Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

Un témoignage gay. Des photos illégales de la Corée du Nord qui montrent ce que le pays veut cacher...

detonate.com/detonate.com ici on a plus souvent à pied qu'en voiture ou même à vélo ! 

detonate.com/detonate.com/ Faire semblant de travailler de peur d'être réprimandées... 

Recyclage ! vendre sa merde

Les déchets humains sont transformés en engrais, c'est considéré comme très bon pour l’agriculture. Ainsi, c’est une façon pour les habitants d’être payés et d' être en mesure de s’offrir des choses comme de la nourriture... pour faire encore plus de déchets.

detonate.com/detonate.com/ Face à la pénurie importante d'engrais en Corée du Nord, le pays a décidé de vendre à la place des excréments humains afin de maintenir un bon niveau de culture. La Corée du Nord est soumise depuis longtemps à un embargo international en raison de son régime politique totalitaire. Conséquence, le pays souffre régulièrement de pénurie. Depuis peu, c'est l'engrais qui vient à manquer, ce qui pose un véritable problème pour les agriculteurs. Mais lors d'un récent séminaire, le professeur Kim Young-Soo, de l'université Sogang à Séoul, a annoncé mardi avoir trouvé une solution à ce manque d'engrais : vendre à la place des excréments humains.FacebookTwitterPinterestPartager sur Facebookif(width_site<769){ document.write('

'); }"Chaque foyer utilise des excréments humains comme engrais, mais comme il n'est pas facile de se débrouiller avec ces quantités, des stands ont fait leur apparition sur les marchés", a-t-il annoncé, relayé par l'AFP. Cette alternative étrange intervient alors que la livraison annuelle de produits fertilisants et de riz à la Corée du Nord par la Corée du Sud est arrêtée depuis 2008, suite à un refroidissement des relations. 

pas de gens obèses ...et pour cause !

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homos ???  impensable !

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pas de voitures : pas d'embouteillage

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  commerce alimentaire :  

      On peut être chassé du marché si l’on n’est pas un habitant du coin. Seuls les locaux peuvent aller y faire des achats. Il doit s’agir de rations et ils doivent tout juste en avoir assez pour eux-mêmes :       

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        On a du mal à lire dans les pensées de gens aussi fermés à la communication ; sont-ils heureux par moments ? detonate.com/  Intercepté par un guide

Visiter la Corée du Nord n’est pas de tout repos. Vous êtes souvent intercepté par un guide. Il vous emmène partout, vous dit quand manger et dormir, et a pour devoir de ne pas vous perdre de vue.

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Des paysans nord-coréens se servant d’un bœuf comme bête de somme. Photo : Lei Yang :

Des paysans nord-coréens se servant d’un bœuf comme bête de somme

Chine : Des bateaux attendent les touristes qui veulent s’offrir une vue de la Corée du Nord depuis le fleuve Yalu.

Des bateaux attendent les touristes qui veulent s’offrir une vue de la Corée du Nord depuis le fleuve Yalu.

l’économie moribonde de la Corée du Nord fait que les taux de pollution n’ont rien à voir avec ceux des grands centres industriels chinois.

Un beau ciel bleu sans smog ni fumée en Corée du Nord
Photo : Lei Yang

 Corée du Nord et Chine Face à face le long du fleuve Yalu :

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  Témoignage "Erasmus" : Alessandro Ford : Un étudiant britannique raconte son échange universitaire en Corée du nord

 Alessandro montre son université coréenne  Comme beaucoup de jeunes de son âge, Alessandro Ford a réalisé un échange universitaire dans le cadre de ses études. Mais il est le premier occidental à réaliser cette expérience en Corée du Nord.

Pendant 5 mois, d’août à décembre, Alessandro Ford a vécu dans un régime totalitaire, celui de Corée du Nord. Durant son séjour, ses moindres gestes et ses moindres déplacements étaient surveillés et limités, à en devenir «étouffant» confie-t-il au Guardian .Son seul contact avec le monde extérieur était hebdomadaire: un coup de téléphone de 10 minutes maximum avec sa mère.

C’est à l’université Kim-Il-sung à Pyongyang que l’étudiant a réalisé son échange. Pendant le temps passé dans l’établissement, il a rencontré des étudiants nord-coréens avec lesquels il a beaucoup échangé: «Nous parlions de tout, mais toujours du point de vue de leur société» déclare-t-il. Pour exemple, il raconte ce moment où il leur a fait écouter des chansons du rappeur Eminem. La réaction des étudiants nord-coréens fut unanime: «Pourquoi ne parle-t-il que de lui, de sexe et de drogue dans son rap? Il devrait parler de son pays!»

En plus de ce fossé culturel, Alessandro a aussi été marqué par l’extrême pudeur des Coréens: «Pour eux, pas question de sexe avant le mariage. Il y a des couples mais ils ne font rien! Ils ne s’embrassent même pas. Ils m’ont dit qu’ils se montraient leur affection autrement».

Toilettes à la turque et bain collectif

Pour son séjour, Ford a déboursé 3000 livres (environ 4300 euros). Pour ce prix, Alessandro était logé et nourri. Si les conditions d’hygiène étaient pour le moins rustiques (toilettes à la turque, douches collectives, sauna en groupe), le dortoir était plutôt confortable: «Les chambres étaient très classiques mais plutôt agréables. Par contre, je me rappelle qu’en hiver, par -20 degrés, il y a eu une coupure d’eau chaude de deux semaines!»

Si Alessandro a choisi la Corée du Nord, c’est surtout grâce à son père, un ancien député européen. Avec lui il avait visité le pays lorsqu’il avait 15 ans. Et lorsqu’il a commencé à évoquer un échange universitaire à la fin de son lycée, son père lui avait dit en rigolant: «Si tu ne décides pas rapidement ou tu veux aller, je t'envoie en Corée du Nord». C’est finalement la destination qu’Alessandro a choisie, lui qui est persuadé que de telles aventures peuvent ouvrir la Corée du Nord sur le monde.       

    «Je ne savais pas que l'homosexualité existait», témoigne un réfugié nord- coréen gay.     

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  "The Guardian : "même pas en rêve ! "I could not even dream': What it's like to be gay in North Korea"

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Le déserteur gay nord-coréen parle
Points forts de l'histoire
• Jang Yeong-jin a déserté la Corée du Sud en 1997
• Il a été conduit à quitter le Nord par les difficultés de vivre là-bas en tant que gay 

 Jang Yeong-jin dit qu'il n'a jamais aimé sa femme.

Tout au long de leur mariage, il se sentait coupable et confus, honteux qu'il était,

selon ses mots, de «ruiner la vie d'une femme». CNN 

 Jang n'a pas entendu le mot «homosexuel» pendant les 37 premières années de sa vie, disant qu'il n'avait aucun concept de ce que cela signifiait, c'était quelque chose de totalement inhabituel dans sa Corée du Nord natale.

"Quand j'étais à l'Université de Pyongyang, je suis allé voir un neurologue, me demandant pourquoi j'étais tellement
différent des autres", a-t-il déclaré à CNN.

"Mais aussitôt que j'ai commencé à parler de mes sentiments
, j'ai dû m'arrêter d'y aller , parce que le médecin m'a engueulé." Jang Yeong-jin says he knows of other people in North Korea who have had the same experience. <img alt="Jang Yeong-jin says he knows of other people in North Korea who have had the same experience. " class="media__image" src="//i2.cdn.cnn.com/cnnnext/dam/assets/170424065928-north-korean-gay-defector-hancocks-pkg-00002413-large-169.jpg">  Jang Yeong-jin dit qu'il connaît d'autres personnes en Corée du Nord qui ont eu la même expérience.

«Je savais que je devais partir»

Jang dit qu'il pouvait se procurer des aliments ou des vêtements limités en Corée du Nord,
mais n'ayant rien à quoi rêver il demeurait misérable et sans espoir.

Il dit que le seul qui ait approché son rêve ce fut un ami d'enfance, dont il a plus tard
compris qu'il avait été amoureux. Leur innocente proximité dans l'enfance s'est  aisément étendue à l'âge adulte. Se prendre  les mains ou partager un lit n'était pas inhabituel, dit-il, et leurs deux épouses savaient qu'ils étaient "proches".

"Un jour, mon ami est venu me voir", dit-il. "Ce soir-là, j'ai quitté le lit de ma femme
et je suis entré dans le sien ; il dormait, je tremblais,  mon cœur s'est mis à battre très fort et  je ne pouvais pas m'expliquer pourquoi il me faisait autant d'effet".

"Je me suis levé, je suis sorti et j'ai vu une oie sauvage voler sur ma tête. Je
compris que c'était un signe, je sentis alors que je devais partir".

Pour moi ce fut un envol vers la liberté.

Jang a fui en Chine  à travers la frontière en 1996, où il a lutté pendant 13 mois pour trouver
un moyen de rejoindre la Corée du Sud.  La Chine considère les Nord-Coréens comme des migrants économiques plutôt que des réfugiés politiques ou des déserteurs, s'ils sont capturés, ils sont habituellement refoulés vers la Corée du Nord qui les châtie gravement pour s'être échappés..¤ commentaire :
           
Sam 19 aoû 2017 Aucun commentaire