et mon sexe se dressait fièrement, offert à sa bouche gourmande.¤
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