Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
je vais vous raconter ma première fois mais il n'y aura aucune illustration car nous avions 13 ans !
mon premier béguin de gosse
ma mère avait dû me le frotter souvent mon petit cul, et ça devait me plaire. Lui, quand il a commencé à me caresser, à travers le short, ça m'a
complètement subjugué.
Ados, chez les curés, on avait d'autant plus envie de trangresser mais , à notre âge, Clément, qui fut mon initiateur, en connaisait déjà un bout sur le sexe ! Il osait, lui !
Ca s’est passé à l’école, le jour de la rentrée
scolaire je venais d’avoir 13 ans, j’attendais à la porte de l’école, en culottes courtes car dans mon école privée, chez les abbés, c’était la tenue obligatoire, en plus au mois de septembre il
y avait du beau temps, j’ai vu arriver un garçon de mon âge beau comme un dieu dans la même tenue que moi, nous avons été attirés l’un vers l’autre sans rien faire. Quand ont est rentrés dans la
classe, il me demanda comment je m’appelais je lui dis Fabien ; moi c’est Clément dit-il nous nous sommes assis l’un a coté de l’autre, sans que le professeur ne dise rien.
Il m’a demandé si ça ne me faisait rien qu’il s’assoie a coté de moi, en me fixant dans les yeux, et là il posa sa main sur ma cuisse, et il me
caressa jusqu'au rebord de ma culotte pendant un moment et voyant que je ne disais rien, que je le laissais faire car cela m’existais terriblement, mon sang ne faisait qu’un tour dans ma tête
cela me procurait un plaisir immense jamais ressenti.
Au bout d’un moment il mit sa main sur ma braguette et je me mis a me caresser la bite, il s’aperçut que ma quequette s’était gonflée et
faisait une bosse dans mon slip et toujours je le laissais faire.
L’après midi nous avons eu un cours de chant et nous sommes monté sur l’estrade pour chanter, je me suis mis derrière lui exprès, pour voir s’il
allait recommencer a me caresser. ll finit par glisser sa main dans ma culotte et dans mon slip et il me caressa la quéquette jusqu'à ce que je bande et il me masturba jusqu'à ce
qu’elle durcisse et il essaya de me faire jouir il s’arrêta car je rougissais très fort.
A la fin de la classe nous partîmes vers la maison à travers bois, nous nous sommes arrêtés au pied d’un arbre, il me fis allonger et il
recommença a me caresser les deux cuisses, le ventre en enlevant mon tricot pour voir mon corps ,moi aussi je lui ai enlevé son tricot et lui ai caressé son joli corps car nous étions
vraiment très beaux et bien faits pour notre âge, et là on finit par se déculotter, et on se caressa la bite mutuellement pendant longtemps et on s’est branlés tout doucement jusqu'à l’érection
bien dure de nos quéquettes et ont s'est fait plaisir je m’en souviens comme si s’était hier tant fut grande notre jouissance.
Nous avons repris notre chemin car en en fait nous étions voisins, son père était paysan et il habitait dans une ferme proche de la maison de mes parents, il y avait une grange avec des bottes de foin, il m’y emmena , puis nous avons fait une cache dans les bottes, pour pouvoir nous nous cacher et pouvions nous toucher tout notre saoûl puis là ont s’est re déculottés et on s’est caressés a nouveau partout la bite, le corps, les cuisses, le ventre puis nous nous sommes branlés pendant de longs moments , jusqu'à ce qu’on bande et qu’on ait notre première éjaculation nous avons eu beaucoup de plaisir à le faire.
-"regarde il y a des violettes à perte de vue !" -"...ouais, tu as vu le petit bois derrière ? "
Le moment le plus extraordinaire arriva quelques mois
plus tard. Il m’ouvrit ma braguette, puis mis sa main dans mon slip il pris ma bite à pleine main, et sans rien ajouter, il commença à me masturber d’une main, l’autre tenant fermement mes
couilles J’ai posé mes mains sur les siennes, pour être sûr qu’il ne les enlève pas, et je faisais le mouvement avec lui. Sentir ses doigts sous les miens me rendait fou.Il a collé son torse
contre le mien et sa joue touchait à la mienne. J’ai agrippé sa queue avec ma main et j’ai commencé à le branler moi aussi. J’ai senti sa respiration accélérer dans mon cou et il s’est mis à me
mordiller le lobe de l’oreille. Il m’a ensuite murmuré à l’oreille:
— Tu sais tantôt quand je t’ai dis que tu vas vraiment aimé te faire sucer, ben si tu veux, je te le fais maintenant?
— Oui s'il te plaît! Vas-y. Il m a alors embrassé sur le coin des lèvres avant de descendre entre mes jambes. Il m’a léché des couilles jusqu’au
gland avant de gober mon sexe dans sa bouche. Il s’est mis à me pomper comme un fou, s’arrêtant parfois pour tourner sa langue autour de mon gland et jouer avec le frein, et il me regardait dans
les yeux en même temps. Je le trouvais tellement beau. Ça n’a pas été long avant que je décharge dans sa bouche. Jamais je n’avais joui autant. Pendant que je giclais, lui continuait de me pomper
pour bien me vider. Il est ensuite remonté vers mes lèvres pour m’embrasser timidement. Nos langues se touchaient mais sans aller trop loin dans la bouche de l’autre. Sa bouche avait le goût de
ma queue et de mon sperme et ça me donnait trop envie de goûter ausien. Il s’est reculé et a commencé à remballer sa queue mais je n’avais pas du tout envie de finir ça maintenant. J’ai pris sa
main et je l’ai posée sur ma queue pour qu’il comprenne qu’elle était encore dure. Il m’a alors fait le plus beau sourire que j’ai vu de ma vie et j’ai vu ses yeux briller dans la semi noirceur
de notre cache. Il s’est rué vers moi pour m’embrasser de nouveau, mais cette fois beaucoup plus fougueusement. Sa langue poussait contre la mienne et entrait le plus profond possible au fond de
ma gorge. Il avait une main qui me caressait la poitrine sous mon t-shirt, et l’autre derrière ma nuque. Je l’ai repoussé et je lui ai dit: «S'il te plaît, suce moi encore, c’était trop
bon!»
Il a plongé sur ma queue et s’est remis à me sucer. Cette fois, il glissait une main entre mes cuisses et me massait entre les couilles et l’anus.
Il m’a soulevé les fesses et m’a retiré mon jeans et mon boxer avant de continuer sa fellation. Pendant qu’il me suçait, je lui ai retiré son chandail. Il était trop beau. Bien mince, juste assez
pour qu’on puisse voir un peu ses côtes, avec des abdos qui commençaient à se former. Je l’ai arrêté. Je n’avais pas envie de venir une deuxième fois avant de l'avoir goûté. On a fini de se
déshabiller et j’ai ensuite plongé vers sa queue pour lui faire ma première . Sa queue était géniale. Elle était bien grosse, un peu plus longue que la mienne, et bien humide. J’adorais le goût
du liquide un peu salé qui recouvrait son gland. J’avais les mains sur ses hanches et j’essayais de rentrer sa bite le plus profond dans ma gueule. Lui me caressait la tête en même temps, guidant
parfois mes mouvements avec ses mains, d’autres fois se contentant de jouer dans mes cheveux. Il me disait tout le temps des trucs du genre «Vas-y Math, c’est trop bon, t’es génial!» Puis il
s’est ensuite déplacé, sans sortir sa queue de ma bouche, de sorte à ce qu’on soit couché les deux en 69, sur le plancher de sa chambre. On se suçait le plus vite possible. Il me massait les
fesses en même temps et il a commencé à me caresser l’anus. Je n’étais pas sûr de vouloir qu’il aille là, mais comme j’avais la bouche pleine, je ne disais rien. Il m’a entré un doigt dans le
cul, puis en a tenté deux, et finalement ça m’a vraiment plu. Je devais sortir sa queue de ma bouche parfois pour gémir, et elle reposait de tout son long contre mon visage.
Il a joui pas longtemps après en lâchant un puissant jet de sperme au fond de ma gorge. J’ai été surpris par cette sensation nouvelle et, par
réflexe, j’ai été con et j'ai reculé ma tête et il a fini de se vider sur mon visage. Lui m’agrippait les fesses en jouissant. Je sentais son sperme atterrir sur mes joues, mon nez, et couler sur
mes lèvres. J’adorais le goût et j’ai commencé à lui nettoyer le gland pendant qu’il finissait de me sucer. J’ai éjaculé une deuxième fois dans sa bouche et il a encore tout avalé. Il est ensuite
venu se coucher contre moi et on s’est embrassés encore un peu. J’avais son sperme partout sur la bouche et les lèvres. Il s’est reculé et m’a dit: "T’es trop cute comme ça!" Il s’est étiré pour
attraper la boîte de Kleenex et il m’a nettoyé comme il faut le visage, en me souriant, et ça a durer pendant 3 ans tous les jours. ainsi, à seize ans si vous comptez bien, Nous venons de nous
retrouver et nous avons parlé tout ça et on a refait cette fois l’amour avec tous les plaisirs nouveaux que l’on a connus depuis. Ca a été un moment merveilleux et on s’est promis de se
revoir le plus souvent possible
moi, les fleurs j'ai toujours aiméme rouler dedans !
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