Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
Au-delà de cette limite, mon ticket n'était plus valable et j'ai dû te laisser partir...
le train qu'on ne prend qu'une fois, le train où tout devient transparent
là si on chiale pas c'est qu'on est dur; c'est pas pour ce qu'il chante mais pourquoi il le chante. Par contre c'était pas pour toucher le jackpot mais pour partager sa peine... mais qui est digne de ce partage ?
quand tu t'éveilleras....
"Je me suis assis doucement près de lui; j'ai caressé ses cheveux, son visage, ne croyant pas l'avoir éveillé; son visage soudain mouillé de larmes.
Je me rappelai Nina Simone chantant "Ne me quitte pas !". Il n'y a pas de mots pour dire le chagrin. Plus tard, parfois, il devient une merveilleuse mélancolie"
"I sat down quietly close to him; I caressed his hair, his face, I did my best not to wake him up; his face suddenly was covered with tears. I remembered Nina Simone's song: "Don't leave me !".
Words are unable to express grief. Later, sometimes, grief becomes a wonderful melancholy"
Claude Michel Cluny, Rêver avec Virgile Journal littéraire 1988-1990, L'Invention du Temps, Tome X, Paris, Editions de la Différence, 2013, p. 131.
fresque :
commentaire : " habité par de sombres idées après la catastrophe rail-route de Millias, j'ai commis ce post " claudio
"Toutes les douleurs de sépaation se touchent du bout du coeur. On cherche des consolations à un bonheur perdu. Saint-exupéry l'exprime bien dans ses oeuvres. Le Petit prince : "J'aurai l'air d'avoir mal et ça ne sera pas vrai"un passage qui éévoque si bien le GRAND PASSAGE.