Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
En plus, ma femme en recueille indirectement les fruits par un retour de tendresse, des cadeaux, une attention de chaque instant et une sexualité épanouie. Le plus étonnant, c’est que cette aventure avec Abdou ne diminue pas le désir que j’ai de ma femme. Au contraire D’ailleurs elle ne se plaint pas. Pas de question du genre « Tu as quelque chose à te faire pardonner ? » Elle apprécie. Je la trouve rayonnante. Le bonheur, quoi !
Quelque chose s’est débloqué en moi. Une envie permanente de faire l’amour. Avec ma femme, avec Abdou. Sans eux, je me branle. À cinquante ans, c’est un peu particulier, mais je me dis que cela ne concerne que moi. Moi, ma libido. Ce corps noir. Celui d’Abdou. Ce corps blanc qui est le mien.
Une douche, et quelques brasses dans la piscine. Nous avons le temps. Margie rencontre des copines. Abdou est assis sur la margelle. Je traverse la piscine sous l’eau et apparais éclaboussant le garçon. Blague de collégien. Mais cela me conduit juste entre ses jambes et, la plaisanterie assumée, je me retrouve pile-poil au niveau de sa verge. Je l’ai vue bien des fois depuis notre première rencontre. Elle m’a séduite, et maintenant il m’arrive de la caresser, voire de la branler alors que je le sodomise. À l’aune de mes mains, elle est longue et grosse. Pourtant on ne le dirait pas tellement elle est bien proportionnée.
Je pense que secrètement j’en avais envie. Oui, envie comme je le fais, de poser un baiser sur le bout rose sombre.
Un seul contact de mes lèvres, et elle se déploie. D’alanguie, allongée, elle se transforme en tige dure. Son poids l’entraîne et elle reste
horizontale. Provocante, encore plus près de mon visage, comme si une main perverse m’apportait cet énorme bourgeon.
Le gland dans ma bouche, j’ai l’impression que je vais étouffer. Je respire tranquillement. Je joue un moment avec le sillon, passant ma langue
comme on le fait entre glace et cornet. Je me force un peu, gagne un ou deux centimètres, mais j’ai aussitôt un réflexe qui me fait la quitter.
Abdou sourit franchement.
— C’est la première fois ?
— Oui. Enfin, pour une vraie, sinon j’ai déjà sucé un gode pour exciter
Margie.
— Je te montrerai si tu veux. Il suffit d’un peu de contrôle, et surtout d’une vraie
envie de sucer.
— Peut-être, mais je ne vois pas quelqu’un te la gober entièrement.
— C’est vrai.
Je sors de la piscine.
— T’as vraiment un joli petit cul. On ne te l’a jamais dit ? me dit mon amant qui se lève et
vient se coller contre moi.
— Si : Margie, souvent.
— Évidemment, Margie est bien placée pour le voir.
Il est contre mon dos. Je sens parfaitement son mandrin qui semble toujours dur. Il se frotte à moi. Me provoque.
— J’ai envie de toi… me susurre-t-il à l’oreille.
— Moi aussi.
— Oui, mais envie de toi : envie de ton petit trou. J’imagine qu’avec Margie vous jouez
à qui encule l’autre…
— Mais non. Moi je la prends, mais pas elle. Parfois un doigt.
— Vraiment ? Avec un tel cul…
Il passe ses mains sur mes fesses. Déjà un doigt s’égare.
— Abdou, arrête.
— Mais non, je veux te prendre moi aussi. J’en rêve depuis des semaines.
— Mais…
— Je ferai attention.
— Mais…
— Promis. Si je te fais mal, on arrête tout. Regarde, tu bandes. Tu vois que tu as envie
toi aussi ? Il faut que tu essayes.
Il me branle d’une main alors que l’autre fait tourner son doigt. Je ne dis rien, troublé d’être passé de dominant à dominé. Lentement, pas après
pas, me fouillant le cul plus profondément de son doigt, il me pousse vers la table basse.
— Mets-toi en levrette. Je vais chercher le gel.
Si quelqu’un entrait, il verrait cet homme nu, à quatre pattes sur une table, la queue raide qui pend. Mais déjà il revient.
Le gel est froid.
— Voilà, c’est bien, ne résiste pas.
C’est plus gros, mais pas douloureux. Cela tourne en moi, apprivoisant ce muscle vierge pour ce genre d’exercice. Il tourne, mais aussi avance et
recule, simulant la possession. À nouveau du gel. Je comprends que ce qui se frotte maintenant contre moi, ce ne sont pas des doigts, mais l’extrémité de sa queue.
Il se frotte un long moment. Du gel à nouveau. J’imagine mes fesses, mon cul, mais aussi sa bite briller de la crème grasse.
Il pousse. Il tapote mes fesses, puis une grande claque qui me surprend. La surprise passée, je sens que j’ai quelque chose en moi. Une gêne difficilement identifiable si je ne savais qu’Abdou est entré dans mon intimité.
La lente glissade n’a pas de nom, si ce n’est une occupation envahissante de mes entrailles.
— Voilà. Je suis tout en toi. Tu vois, ce n’est pas la mer à boire.
C’est vrai. Qui aurait cru cela si facile ? Pour ma première sodomie, au moins j’ai placé la barre très haut. Mais mon enculeur n’en a pas fini avec
moi. Il reprend son mouvement en sens inverse, puis avant, puis inverse. Enfin, quoi, Abdou me lime le cul.
Quel spectacle nous devons montrer… enfin, surtout moi.
— Putain, que c’est bon ! J’avais oublié combien le cul d’un puceau est
serré.
Il ne va pas trop vite. Parfois sa queue sort entièrement et mon cul doit prier pour qu’il revienne. Je ne vois rien et pense déjà que la prochaine
fois il me prendra de face ; ainsi je pourrai le voir.
C’est bon. C’est de mieux en mieux. Je me décontracte. Je pose ma tête sur la table, me cambrant encore plus, et je le sens d’une autre façon.
Je me branle. C’est bon. J’ai une trique d’enfer. Une main se plaque sur mes reins, me forçant à me cambrer encore plus. Je suis une femme… Oui, comme ma femme lorsque je la prends en levrette, la chatte ou le cul, et qu’elle se tortille vicieusement pour mieux me sentir.
Je le fais. Je suis une femelle et on me possède. Je me sens si bien…
— Je viens… Je viens…
Abdou se libère en moi. Une impression d’abord dérangeante, mais bien vite intégrée par mon cerveau. Du foutre ! C’est du foutre qui m’inonde. Du foutre qui rend encore plus faciles les quelques mouvements pour qu’il se termine.
Il se retire. Il découvre ma queue encore raide, abandonnée depuis que j’ai le cul plein de sa liqueur.
— Attends. Attends. Tourne-toi.
Et mon amant me prend en bouche. Ma bite disparaît entre ses lèvres roses et charnues. Il faut peu de caresses pour que je jouisse. Abdou recueille chaque goutte. Que ce soit un homme ou une femme, c’est toujours très « sexe » de voir une bouche se remplir.
Ma queue s’alanguit et Abdou l’abandonne. Ses lèvres sont closes. Son regard rieur. Il avance sur moi, et sans que je m’y attende, il m’embrasse. Un baiser que nous n’avions jamais échangé. Mais un baiser forcé où il fait couler de sa bouche mon propre sperme.
Content de lui, alors que je suis bien obligé d’accepter de boire ma liqueur, il ajoute :
— La prochaine fois, je vais te gicler dans la gorge.
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