Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

  Comme partout en politique il ne suffit pas de promettre :  

Une population gay friendly que l'on tente de manipuler genre "manif pour tous"

 "bon enfant" c'est l'universalité gay 

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(Manille, le 22 juin 2017) – En raison de leur orientation sexuelle et de leur identité de genre, les élèves LGBT des Philippines font face à du harcèlement et à une discrimination au cours de leur scolarité, a déclaré Human Rights Watch dans un rapport rendu public aujourd’hui. Alors que la loi philippine prévoit des protections antidiscriminatoires et contre l’exclusion des écoles, législateurs et chefs d’établissement doivent prendre des mesures pour veiller à la pleine mise en œuvre de celles-ci.

Le rapport de 68 pages, intitulé « ‘Just Let Us Be’ : Discrimination Against LGBT Students in the Philippines » (« ‘Laissez-nous juste en paix’ : la discrimination à l’égard des élèves LGBT aux Philippines »), documente l’ampleur des violations perpétrées à l’encontre des élèves lesbiennes, homosexuels, bisexuels et transgenres (LGBT) dans l’enseignement secondaire. Il fait état d’intimidations et de harcèlement généralisés, de politiques et de pratiques discriminatoires et d’une absence de ressources en matière de soutien qui remettent en cause le droit à l’éducation des jeunes LGBT, garanti par le droit international, tout en mettant ceux-ci en danger.

« Les élèves LGBT aux Philippines souvent sont tournés en ridicule et même victimes de violence », a relaté Ryan Thoreson, membre du programme des droits des personnes LGBT à Human Rights Watch. « Et dans de nombreux cas, enseignants et administrateurs participent à ces mauvais traitements au lieu de rejeter la discrimination et de privilégier des salles de classe où tout un chacun peut recevoir une éducation. »

 

 

 

 Témoignages de jeunes membres de la communauté des lesbiennes, homosexuels, bisexuels et transgenres (LGBT) aux Philippines au sujet des brimades et de la discrimination subies dans leurs écoles sans qu'aucun soutien soit mis à la disposition des élèves LGBT.

Les lois, il faut les appliquer !

Le harcèlement, reconnu, est un problème dans l’enseignement secondaire 

En 2013, le Congrès a adopté une loi anti-harcèlement, et le ministère de l’Éducation publié des réglementations interdisant le harcèlement sur la base de l’orientation sexuelle et de l’identité de genre. Lors de la campagne présidentielle de 2016, Rodrigo Duterte a condamné le harcèlement et la discrimination à l’encontre des LGBT.

« Par le passé, le président Duterte s’est prononcé contre le harcèlement et la discrimination à l’égard des LGBT, et il devrait le faire à nouveau maintenant », a déclaré Ryan Thoreson de Human Rights watch. « L’interdiction du harcèlement des jeunes LGBT était une première étape importante », a déclaré Ryan Thoreson. « L’interdiction du harcèlement des jeunes LGBT était une première étape importante », a déclaré Ryan Thoreson. « Maintenant, autorités et chefs d’établissement doivent prendre des mesures concrètes pour donner effet à ces protections et promouvoir le respect des jeunes LGBT dans l’ensemble du système scolaire aux Philippines. »

 

  21 juin 2017 Rapport : Les recherches de Human Rights Watch révèlent qu’à l’école, les élèves LGBT font toujours face au harcèlement physique et verbal, aux agressions sexuelles et à la cyberintimidation. Beaucoup d’élèves ne sont pas au courant de l’existence de politiques anti-harcèlement ou ignorent comment demander de l’aide en cas de danger.Dans l’enseignement secondaire, les élèves harcelés en demande d’aide se heurtent au manque d’informations et de ressources relatives aux jeunes LGBT.
« Quand j’étais au lycée, ils me bousculaient, me frappaient », a confié Carlos M., un étudiant gay de 19 ans de la ville d’Olongapo. « Quand je sortais de l’école, ils me suivaient [et] me poussaient, m’appelaient ‘gay’, ‘tapette’, des choses comme ça. » (Les noms des élèves cités dans le rapport ont été modifiés pour garantir leur sécurité.) Vouloir tout effacer du genre et de l'origine sociale a ses effets pervers  : L’hostilité à laquelle ces élèves sont confrontés à l’école est souvent exacerbée par des politiques et pratiques soi disant égalitaires. Constat de Human Rights Watch. Les écoles philippines imposent à tous une tenue par genre et une longueur de cheveux règlementaires, y compris aux élèves ne s’identifiant pas au sexe qui leur a été assigné à la naissance. Ces exigences incontournables mettent mal à l’aise ou ostracisent de nombreux élèves LGBT, qui sont parfois renvoyés chez eux par les surveillants, provoquant des absences voire la déscolarisation.
« Ne pas adopter de loi antidiscriminatoire expose les jeunes LGBT à la discrimination et aux violences », a résumé Meggan Evangelista du réseau LAGABLAB. « Si les législateurs prennent au sérieux la sûreté des écoles pour tous, ils devraient cesser de repousser le moment d’agir et légiférer dans les meilleurs délais sur des protections antidiscriminatoires. »  Les problématiques propres aux LGBT sont rarement abordées par les programmes scolaires et lorsqu’un incident se produit, les enseignants font souvent des commentaires blessants ou méprisants pour les élèves LGBT, y compris en inculquant à leurs élèves qu’être LGBT est un péché ou n’est pas normal. Les problématiques propres aux LGBT sont rarement abordées par les programmes scolaires et lorsqu’un incident se produit, les enseignants font souvent des commentaires blessants ou méprisants pour les élèves LGBT, y compris en inculquant à leurs élèves qu’être LGBT est un péché ou n’est pas normal. cyberintimidation : Les technologies du net ont, hélas pas simplifié les choses Les recherches de Human Rights Watch révèlent qu’à l’école, les élèves LGBT font toujours face au harcèlement physique et verbal, aux agressions sexuelles et à la cyberintimidation. Beaucoup d’élèves ne sont pas au courant de l’existence de politiques anti-harcèlement ou ignorent comment demander de l’aide en cas de danger. C'est quand même global, surtout face aux religions, principalement l'islam.  Si vous croyez qu'en France il n'y a aucune mauvaise foi ...

« Les harceleurs prétendent que le VIH s’attaque en priorité aux homosexuels », a confié Jonas E., un jeune homme gay de 17 ans scolarisé dans le lycée de la ville de Mandaue. « J’ai un peu honte de ça, parce que j’étais une fois dans une section où j’étais le seul gay, et ils me pointaient toujours du doigt. » Pratiquement aucun des élèves interrogés n’avait reçu d’éducation sexuelle inclusive des LGBT, privés dès lors des atouts nécessaires à vivre leurs relations en sûreté et à rester en sécurité.

Très peu d’élèves ont accès à des enseignants ou à des conseillers sensibilisés à fournir un soutien aux élèves LGBT à mesure qu’ils gagnent en âge. Si les groupes élèves LGBT de l’Université ont réussi à sensibiliser leurs pairs et à leur fournir des services de soutien, il y en a peu dans l’enseignement secondaire.

commentaire :

 

    Derek Skar #filipino #asian #cute

 

 

 

 

 

Sam 24 fév 2018 Aucun commentaire