Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

  la lutte finale fausse lutte et vraie baise 

     

  sans attendre, il se plaque contre moi. Il me roule une pelle endiablée ! C'est un véritable ouragan ce mec ! Il m'a renversé sur le tapis. Sa langue fouille ma bouche, comme un mort de faim. Nos salives se mêlent, débordent de nos lèvres. Ses mains, deux énormes battoirs, ont saisi mes fesses, les triturent, les malaxent. Il me plaque bien contre son corps. Je sens sa verge dure et raide collée à mon bas-ventre. Il bouge son bassin pour que je m'excite davantage. Je n'ai pas le temps de prendre la moindre initiative : c'est lui, le jeune éphèbe, qui me serre, m'embrasse, me palpe le cul, me caresse les cheveux, me bouffe le visage et le cou, glisse sa langue dans le creux de mes oreilles. C'est comme si j'étais en chiffon, ou une poupée gonflable. Je suis sa chose. Et je n'ai plus la sensation qu'il joue un rôle, mais qu'il a vraiment envie de moi, qu'il veut assouvir son désir, calmer un violent appétit de sexe. Je me laisse faire, conscient de vivre un moment inoubliable, heureux de connaître cet inconnu qui, chair contre chair et "bareback", va tapisser mes intérieurs de son sperme.   

Mer 27 sep 2017 Aucun commentaire