Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
1. Vous viendrait-il à l'idée de profiter d'êtres humains malheureux ? on espère que sur cavaillongay personne n'est comme ça. On tient à le dire, on est définitivement contre ce type d'agissement. "C'est atterrant et effrayant de voir comment il étabilssent un climat de confiance pour assouvir leurs pulsions",
le Dauphiné Libéré du 5 janvier 2017
C’est à huis clos que le tribunal d’Avignon l’a jugé, et condamné à cinq ans de prison, hier. Didier Journot, 50 ans, a été reconnu coupable de proxénétisme et corruption de mineur, ainsi que d’autres infractions. Face à lui, deux victimes constituées, un jeune homme homosexuel de 16 ans aujourd’hui, et un autre de trois ans son aîné, devenu transsexuel.
Avant de faire la connaissance de Didier Journot, ils vivaient en foyer. Leur jeunesse difficile avait fait d’eux des proies faciles pour celui qui est entré en contact avec eux via Internet. Leur a offert un téléphone portable, un abonnement, puis, à force de persuasion, le gîte, chez lui à Cavaillon.
Il était jugé pour avoir, en réalité, prostitué ces jeunes, dont l’un n’avait pas encore la majorité sexuelle au début de l’affaire, en 2014.
Par le biais de petites annonces sur un site internet, il proposait leurs services aux clients. Pour, ont expliqué les victimes, se rembourser les frais de téléphonie qu’il avait déboursés pour elles, mais aussi payer ses factures.
Il travestissait sa victime en boîte de nuit
Le plus âgé des deux a expliqué avoir dû multiplier les rapports, jusqu’à cinq fois par jour, avec des clients mais aussi avec leur logeur. Qui les emmenait régulièrement dans une boîte de nuit gay d’Avignon, travestissant en femme sa victime majeure pour l’occasion.
Cette victime a encore expliqué qu’il avait subi une agression sexuelle au cours de laquelle il s’était rebellé et battu, avant de fuir le domicile de Didier Journot. L’autre victime a, elle, séjourné en hôpital psychiatrique à l’issue de son séjour chez le quinquagénaire.
Un prévenu qui n’a pas contesté la matérialité des faits devant le tribunal correctionnel.
« Il a expliqué qu’il y aurait pu y avoir pire que lui, qu’ils auraient pu tomber sur de vrais proxénètes, de vraies personnes dangereuses » a indiqué Me Bouillard, avocate de l’une des victimes, à la sortie de l’audience. Elle a obtenu 7000 euros de dommages et intérêts. Pour la seconde victime, l’audience sur intérêts civils a été renvoyée à une date ultérieure.
Par Jim GASSMANN | Publié le 05/01/2017 à 12:01 | Vu 12308 fois On lit aussi 2.plus récent : le sursis pour l'ancien médecin :
Un ostéopathe, ancien généraliste radié de l'ordre des médecins, a été condamné par le tribunal d'Avignon pour des agressions sexuelles sur une dizaine de patientes lorsqu'il exerçait à L'Isle-sur-La-Sorgue, dans le Vaucluse.
Par Annie VergnenegrePublié le 23/10/2017 à 08:20
Un ostéopathe de 59 ans a été condamné par le tribunal correctionnel d'Avignon le 18 octobre dernier pour des agressions sexuelles commises sur des patientes à trois ans de prison avec sursis, une interdiction d’exercer une profession impliquant un contact physique avec une personne et 8 000 euros de dommages et intérêts.Ancien médecin radié
Selon le Dauphiné, qui révéle l'infomation "l'ancien médecin généraliste radié de l’Ordre des médecins en 2012, était poursuivi pour une série d’agressions sexuelles sur une dizaine de patientes entre janvier 2006 et décembre 2011' lorsqu'il exerçait à l'Isle-su-La-Sorgue".
Les plaintes émanaient de quatre femmes qui s'étaient constituées parties civiles, mais la justice avait également été saisie d’une dizaine de courriers d’autres patientes. Le praticien nie les faits.
Des pratiques tendancieuses
Les accusations sont portées par des "femmes d’âge mûr, voire très mûr, qui dénonçaient des pratiques tendancieuses" note le quotidien précise que depuis quelques années, le praticien, également magnétiseur, avait quitté le Vaucluse et s’était installé dans la Drôme, à Suze-la-Rousse, où il continuait d’exercer comme ostéopathe. 3.le moniteur aimait trop ses élèves 2015 : Vaucluse : un professeur de tennis mis en examen pour viols de mineures | 03 décembre 2015, 19h54 le Parisien Un professeur de tennis a été mis en examen ce jeudi et incarcéré pour viols et agressions sexuelles sur quatre adolescentes mineures à Caumont-sur-Durance (14 min (11,0 km de Cavaillon)
via D973).
Âgé de 44 ans, l'homme est soupçonné d'avoir violé et agressé sexuellement quatre élèves mineures dont deux âgées de moins de 15 ans au moment des faits, entre 2013 et 2015. L'accusé était professeur de tennis dans un club de Caumont-sur-Durance, une commune située à une quinzaine de kilomètres au sud-est d'Avignon.
Les derniers abus remontent à juin 2015. Le professeur de tennis a depuis quitté le club pour des raisons qui ne sont pas liées aux faits qui lui sont reprochés, selon la gendarmerie.
Le quadragénaire, qui conteste ces accusations, a été interpellé mardi à son domicile et a été présenté à l'issue de sa prolongation de garde à vue à un juge d'instruction du tribunal de grande instance d'Avignon. Il a été mis en examen pour «un viol et une agression sexuelle sur mineure de 15 ans et un viol et une agression sexuelle avec la circonstance aggravante qu'ils ont été commis par une personne abusant de l'autorité que lui confère sa fonction».
La brigade de recherches de la compagnie de gendarmerie d'Avignon a débuté l'enquête après le dépôt de deux plaintes en octobre 2015. Le commandant se déplaçait avec une voiture sérigraphiée des pompiers. Carpentras (Vaucluse) De notre correspondante
Le service départemental d'incendie et de secours (Sdis) du Vaucluse est en état de choc : l'un des leurs, affecté à l'état-major, a été mis en examen jeudi soir pour agression sexuelle sur une Sud-Coréenne âgée de 22 ans et détention d'images pédopornographiques, puis écroué. Le commandant, âgé de 50 ans, marié et père de trois grands enfants, était chef du service prévision des risques au Sdis, à Avignon. C'est à la caserne que les policiers sont venus le chercher mardi matin pour le placer en garde à vue.
Samedi dernier, en fin d'après-midi, un hôtelier alerte le commissariat d'Orange : une jeune femme a été déposée devant son établissement en état de choc. La touriste raconte aux enquêteurs qu'elle avait rendez-vous plus tôt dans la journée avec un homme contacté par Internet au sujet de la location d'un logement. De passage au Festival d'Avignon, elle cherchait un point de chute. Ils se sont promenés en voiture dans le nord du département, puis se sont arrêtés dans un lieu que la justice préfère taire en l'état des investigations. Il a alors tenté d'avoir une relation sexuelle avec elle, avant de l'agresser, autour d'une piscine.
Les policiers sont remontés rapidement jusqu'au commandant, même s'il avait utilisé un pseudonyme sur la Toile pour proposer un logement. La jeune femme a fourni quelques éléments d'identification, mais surtout elle leur a révélé qu'il se déplaçait avec une voiture sérigraphiée des pompiers. Dans le cadre de son interpellation, les policiers ont perquisitionné le bureau qu'il occupait à la caserne d'Avignon, ainsi que son domicile, et ils y ont découvert plusieurs supports contenant des fichiers à caractère pédopornographique.
Lors de son audition, le chef pompier, au casier judiciaire vierge, a soutenu que la jeune femme était consentante. Cette version a abasourdi la ressortissante sud-coréenne qui a été longuement entendue par un juge d'instruction du tribunal de grande instance de Carpentras, car elle doit regagner son pays début août.
« Par mesure conservatoire, le Sdis a immédiatement suspendu l'officier de toutes ses fonctions et se réserve désormais le droit de tirer toutes les conséquences de cette affaire, tant sur le plan disciplinaire que judiciaire », prévient le Sdis dans un communiqué diffusé hier. Ajoutant que « cette enquête relève du domaine privé », le Sdis précise que les faits sont intervenus en dehors des heures de service du commandant.
4. L'homme se présentait sur les réseaux sociaux comme étant "Stéphane", un ado de 17 ans. Il admet avoir sympathisé avec une jeune fille âgée de 14 ans qu'il a connue à Avignon, à un arrêt de bus de la route de Montfavet. Une fille fragile, en détresse, une proie idéale. Ils vont communiquer par Facebook via un profil spécialement dédié par Alain Gorski, Il est fait état de cadeau, de discussions avant des propos à caractère sexuel très crus et de l'envoi de photos pornographiques à la jeune fille, qui se rendra à plusieurs reprises dans le studio d'A...G..."pour manger des crêpes". Le prévenu conteste avec force les faits d'agressions sexuelles : "Je ne l'ai jamais touchée". Il admet par contre avoir eu des relations sexuelles avec une autre adolescente, âgée de 15 ans, domiciliée en Saône-et-Loire, qu'il a connue sur le réseau social et retrouvé plusieurs fois dans une chambre d'hôtel. Lors de son audition cette jeune fille a évoqué des relations consenties. Déjà condamné à trois reprises pour des corruptions de mineurs, A...G...présente pour l'expert psychiatre qui l'a examiné "une déviance sexuelle à caractère pédophilique". "C'est atterrant et effrayant de voir comment il a établi le climat de confiance pour assouvir ses pulsions", souligne Me Bourgeon, partie civile. "Il a une personnalité perverse", assène au cours d'un sévère réquisitoire le substitut du procureur, qui parle d'un comportement de "prédateur" avant de dénoncer des faits "odieux, répugnants et nauséabonds".
Après délibéré, le tribunal condamne A...G... à la peine requise de 4 ans de prison, avec son maintien en détention et son inscription au fichier des délinquants sexuels. Le Conseil départemental de Vaucluse, administrateur ad hoc de l'enfant, mineure, sera indemnisé de 3 500€ au titre du préjudice moral et de 1 000€ pour les frais de justice.
notes : il s'en passe des choses ici ~>Cavaillon DEUX MINEURS forcés de se prostituer. En janvier le tribunal d’Avignon avait condamné à cinq ans D... J..., 50 ans, coupable de proxénétisme et corruption de mineur. commentaire :