Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
Il est je ne sais où, Un beau Prince charmant que j'ignore. Je crois l'entendre sur un ton très doux Me dire : "Je t'adore ! " Les nains demandent à Blanche-Neige de raconter une histoire. Celle-ci commence à narrer l'histoire de sa rencontre avec le prince, puis, laissant libre cours à ses pensées, elle se met à chanter ses rêves d'amour. Pendant la chanson, la caméra est centrée sur les nains et leurs différentes réactions. Puis l'horloge sonne onze heures et Blanche-Neige dit qu'il est temps de se coucher.
Un jour, mon prince viendra Un jour, il me dira
Ces mots d'amour, si troublants et tendres Que j'aurai tant plaisir à entendre ! Qu'il vienne, je l'attends,Craintiff et le cœur battant, Dans
ses bras, alors, Mon beau rêve enchanté Deviendra réalité !
Jeune travailleur, célibataire et seul dans mon petit logement, il ne m’a fallu que quelques jours avant que l’envie de sexe se manifeste. Les premiers jours, je me suis contenté de mes doigts, de mon poignet et d’un sextoy commandé sur internet. Il a fait son office et puis il m’a fallu un peu plus, le regard insistant de quelques hommes en ville s’est fait suppliant. Moi je ne voulais pas m’attacher mais j’assumais mes envies de passif et je voulais savoir si je pouvais atteindre le plaisir que je me supposais capable d’atteindre légitimement.
Vous l’aurez compris, j’ai eu plusieurs conquêtes, souvent pour un soir.
Je me suis inscrit sur un site de rencontres gay bien connu et plus d’un homme m'ayant contacté au vu de mes 18 ans et de ma photo, a pu me séduire et me baiser dans le même W.E. Ils se vantaient et se prenaient pour des Don Juan mais n’ont jamais rien compris à mon désir. Je me servais d’eux pour me libérer et être le gars passif que j’avais envie d’être.
Enfin arriva celui qui fut mon déclencheur, celui qui me fit franchir allègrement ma barrière mentale.
Il s’appelait Rocco, ça ne s’invente pas, il était italien mais ne possédait pas comme son célèbre homonyme une bite monstrueuse. Toutefois, son corps athlétique m’encourageait à aller vers lui et il semblait bien me rendre mon intérêt.
Tenue sexy, rendez-vous dans un bar. Un verre, deux verres. Mon lit. Sa queue entre mes fesses.
Quand j’y repense, notre première fois ne fut pas très originale. Elles ne l’étaient que bien rarement les premières fois. La porte franchie, nous nous sommes embrassés, j’ai glissé mes mains sous sa chemise. Il m’a pris un téton. Tout en laissant une main sur mon cul. Une assurance toute masculine et je me suis laissé faire. Très vite, ma main sur sa braguette et son sexe dans ma bouche. Il venait pour cela et j’avais pris de mon côté de l’assurance dans ce domaine.
À deux pas de la porte, encore à moitié sapé et à genoux, je suçais cette queue d’inconnu comme si j’en espérais un trésor au bout. À défaut de trésor, j’avais un sexe tout à fait méritant pour me prendre (ce qu’il exiga très rapidement). Nous nous sommes dirigés en nous déshabillant vers la chambre. Je lui ai désigné la table de chevet pour le préservatif, mais il m'a laissé entendre -"très peu pour moi" Je l’ai encore sucé quelques instants pour m’assurer de son érection avant de m’allonger complètement sur le lit.
Il devait croire que l’honneur de sucer un tel Apollon était suffisant comme préliminaire pour un passif car il m’a pris sans préambule. Peu importe, en réalité car j’avais besoin de sexe. Point final.
J’ai tout de suite pris du plaisir à sa pénétration franche, un peu brutale. En réalité, ce n’était pas du plaisir mais l’assouvissement de mon besoin.
Toujours est-il que ce beau gosse me faisait un bien fou. Il était adroit, alternait les rythmes et les positions. C’était bon. Pas forcément la baise du siècle mais un vrai bon coup. J’ai aussi compris qu’il n’en avait que faire de moi ou de mon plaisir, seul le sien comptait. C’était toujours plus moins cela avec les aventures d’un soir mais avec lui, plus qu’à l’accoutumée, je me suis senti objet sexuel pour lui, comme lui l’était pour moi.
Une digue s’est rompue en moi ce soir-là, ne me demandez pas pourquoi. Je me suis mis à jouir comme jamais et je ne me contrôlais plus du tout. À peine le temps de me mettre à quatre pattes, la position parfaite pour cette situation car la levrette ne peut pas être romantique, que je gémissais de plus belle et je montais dans les "tours" comme un moteur de F1. Je jouissais de n’être qu’un trou et il savait s’y prendre.
Je n’exagère pas quand je dis qu’il n’avait que faire de moi. jUste la peau, ma beauté de 18 ans, ma présence témoignant de sa puissance. J’en veux pour preuve qu’il n’a fait aucun cas de moi pour me sodomiser. Il a planté son sexe sur mon anus. Il en a fait deux ou trois fois le tour avec sa queue rigide manoeuvrée d'une main . Je ne croyais pas à ce moment qu’il allait me sodomiser sans me demander mon accord ni nous lubrifier . Il m’a pris d’un coup. J’ai crié à cet instant, autant de douleur et d’inconfort que de mécontentement. Au deuxième coup, j’étais confus d’avoir aimé, au troisième, j’en voulais encore. Au quatrième, je ne voulais plus qu’il sorte de là, le criant de tous mes poumons en essayant de déchirer les draps de mes poings crispés de plaisir.
M’avoir fait jouir comme jamais m’a libéré d’une façon inattendue et excitante. J’avais tacitement accepté la sodomie, j’avais pris du plaisir en quelques instants. Il a attrapé mes cheveux dès le début mais une plus forte pression au bout de deux ou trois minutes m’a fait comprendre qu’il était temps que je me retourne. Installé entre mes jambes, moi au bord de l’asphyxie d’avoir tant crié, il a joui dans mon ventre. Quelques coups de poignet ont suffi pour qu’il se libère au-dessus de mon anus et qu'il poursuive à l'intérieur en feulant de plaisir. C'était bon de voir un homme jouir comme ça, de sentir son sperme à l'intérieur de mon corps.
Je ne sais pas pourquoi mais je savais que cette fois-là, j’avais franchi un cap.
À aucun moment je n’ai été amoureux de lui, pas plus que ceux qui l'avaient précédé. Cela ne m' empêchait pas de baiser le plus souvent possible. Ces quelques semaines ont été comme une parenthèse enchantée dans ma vie. Il avait une libido déchaînée et je découvrais dans ma passivité un plaisir comme je n’en avais jamais connu. Il n’y avait pas un matin où je ne soulageais pas son érection matinale avec ma bouche. Nous avions vite eu nos habitudes. Il aimait me sodomiser dès que je rentrais du boulot. Il m’a pris en appui contre la porte d’entrée, dans la douche, sur le lit, la table de cuisine. Durant toute notre relation je suis resté sans initiative, j’écoutais mon corps et mes sensations en fonction du moment, de la position, de son attitude. Lui se vidait les couilles et moi je donnais une suite à mon éducation sexuelle.
Au bout de quelques semaines, c’est moi qui ai mis fin à notre histoire. Je suis assez mignon et je savais par expérience ne pas avoir de mal à rencontrer un autre homme, un pour lequel j’éprouverais peut-être un peu de sentiment et avec qui je pourrais expérimenter les découvertes de mon corps. Et puis je commençais à me lasser d’être sodomisé tous les jours à la même heure et de lui tailler une pipe à chaque douche. Même la fellation matinale perdait de son charme.
L’amour, je ne l’ai jamais rencontré. J’ai rencontré certains hommes un quart d’heure, d’autres quelques semaines. Avec ceux-là, j’ai quelquefois été actif, dominateur, instrumentalisant leur bite pour mon plaisir. Je prenais juste ma vie en main.¤
ne perds ps cette allure un peu sauvage...je ne sais pas dans quelle catégorie de gays je dois te classer, ce sera après notre rencontre...je fonctionne comme une agence de notation...
de l'allure, mais doit faire ses preuves...