Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
Je commençais à en avoir plein le dos de ce comptoir, de ce bistrot, de tous ces gens, de la vie même. Bref j’étais, ce samedi
soir, dans un état éthylique légèrement avancé, j’avais pas mal de raisons pour m’être mis dans cet état, et la terre entière m’emmerdait. Ce cochon de Michel m’avait plaqué pour une nana, grand
bien lui fasse et tout ce que je lui souhaitais à cet instant, c’était de se choper une bonne chaude-pisse aves sa nana. Et quel boudin ! Complètement disproportionnée qu’elle est la pauvre
fille, et avec ça, aucune finesse. Non, j’étais dépité d’avoir partagé ainsi de longues nuits avec Michel pour le retrouver maintenant dans les bras de cette morue infâme. Si elle avait été belle
au moins. Bon, je vais me calmer un peu car je sens que je vais me repiquer une bonne crise de jalousie.
eh oui, Guy a aujourd'hui 56 ans
les hommes n'ont pas changé, la drague, la baise dans les toilettes seulement un peu...
comme le temps passe ! et le gars qui au final l'a baisé, il l'a remarqué grâce à son léger maquillage...
En tout cas, ce soir je me sens vachement excité et il ne faudrait
pas qu’on me cherche des noises. J’ai recommandé un demi au serveur.
Au bout du comptoir un petit mec me croisait le regard comme si rien n’était et parfois je sentais qu’il me matait dans le miroir. Je me suis
levé et me suis dirigé vers lui.
Il avait l’air d’avoir à peu près le même âge que moi, dans les vingt-cinq ans, les cheveux coiffés en brosse, un visage carré, le nez aquilin, des yeux sombres légèrement dessinés avec du khôl.
— Bonjour, on se connaît peut-être ? je lui ai demandé.
— Je ne pense pas, il m’a répliqué, mais ça n’a pas d’importance, tu reprends la même chose ?
On a causé un peu de tout, à voix basse et je me suis rendu compte que ce mec ne me déplaisait pas du tout à un tel point qu’à un moment donné je lui ai même dit. Il m’a répondu en me proposant de descendre dans les toilettes.
Mais avant d’y aller il m’a glissé à l’oreille que ce qu’il préférait c’était sucer. «Pas de problème j’ai dit, moi c’est ta bite que je veux sentir, dans mon cul.» Et on s’est retrouvé ainsi dans les chiottes du bistrot. À peine entré, j’ai enlevé mon pantalon et j’ai baissé mon slip. Ma queue s’est dressée, le type s’est mis à genoux devant moi et se l’est fourrée dans la bouche. Il suçait bien le diable, à tous les coups j’étais tombé sur un expert, qui en plus se prenait un super pied à faire des pipes. Moi, je m’étais adossé contre le mur, les yeux fermés, le bas-ventre tendu en avant, les couilles gonflées par l’énervement et par l’excitation. Il avait placé l’une de ses mains sur mes fesses et me les poussait régulièrement d’avant en arrière, sa bouche suivant le mouvement. Et puis il s’est mis à aller de plus en plus vite en serrant bien les lèvres avec plein de salive dans sa bouche. Le type gémissait comme une nana qui s’envoie en l’air et ses petits cris aigus contrastaient vachement avec son physique. Je lui ai pris la tête entre mes deux mains et j’ai imposé mon rythme pour me finir.
J’ai longuement déchargé dans sa gorge et il a tout avalé, jusqu’à la dernière goutte. Cette séance m’avait mis en appétit, et j’avais très envie de le sentir en moi. Je l’ai aidé nerveusement à se défaire et sa queue m’est apparue ravissante, désirable, surtout prenable. Je me suis tourné alors après l’avoir au préalable bien enduite de salive, j’ai relevé mon postérieur, et ses mains m’ont bien écarté les fesses.
J’ai senti son membre hésiter à l’entrée, pousser, repartir puis revenir à la charge. J’avais devant les yeux pleins d’étoiles, il fallait qu’il me pénètre vite, j’avais le souffle court et la frustration devenait insupportable. J’ai poussé très fort en le suppliant de venir vite. Le gland a commencé à s’incruster entre les replis de ma chair puis tout le reste a suivi. J’ai alors poussé une longue plainte de délivrance lorsque sa queue s’est enfoncée complètement en moi. J’ai commencé à remuer des fesses et lui s’est mis posément à me limer. J’ai appuyé mes mains sur le mur en face de moi, il m’a pris par les hanches et violemment m’a projeté et m’a ramené vers lui. J’étais comme groggy, plus rien n’existait autour de moi si ce n’était ce membre qui me fouillait la chair le plus loin possible. J’ai eu un nouvel orgasme, encore plus fort que le premier et je crois que le cri que j’ai poussé a dû pas mal exciter l’autre, car au même moment mes intestins se sont remplis de son liquide chaud.
On est remonté se boire un autre coup au comptoir comme si de rien n’était et il s’est tiré un moment plus tard.
Guy, 24 ans. 1985 pensez-y !
le type s’est mis à genoux devant moi et se l’est fourrée dans la bouche
ce membre qui me fouillait la chair le plus loin possible
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