Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
je m’attendais pas à ça de ta part… — Disons que… t’es venu me chercher par les émotions! — Ah ouais?— Ouaip… Pis t’es pas un gars comme les autres…C’est sûr cette dernière phrase, qui me sembla étrange, qu’il se sépara de moi. Il me remit dans la douche une dernière fois et, alors que nous revenions dans sa chambre, cette fois, il m’a pris par les épaules et me dirigea sur son lit. Pour la dernière nuit, tu dors avec moi…
http://www.gai-eros.org/w/index.php/Mon_ami_h%C3%A9t%C3%A9ro "En hommage à Mario, mon ami hétéro qui existe bel et bien, que j'ai aimé (sinon adoré) et qui m'a fortement inspiré ce récit". JIM - les "canadsianismes" de Jim sont si clairs chez ce magicien de l'écriture que cavaillongay a laissé son texte sans la moindre retouche. Ce récit ré pond si bien à notre recherche dans la rubrique EUX ET NOUS HETEROS ET GAYS
À la fin juin de l'année 2007, je suis parti de chez moi pour aller visiter un ami à moi vivant près de Montréal (à ce moment, je n’y habitais pas encore). Il se nommait Mario, avait une forte ressemble à Anthony Kiedis (sexy chanteur des Red Hot Chili Peppers), et c’était un gars que j’avais rencontré lors d’une réunion de gens plutôt spirituels, mais tous amis, quelques mois auparavant. À ce moment, une des femmes s’occupant de la rencontre savait que je désirais avoir un copain et elle a pensé tout de suite à Mario… avec erreur: il n’était pas gay, même pas bisexuel! Je fus légèrement déçu et l’autre jeune homme, à peine un an plus vieux que moi, expliqua à la femme leur malentendu: ce n’est pas parce qu’il était célibataire depuis longtemps et qu’il avait dit: «je ne veux pas de blonde» qu’il voulait dire «je suis homosexuel et je veux un chum». Malgré toute cette expérience, Mario m’apprécia beaucoup et nous nous sommes mis à nous contacter très souvent sur Internet jusqu’à ce qu’il me dise de venir le visiter quelques jours, ce que je fis.
Je suis arrivé près de chez lui en autobus, le vendredi soir, pour une période d’une semaine (avant d’aller à Montréal voir quelques amis). Pour vous décrire Mario physiquement, j’irais ainsi: il est un peu plus grand que moi (je fais environ 5 pieds 10 pouces et lui 6 pieds), il est légèrement musclé (travaillant dans une usine), une taille fine, un tatou sur le bras, des cheveux longs jusqu’au milieu du dos et des yeux verts magnifiques. Sa bouche, elle, est appétissante. Il avait une barbe à mon arrivée mais il l’a rasée complètement le lendemain. Bref, croyez-moi, je suis tombé pour lui! Mais je m’étais promis de ne pas profiter de la situation! En effet, nous allions dormir ensemble dans la même pièce, moi sur le sofa et lui sur son matelas directement à terre.
La température était très chaude en cette fin de juin. Tous les jours, le soleil frappait fort et c’était humide. Trois jours par semaine, Mario devait aller travailler du matin au début d’après-midi. Entre temps, il me faisait confiance pour rester seul. Des fois, je lavais même la vaisselle que nous avions laissée traîner la veille (vous savez, entre gars!). Quand il entrait, de travailler avec son vélo, Mario était épuisé mais en forme pareil. Ses t-shirts étaient tous trempés de sueur et devant moi, il les enlevait, me montrant son superbe torse humide. Il était presque toujours nu pieds et portait des pantalons courts, laissant voir ses jambes quelque peu poilues. De plus en plus, j’étais sous son charme! Une fois, je le lui en ai même parlé:
— Tu sais, dis-je gêné, tu es un gars super… spirituel et gentil… et en plus très mignon je te l’avoue… Si j’avais un chum, j’aimerais qu’il soit comme toi…
Tout bonnement, il me répondit:
— Merci, c’est un beau compliment que j’accepte! Pis, pour le reste, t’as juste à changer de sexe et ce serait parfait!
Ainsi, il venait de me dire, je crois, qu’il m’appréciait beaucoup également… ça m’avait fait chaud au cœur.
Une après-midi, je suis sorti de la douche avec mon dildo que j’avais secrètement apporté pour le voyage. En ouvrant ma porte, je le tenais bien à découvert dans mes mains. Je me croyais seul mais je suis tombé face à Mario, qui fit un sourire en voyant mon "jouet".
— Tu t’es bien amusé? me dit-il.
— Euh…
— T’inquiètes, tu peux le faire quand tu veux, tant que c’est dans la douche ou sur ton sofa la nuit, mais pas dehors sur le balcon, me dit-il en blaguant.
— D’accord, dis-je un peu gêné, les joues probablement rouges.
En effet, quand je prenais mes douches, j’en profitais pour me pénétrer avec le dildo. Malgré sa permission, je ne l’ai jamais fait sur le sofa la nuit, ayant peur qu’il me voie le faire.
Bref, un soir, nous sommes rentrés d’un resto où il avait mangé des sushis et moi des trucs moins exotiques:
— J’ai envie de t’emmener chez ma mère, dit-il. Elle est pas là ce soir, et je veux qu’on essaye son spa. C’est pour quatre places alors on peut y entrer facilement!
— Ouais, ce serait cool!
Nous y sommes arrivés, encore en sueur, et après nous êtes mis en costume de bain, nous y sommes entrés. Après quelques minutes, Mario décida d’enlever son maillot et m’invita à le faire puisque selon lui, c’était plus confortable. Et je peux dire, c’est vrai! Puis, nous nous sommes mis à parler de sexe. J’étais content de pouvoir parler de sexe gay en sa présence sans que ça ne le dérange. Puis, il me parla de quand sa blonde du passé aimait se faire lécher l’anus.
— Crois-moi, Jim! J’adore lécher un anus! Apparemment, quand c’est bien nettoyé, l’anus est un endroit des plus propre du corps.
— Je ne l’ai jamais fait mais j’aime beaucoup me le faire faire. Sexuellement, je suis plus comme une femme.
— Oui, ça parait un peu dans ta manière d’être dans la vie de tous les jours.
— Ah oui?
— Bien, tu n’es pas flamboyant ou une folle, comme on dit, mais tu m’as l’air délicat.
— Oui en effet!
— Enfin… ce genre de truc m’excite à fond juste à en parler.
La manière que nous étions placés dans le spa, Mario avait une jambe à gauche, ensuite il y avait la mienne, ensuite celle de Mario, et finalement la mienne à droite. Chacun de nous avait donc un pied en direction de l’entrejambe de l’autre. Mon corps était tout sous l’eau, jusqu’au cou, mais pas Mario dont le haut du torse restait à l’air libre. À un certain moment, tout en discutant, il s’immergea comme moi pour que seule sa tête reste en dehors.
Pendant qu’il me parlait de la première sodomie qu’il a fait à son ex-blonde, j’ai senti un truc accrocher mon pied entre ses jambes de plus en plus souvent. Au début, je sais qu’il s’agissait de ses mains, mais ensuite j’ai ressenti ce qui semblait être au départ son pouce (il a de belles grandes mains d’homme bien viril)… Puis, il y a eu ce truc qui passait sur toute la plante de mon pied, de bas en haut, comme un doigt qui fait une pression pour masser mais j'étais de plus en plus sûr qu’il s’agissait d’autre chose… C’est alors que Mario m’a regardé dans les yeux d’une façon très excitée sexuellement, tout en parlant, j’ai bel et bien senti la grosseur et la longueur de son pénis bien collé au dessous de mon pied, avec une pression. Sans en parler, il continuait son histoire.
— Elle s’était rincée l’intérieur avant et nous savions que nous n’avions tous les deux aucun problème sexuel, me dit-il. Alors, je l’ai enculé sans condom… Woah! C’était superbe!
Pendant qu’il continuait son histoire, j’ai décidé de faire moi-même une pression avec mon pied contre son sexe très dur. Le gland et le frein étaient situés à la hauteur de mes orteils et je jouais avec un peu pour donner plus de sensations. Mario discutait encore, devenant de plus en plus excité, et j’étais heureux qu’il se laisse faire.
— Elle était à quatre pattes, moi derrière elle, et je la fourrais comme ça… Je voyais ma queue entrer dans son trou, entrer et sortir… et là…
Il eut un moment d’arrêt… Il ferma ses yeux et me dit, en riant:
— Il fait pas mal chaud là!
Je savais très bien de quoi il parlait en disant ça, et je lui fis un sourire coquin. Il continua:
— Enfin bref, je la baisais et quand j’étais sur le point de venir, je lui ai demandé et elle m’a dit de jouir en elle… Alors, je me suis vraiment laissé aller…
Il arrêta de parler officiellement et sembla se concentrer sur la sensation de mon pied sur son pénis. Soudain, il se leva debout et je vis son sexe en érection… une belle queue d’environ six pouces et demie, le gland décalotté de son prépuce. L’eau du spa arrivait au niveau de ses testicules qui restaient à la chaleur. Mario fouilla sous l’eau pour trouver mon pied gauche et le remit sur son sexe. Il était plus proche de moi donc je devais me relever un peu, plier ma jambe hors de l’eau pour la laisser sur lui, et je profitais de cette scène extra pendant que lui pouvait parfois fermer ses yeux, ou encore tout regarder comme moi. Il bougeait sensuellement contre la plante de mon pied. Je senti également sur mes orteils du précum sortir et s’étaler.
Après quelques instants, je tentai un mouvement: je sortis mon autre jambe et mis mon pied droit sur son pénis, commençant une masturbation unique, comme je ne l’ai jamais fait de ma vie. En fait, le fétichisme du pied ne m’avait jamais attiré vraiment sans que cela me dégoûte. Mais là, je profitais de cet instant magique avec mon ami. J’avais les cuisses bien écartées, laissant mon anus ouvert sous l’eau à toutes possibilités, mais je me disais que cela n’en tenait qu’à Mario, s’il le voulait vraiment, mais j’en doutais un peu. Ma propre queue, elle, était bandée à fond. Si je me touchais que pour un seul mouvement de va-et-vient, je suis sûr que j’éjaculerais sur le champ. Je continuais cette masturbation sur mon ami hétéro avec mes pieds, caressant tout le membre, voulant lui donner le plus de plaisir possible.
— Mmmm…
Pour la première fois, j’ai entendu Mario gémir et c’était une douce musique à mes oreilles. Je devinais alors qu’il était peut-être bien sur le point de venir… Je le sus lorsque soudain, il se mit à gémir plus souvent. C’est à ce moment que ses jambes se sont mises à trembler et il eut une sorte de faiblesse. Sérieusement, je l’ai vu pencher par en avant et, pour ne pas lui faire mal au pénis, j’ai enlevé mes pieds et les ai mis de côté, mes jambes toujours écartées. Il est tombé sur moi, tout en essayant vaguement de se tenir sur le bord du spa. Je vous avoue… ce fût un énorme plaisir d’avoir son corps sur moi mais je m’inquiétais quand même… Puis, son visage dans le creux de mon cou, il me dit dans un chuchotement:
— Je m’excuse…
Dans de faibles mouvements, il se colla à moi, son sexe entre mon ventre et le sien, puis continua son va-et-vient. Mon propre pénis n’en pouvait plus et se mit à jouir, s’en suivit de Mario après quelques secondes, pendant qu’il me lèchait la gorge, emporté par la jouissance.
— Aahhh… c’est bon… chuchota-t-il.
Puis, après quelques instants, Mario se releva et retourna à sa place.
— Merci, Jim… c’était sympa… Mais…
— On ne le refera pas.
— C’est ça… Disons qu’on était ensemble au bon moment… C’était cool, mais j’suis pas gay.
— Oui je sais, j’ai bien aimé aussi. Et j’ai pas d’attente.
Il me fit un sourire que je lui redonnai puis on décida de ressortir de là, avant que Mario fasse un traitement de l’eau. Cette nuit-là, dans mon lit, je me suis masturbé en repensant à ce qui s’était passé. Mais, alors que je croyais le tout terminé…
Quelques soirs plus tard, en fait la veille de mon départ pour Montréal, nous sommes sortis voir des feux d’artifice et manger sur la plage. Il m’a fait boire une sorte de boisson alcoolisée sucrée et nous avons regardé les étoiles, couchés l’un à côté de l’autre. Puis, encore remplis de chaleur, nous sommes rentrés en sueur chez lui. Il a pris sa douche, j’ai pris la mienne…
Lorsque je suis revenu dans la chambre, il y a avait des chandelles allumées, de l’encens qui fumait. Mario était étendu sur son lit, sur le ventre en boxer moulant ses belles fesses et avec des bas aux pieds. J’allais m’installer sur le sofa pour me coucher qu’il me demanda si je pouvais et voulais le masser.
— Tu serais gentil! J’ai un peu mal au dos, avec le travail de cette semaine… Je ne voulais pas te le demander avant, car je pensais que ça allait s’arranger, mais non…
— C’est correct, dis-je avec plaisir. Je peux toujours faire ça pour un ami!
Je commençais par le dos et j’y prenais un certain plaisir personnel qui allait jusqu’à me donner une érection.
— Tu voudrais que je te masse les cuisses et les jambes aussi?
— … Mmmmm... ouais, pourquoi pas. S’il te plaît.
Je terminais son dos et j’entrepris tout de suite ses cuisses, puis ses jambes, et je le fis se mettre sur le dos pour faire les devants. Dans son boxer, je vis une légère érection mais je ne suis pas devenu fou pour ça, je sais que pendant les massages, ça peut être fréquent. Pour terminer, après une quinzaine de minutes, je me suis mis à masser ses pieds après avoir enlevé ses bas. Je ne pouvais plus détacher mes yeux de son boxer où son pénis devenait de plus en plus gros et déformait le tissu en avant. J’en concluais donc que le massage de pieds aidait. Je massais partout, du talon aux orteils, lui arrachant quelques gémissements… Puis, j’eus cette idée folle… Je me suis penché, j’ai sorti la langue et j’ai léché la plante du pied droit, de bas en haut.
— Aaaahhhh, gémit-il pendant un moment, érotiquement.
J’arrêtai aussitôt, pas sûr à ce moment de ce que je devais faire.
— Continue, s’il te plaît…
J’ai donc obéi. J’ai commencé à lécher les rebords du pied, puis les orteils, une par une… doucement… avec ma langue et mes lèvres. Et je suis passé ensuite au pied gauche, où j’ai refais les mêmes choses.
— C’est vraiment bon, Jim…
Je le vis mettre sa main, sans se cacher, sur la bosse de son boxer et la caresser quelques secondes. J’ai alors tenté un mouvement risqué… Je me suis mis sur le côté du lit, toujours en train de lécher le pied gauche et, alors que cela m’était disponible dans cette position, j’ai mis ma main sur la bosse chaude, en pressant légèrement. À ce moment, Mario eut un sursaut et me regarda dans les yeux un instant avant de les refermer et reposer sa tête. Entre temps, j’avais cessé de le toucher.
— Je m’excuse, lui dis-je.
— Non, Jim… c’était parfait… continue… fais ce que tu veux…
Faire ce que je veux…? Tout ce que je veux? Je décidai alors de tester les limites de la situation… En léchant le dessus de son pied, j’ai passé ma main sous le boxer, en caressant sa cuisse. J’ai atteint tout d’abord ses testicules, puis sa hampe et finalement son gland, d’où coulait du précum me collant les doigts. Je les ai ressortis pour les sucer et goûter à son jus délicieux. Je lâchais alors son pied pour me concentrer sur son sexe… Je me suis mis entre ses jambes et j’ai directement sorti son pénis… si beau! Je fis un mouvement de va-et-vient et le précum coula aussitôt. Je ne pus m’empêcher d’aller tout lécher, de la hampe au gland, ce liquide envoûtant. Ensuite, je m’attaquais au gland, dont ma langue a exploré et salivé tous les recoins.
— Hummmm… Jim… t’es vraiment extra! Si je n’aimais pas autant les femmes, je crois que tu me rendrais homo… Ton chum, quand tu en auras un, sera bien chanceux…
Pour le remercier, j’ai tout simplement enfoui toute sa queue ou presque dans ma bouche, le plus loin possible.
— Aaaahh oui… Mmmm c’est bon! Mmmmm…
Il m’excitait juste à l’être lui-même, excité, et je me suis mis à sucer sa queue de long en large, allant presque jusqu’à faire une gorge profonde.
— Tu aimes ce que je fais?
— Oui… c’est vraiment bien… Quand tu vas plus au fond, c’est chaud et plus serré…
— C’est le but…
Je continuais, tout en sachant qu’il était sur le bord de jouir. Pour ralentir et faire durer, au début, je ne faisais que le lécher, puis je me suis décidé à ne plus le masturber et à le faire aller et venir directement qu’avec ma bouche, sans mes mains. Très vite, sa respiration a augmenté, ses hanches bougeaient pour aider la pénétration orale pendant qu’il me caressait les cheveux et la tête.
— Jim… j’vais venir…
Parfait… je continuais donc le mouvement et je sentais entre mes lèvres sa peau soumise à une pulsation… Tout doucement, son jus montait… au rythme de ses hanches mouvantes…
— Aaaahhh… Sérieux, j’vais jouir dans pas long! Mmmmm…..
Mais je n’arrêtais pas. Puis, lorsque je sus vraiment que c’était sur le point d’éjaculer, j’ai ralenti le mouvement, ce qui fit augmenter son plaisir et sa jouissance. Après deux super gros jets dans le fond de ma bouche, il se mit lui-même à augmenter la pénétration buccale pour ses derniers moments de satisfaction. Je n’avalais pas tout de suite son sperme mais je le fis quand il finit de jouir et qu’il retira à moitié son sexe de ma bouche. Le liquide lui coulait le long de la hampe jusqu’aux testicules en sortant de ma bouche, mais je rattrapais vite le tout au passage de ma bouche.
— Ah man… c’était trop bon!
Mario respirait encore vite quand je me suis levé en lui disant que j’allais retourner sous la douche un moment.
— N’oublie pas ton dildo, me dit-il en riant.
— Non je ne le prendrai pas, mais t’inquiètes! Je l’ai utilisé tantôt avant le massage!
— C’était bon?
— Oui… Mais pas comme une vraie!
Sur ce, j’entrai dans la salle de bain, ouvris le jet d’eau plus frais et me rinçai, en repensant à la folie que je venais de vivre. Après quelques instants, ce fut une surprise pour moi de sentir une main se poser sur mon épaule. Mario était derrière moi, le pénis à nouveau en érection.
— Du calme, Jim… Reste face au mur et profite pleinement du moment présent…
Mario a pris sa queue dans sa main et a posé son gland sur mon anus, tout en me tenant par l’épaule pour me garder immobile. Ce fut très facile pour lui de tout faire entrer en une seconde, puisque, en plus, du lubrifiant était resté dans ma chatte de mec. C’est ainsi qu’il commença une douce pénétration qui alla de plus en plus vite et profonde. Je n’étais pas en érection, mais j’avais une totale jouissance anale.
— Tu aimes ça?
— Oui, dis-je. T’es vraiment hot!
— Ouais, je sais…
Il se retira un instant et me tourna de bord. Il sortit de la douche, me prit dans ses bras, face à lui, mes jambes autour de sa taille et me mit sa queue en moi ainsi. Je me suis même accroché à la barre de douche au plafond, apparemment bien solide, et je me suis moi-même laisser aller et venir sur sa queue pendant que lui était debout, les mains sur le coté et me regardant faire. J’ai fait ça quelques instants puis, mes bras étant fatigués, il a repris le contrôle. Après quelques instants encore à me baiser debout, il me coucha sur le dos sur le plancher froid de la salle de bain, encore tous les deux mouillés, et a commencé à me baiser encore plus férocement. Tout en gémissant, il me léchait la gorge puis montait doucement aux joues. C’est alors que…
— Aaaaah! Je vais jouir!
Et c’est là qu’il me donna un french kiss, comme un vrai amoureux. Pendant que je sentais sa langue masser la mienne, son sperme sortait à profusion dans mon cul. Il était tellement dans l’intensité du plaisir qu’il me faisait mal au bras en me tenant trop fort et en me mordant la lèvre inférieure, mais j’étais tout aussi dedans que lui. Puis, quand il eut terminé, son pénis toujours en moi en train de perdre de son érection, il me regarda dans les yeux et me donna un dernier bec tout simple qui me fît sourire.
— Quoi? Ça t’a plu?
— Oui! Très! Mais je m’attendais pas à ça de ta part…
— Disons que… t’es venu me chercher par les émotions!
— Ah ouais?
— Ouaip… Pis t’es pas un gars comme les autres…
C’est sûr cette dernière phrase, qui me sembla étrange, qu’il se sépara de moi. Il me remit dans la douche une dernière fois et, alors que nous revenions dans sa chambre, cette fois, il m’a pris par les épaules et me dirigea sur son lit.
— Pour la dernière nuit, tu dors avec moi…
Nous nous sommes endormis ainsi, lui collé dans mon dos, ayant une érection encore, mais ne faisant rien que se coller sensuellement contre moi.
Le départ, le lendemain après-midi, fût quelque peu émotionnel, surtout pour moi. Lui, il avait l’air du gars qui dit que tout va bien mais je voyais au fond de ses yeux ce qu’il essayait de cacher. ¤ Jim .
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