Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
ci-dessous,papy [Burghardt] se souvient
merci JEAN LOUIS, je sais, le rapport de ta musique avec un sujet gay-le mien- n'est pas direct, mais l'harmonica est un puissant
instrument d'évocation pour les solitaires, qu'ils soient volontaires ou bien forcés...la vieillesse est une prison, n'est-ce pas ? Pour le père de Jonathan les murs de la prison sont doubles :
la maladie, et pour issue, la mort. Mais, l'amant secret, Ron revient...pour un dernier adieu... "Voilà combien de jours, voilà combien de nuits,
Voilà combien de temps que tu étais parti ,
[Je t 'ai] dit cette fois, c'est le dernier voyage,
Pour nos cœurs déchirés, c'est le dernier naufrage,
Au printemps, tu verras, je serai de retour,
Le printemps, c'est joli pour se parler d'amour,
Nous irons voir ensemble les jardins refleuris,
Et déambulerons dans les rues de [chez-nous Paris],
Dis, quand reviendras-tu ?..." pardon Barbara de ces quelques déformations : les thèmes sensibles ne sont pas éloignés les uns des
autres (ah, moi je n'éptrouve aucune gêne,aucune honte à diffuser ce que les FURIES réprouvent )-claudio-
Ron et moi on s'est aimés dans nos coeurs, dans nos têtes et dans nos corps. Ben oui ! et, pour un temps, à l'insu de ta maman... Burghardt le père de Jornathan
la tendresse version BOURVIL :
On peut vivre sans richesse
Presque sans le sou
Des seigneurs et des princesses
Y en a plus beaucoup
Mais vivre sans tendresse
On ne le pourrait pas
Non, non, non, non
On ne le pourrait pas
On peut vivre sans la gloire
Qui ne prouve rien
Être inconnu dans l'histoire
Et s'en trouver bien
Mais vivre sans tendresse
Il n'en est pas question
Non, non, non, non
Il n'en est pas question
Quelle douce faiblesse
Quel joli sentiment
Ce besoin de tendresse
Qui nous vient en naissant
Vraiment, vraiment, vraiment
Le travail est nécessaire
Mais s'il faut rester
Des semaines sans rien faire
Eh bien... on s'y fait
Mais vivre sans tendresse
Le temps vous paraît long
Long, long, long, long
Le temps vous parait long
Dans le feu de la jeunesse
Naissent les plaisirs
Et l'amour fait des prouesses
Pour nous éblouir
Oui mais sans la tendresse
L'amour ne serait rien
Non, non, non, non
L'amour ne serait rien
Quand la vie impitoyable
Vous tombe dessus
On n'est plus qu'un pauvre diable
Broyé et déçu
Alors sans la tendresse
D'un cœur qui nous soutient
Non, non, non, non
On n'irait pas plus loin
Un enfant vous embrasse
Parce qu'on le rend heureux
Tous nos chagrins s'effacent
On a les larmes aux yeux
Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu...
Dans votre immense sagesse
Immense ferveur
Faites donc pleuvoir sans cesse
Au fond de nos cœurs
Des torrents de tendresse
Pour que règne l'amour
Règne l'amour
Jusqu'à la fin des jours
commentaire : "Samedi de grand WE ... aimez-vous tendrement les potes ! " cavaillongay
" Ne sois pas triste. j'aurai l'air de mourir et ça ne sera pas vrai"Le Petit Prince Antoine de Saint Exupéry
sous l'oeil sévère et interrogateur de Jonathan (Jannis Niewöhner)
le film repasse, de nuit, le 11 avril sur Arte
tout n'a pas été fait pour que vous voyiez JONATHAN un téléfilm qui ne peut que nous toucher / info :
Arte
Jonathan
Mercredi 11 avril 2018- 01h05