Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

 

 

         

 

 

 

 

 

 "Hummhhhh, ton trou est si sympa et si serré, il me laisse si facilement entrer et se prend ma bite facilement ; il n'y a qu'à pousser un peu, j'adore te fesser quand je veux, en utilisant ton petit cul comme un jouet pour faire plaisir à ma bite alors que la tienne est enfermée en permanence dans cette petite cage dont la clé pend autour de mon cou. Et je prends conscience que ma bite dans ton trou est le seul sexe que tu puisses ressentir depuis que tu es encagé et ça depuis deux ans. J'aime savoir que, même si tu me laisses te baiser "hard" à ma guise, sans que je fasse rien d'autre pour te faire plaisir, tu as chaque fois autant faim de ma grosse bite qui te remplit et t'élargit et prend toute la place dans ton adorable petit cul. On dit que les aveugles jouissent plus et toi ta bite est aveugle de la branlette, de la pénétration et tout le reste ce qui rend ton cul si important pour ressentir l'effet du sexe. Et moi , tu le sais, il me faut décharger profondément dans tes intérieurs plusieurs fois par jour, en utilisant ton cul pour me faire cracher mon jus, sachant que tu n'as pas joui par ta bite  depuis tout ce temps j'adore ce qui te donne encore plus envie de ma bite.
   
Tu ne te souviens même pas à quoi ressemble le plaisir par ta queue, n'est-ce pas? Avant tu pouvais caresser ta bite tendue maintenir ton plaisir jusqu'à ce qu'elle vienne. Maintenant,  tu ne craches plus ton jus, et ton cul est ton seul organe sexuel. Tout ton être sexuel gravite autour de moi et me réclame, en attendant que je t'utilise, te dose et te féconde d'unee quantité de mon sperme. Et parce que tu es tout le temps si excité et désespéré, tu veux toujours davantage ma queue. Peu importe si la situation te fait souffrir, tu ne peux pas la changer et empêcher que tu sois mon trou à jus.
    
Hummmmmhh là ça y est je jouis ! Voilà un bon garçon, ton boyau ressent les pulsations que tu appelles,  tu peux me croire, il est doux et profond ton cul. Sens comme mon sceptre, royal pour toi, est au fond de l'intimité ton être, alors que ta queue, déjà atrophiée ne vivra plus jamais ça ". - "Ohhhhh; j'ai dormi. Salaud qu'est-ce que tu m'as fait boire?  Qu'est-ce qu'il y avait dans ce verre ?  Et ma clef ? Reviens ! jamais plus tu ne pourras être heureux sans te faire baiser au quotidien et tu ne pourras plus bander...Jamais personne ne te fera jouir autant que moi, ton amant. Personne, tu m'entends ne t'enculera jamais aussi bien ! Dis-moi que tu m'aimes, que tu aimes ma queue qui est la seule à savoir te faire jouir du cul... Tu ne dis rien ? Tu n'as plus ta cage, tu veux que je te baise ? je te caresserai l'entrejambe tout le temps, allez, je suis d'accord pour te rééduquer, mais reviens mon minet, je t'aime tu sais... je te l'ai jamais dit, mais je t'aime..." 

 

 

commentaire : "d'une manière ou d'une autre, un type dont la bite est neutralisée (même par l'impuissance) a  tout intérêt à reporter sa sexualité active sur son cul  et devenir passif)" (anonymus)