Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
Je n’avais pas sucé depuis quelques mois et je me demande encore comment j’avais pu me passer de ce plaisir si longtemps Mon voisin a besoin d'un dépannage informatique. Nous finirons par parler de nos expériences entre hommes, puis par succomber l'un à l'autre.
Un jour de RTT, on sonne chez moi : c’est le voisin. Sachant que je me débrouille en informatique, il est venu me demander conseil car son PC est devenu très lent. Je le fais entrer ; on discute et je lui donne quelques conseils mais lui précise que ce serait mieux avec son appareil, que je puisse le faire et lui montrer. Cinq minutes après le revoilà. Nous nous installons sur la table et je regarde son PC. Je nettoie tout, redémarre, et le PC semble être un peu moins malade. Un petit tour sur Internet pour télécharger un logiciel de nettoyage plus performant ; et là, petite surprise ! Je commence à entrer une adresse, et l’historique apparaît : deux sites d’histoires érotiques gay !
Je ralentis volontairement la frappe et le regarde. Il est rouge.
— J’aime bien ces sites aussi, j’y vais régulièrement, lui dis-je
— Ah bon ? mais toi aussi t'es marié non ?
— Si, mais j’ai toujours aimé les histoires entre mecs.
Un petit silence s’est installé, mais j’ai vite senti que la glace était rompue. Aucun de nous deux n'avait envie de dire toute la vérité sur nos rencontres avec d'autres hommes sur le net.
— T’as déjà eu des aventures avec des hommes ?
— Oui, surtout un pote au lycée que je suçais régulièrement. (ado on a tous goûté, non ? )
— Moi aussi, ça a commencé avec un copain de lycée ; on se branlait ensemble devant des pornos que j’enregistrais.
— Vous avez été plus loin ?
— Un soir, on était chez moi, juste en dessous, et mes parents étaient partis en week-end. Il est venu dormir, on a regardé un porno, on s’est vite retrouvés à poil sur le canapé ; c’était bizarre car on n’avait pratiquement pas le son pour éviter d’alerter les voisins, tu sais que c’est pas trop bien insonorisé, ici. On se branlait, et rapidement, pour la première fois, on a branlé la queue de l’autre. C’était super excitant et j’ai vite joui. Lui a suivi rapidement après. En regardant les filles se faire prendre à l’écran, on s’est nettoyé et on a vite rebandé. Au bout de quelques minutes, on avait à nouveau nos queues en main. Il me branlait doucement et ne regardait plus du tout l’écran. Dans le film, une fille suçait une grosse queue. Il m’a demandé si je voulais qu’il me fasse la même chose ; j’ai dit oui et il est venu me sucer. Je crois que je n’ai jamais joui aussi fort que cette fois-là : me faire sucer en regardant un film porno et branler en même temps une queue, le bonheur !
Ses yeux brillaient en racontant ce souvenir ; on sentait l’excitation encore en lui, et surtout le bonheur ressenti cette soirée-là.
— Tu l’as sucé aussi ce soir-là ?
— Non, mais c’est arrivé ensuite. Et toi ?
— Moi, on regardait souvent des films ensemble, mais on profitait des soirées entre nos parents pour dormir l’un chez l’autre, et c’est un soir sous la tente dans ma maison de vacances que je l’ai persuadé de se laisser sucer ; il était assez réticent, et moi j’avais envie grave de goûter une bite. J’étais un peu honteux sur le coup, mais ensuite je le suçais régulièrement, chez des potes, chez lui. J’avoue que ça m’excitait de savoir qu’autour de la tente ou dans les chambres voisines de amis dormaient ou discutaient pendant que je le suçais. J’ai avalé quelquefois mais il trouvait que c’était trop pour lui. Il ne m’a sucé que 3-4 fois. Depuis j’ai eu 2-3 histoires, c’est tout.
Je finis de télécharger le logiciel, je l’installe, nettoie le PC et lui rends l’engin.
— Tu veux lire quelques histoires avec moi ? me demande-t-il.
— Pourquoi pas ? Oui. Tu aimes quel style ?
— Les "premières fois", ça me rappelle ma propre histoire.
— Moi aussi, ce sont mes préférées.
Nous lisons quelques histoires ; je bande dur et lui aussi, mais une certaine gêne reste. La lecture est terminée ; je suis dur comme pas possible. Je lui propose un café.
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— Non merci, je préférerais plutôt goûter ton sexe si ça ne te dérange pas, me dit-il souriant.
Une fois la petite seconde de surprise passée, je me lève, lui fais face et ouvre mon jean. Je baisse le pantalon, le caleçon et me retrouve, pour ainsi dire, à sa merci. Il joue avec mon vit, le branle doucement en me regardant puis passe sa langue sur mon gland. La sensation est divine après cette frustration, et je sens que je ne vais pas tenir longtemps. Il lèche ma queue sur toute sa longueur, 19 cm, et finit par emprisonner dans sa bouche ma queue qui n’en peut plus d’attendre. Il est tendre et sa pipe est divine, douce. Il fait monter le plaisir petit à petit ; je suis perdu entre plusieurs sensations et sentiments. Il me regarde et me fait une gorge profonde ; je sors mon sexe de sa bouche.
— Arrête, je vais jouir et je veux te goûter d’abord.
Je l’emmène sur le canapé, l’assois et me mets à genoux entre ses jambes. Je retire son pantalon, baisse son boxer et me jette littéralement sur sa queue de belle taille, 16-17 cm et le suce aussi doucement que lui. Je ferme les yeux et me concentre sur les soubresauts de cette bite dure dans ma bouche. J’entends sa respiration forte. Je lèche maintenant ses couilles, je le regarde dans les yeux : il a une expression de salope, le regard de celui qui est prêt à se laisser aller totalement. Je reprends son sexe et re-suce plus rapidement tout en le branlant assez activement.
— Je vais jouir, attention…
— Vas-y, jouis-moi en bouche.
Je reprends ma pipe et sa queue palpite, tressaute sur ma langue jusqu’à envoyer de nombreux jets de foutre chaud sur ma langue. J’avale tout et nettoie avec application ce sexe qui ramollit petit à petit. Je n’avais pas sucé depuis quelques mois et je me demande encore comment j’avais pu me passer de ce plaisir si longtemps. Je continue à lécher son engin, puis descends sur ses couilles et finalement un peu plus bas. Je lèche maintenant l’espace entre ses couilles et son anus. Sans un mot, il écarte ses cuisses un peu plus, soulève son bassin et présente à mes yeux pervers son petit trou bien rose, dépourvu du moindre poil. Je descends tranquillement ma langue jusqu’à ce petit œil plissé et commence à lécher ce trou qui me donne des idées.
— C’est bon…!!! J’ai jamais été léché là.
Je prends ses paroles comme un encouragement et lui bouffe maintenant sans aucune retenue le cul. Je glisse même un doigt en lui, et le gémissement qu’il pousse alors me donne la bénédiction pour le baiser doucement avec ce doigt puis un deuxième. Je le doigte franchement et remonte vers sa queue que j’enfourne à nouveau. Je remonte en embrassant ses abdos, lèche ensuite ses tétons tendus par le plaisir, mes doigts toujours en lui. Il me passe la main derrière la nuque et m’attire vers lui pour un baiser passionné. Je n’ai jamais réellement aimé embrasser un homme, mais cette fois-ci, c’est bon, c’est naturel, nous sommes en harmonie. Je sors mes doigts de son orifice, le tourne sur le canapé et m’allonge sur lui tout en l’embrassant. Mon sexe glisse sur ses couilles vers son anus et se présente naturellement à l’ouverture. Il tend son bras, prend un préservatif dans son portefeuille et me le tend.
— Doucement, d’accord ? J'ai pas fait ça souvent...
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J’enfile le condom et me présente pour le pénétrer. Je rentre facilement mon gland et pousse doucement, en plusieurs pénétrations lentes, pour enfin être entièrement en lui. Son regard de salope est de retour ; je peux faire ce que je veux de lui. J’ai juste envie de prendre mon pied et que lui se souvienne de cette baise avec moi comme d’un moment de plaisir intense. Je commence mes va-et-vient, de plus en plus amples, et j’accélère pour bientôt le prendre comme une chienne. Il gémit, se mord les lèvres.
— C’est bon, continue, c’est trop bon !
Je le pilonne maintenant franchement. Je ne vais pas tarder ; alors, pour repousser l’échéance, je le fais changer de position et le prends maintenant à quatre pattes. Mon rythme est à nouveau soutenu ; il continue de gémir, se retenant de crier pour ne pas qu'on puisse l'entendre de chez lui. Il se redresse, colle son torse au mien. Je prends ses tétons entre mes doigts, les triture ; ça le rend dingue apparemment car il me prend la bouche.
— Embrasse-moi sinon je vais hurler.
Ma main droite descend vers son sexe et je le masturbe, ma main gauche s’occupant de son téton, ma queue de son anus.
— Moi aussi je veux goûter ton foutre, je veux que tu jouisses dans ma bouche.
Bientôt je me retire, enlève le préservatif et me présente debout devant lui. Il me branle, me suce, et en quelques secondes je me vide en lui. Son regard perce le mien et ma jouissance est incroyable, la quantité de foutre qui sort aussi. Il me nettoie mais mes jambes ne me portent plus. Je m’allonge. Il me suce jusqu’à nettoyer la plus infime trace sur ma queue. Je prends son sexe dur en main.
— Jouis-moi dessus, je veux sentir ton foutre sur ma poitrine.
Il se laisse faire et jouit sur moi rapidement.
La suite est un peu floue ; je suis resté groggy par cette jouissance. Il s’est rhabillé puis est parti quelques minutes après. Nous ne nous sommes pas revus depuis, mais j’ai reçu des mails pour un futur dépannage informatique : quel merveilleux prétexte...
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