Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
A dix huit ans on déconne encore comme des gamins et soudain on s'est aperçus qu'on bandait...toi tu ne l'avais plus ton phimosis : tu avais forcé ton décalottage(1)...Il y a une suite à cet article : nos vies ! (1) acte de courage !
la photo est bonne du point de vue des lois : on n'y voit rien du tout ! -lol- si on écoute les furies il faut tout interdire comme dans les pays arabes... ou cathos !
ce phimosis a
perturbé nos amours
nos amours ados...
mon Beau-Frère m'a passé un message sans en savoir la portée : "Tu as le bonjour de Jo"
UN LIEN SACRE même si la vie nous a
séparés. N'aie pas peur de t'en souvenir. Je sais que tu es plein de tendresse à notre égard. Moi aussi. Appelle-moi avant qu'on soit morts tous les deux.
Jo, c'était la peur d'avoir mal à ton phimosis, à ton MAGNIFIQUE SEXE -dois-je le dire- qui t'a empêché à ce moment-là de me donner le coup de bite que je souhaitais à 13 ans.
Beau gosse, je crois que « névrotiquement », ce coup de bite je l'attends encore depuis.
"un petit poisson, un petit oiseau s'aimaient d'amour tendre...mais comment s'y prendre..."Juliette Greco
moi j' étais plutôt comme ça...je décalottais très bien et sans douleur...aucune envie de te baiser mais plutôt envie que
tu me baises
maudit phimosis et j'en avais envie de ta queue épaisse et pi c'était pas que ta queue, c'était ton amitié, ta tendresse...Jai de la pudeur à en parler. Toi aussi je vois.
oui, ça on l'a fait ! on avait tellement envie de s'unir !
t'en souviens-tu de nos délicieux frottages ?
La douceur de la peau d'une queue d'ado mes doigts d'adolescent s'imprimaient dans la flaccidité de ton pénis que
j'aimais
il aurait fallu pouvoir leur dire, aux parents...
dis, ? quand reviendras-tu
jungle:
tu me parlais destin, moi je te montrais le ciel...et le ciel n'a pas voulu.
commentaire :
mes doigts s'imprimaient dans le doux et épais satin de son énorme engin. Allais-je pouvoir le
sucer ? Il est sûr que ça rentre mieux dans un cul que dans une bouche
