Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

     Image associée j'ai quelques soupçons sur des gars qui avaient envie de moi, ça c'est clair, ils m'ont d'abord dragué au cours des derniers mois, m'avaient  touché les parties sexuelles en rigolant au bar du foyer.Y en a un en particulier qui m'a caressé le cul en plusieurs occasions jusqu'à réellement me troubler. Je crois que si une meuf m'avait fait ça, ça m'aurait troublé pareil. Mais je suis pas gay et ça les fait marronner. De cette fête y a eu un avant et un après . Croyez-moi je vais pas aller cafter à la police ou voir un docteur pour le constat  de viol aggravé, car c'est ça ! Mais j'ai aucune haine. Je -mon cul plutôt- digère leur sperme tout seul. Dire que ça m'a changé ? je sais pas. Sans m'en souvenir exactement, je sais que j'ai pris leurs pines et leurs jutes dans mon cul puisque ce dernier puait le foutre. J'ai idée de jouer l'hétéro retourné pour voir ceux qui se laissent tenter et se découvrent être les auteurs. En fait j'ai une espèce de syndrome mental : comme je l'ai pas vu faire -même pas peur- je voudrais revoir ce" rêve" en vrai jusqu'à me laisser posséder par mon /mes violeurs.

Une chose me questionne lourdement c'est pourquoi j'ai pas envie de les baiser moi-même pour me venger, enfin quoi, prendre une revanche ? Y avait notamment une lesbienne qui voulait me persuader d'être gay :  

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  En fait j'apprécierais qu'ils m' nous aient filmé. Clairement ils l'ont fait -grâce à la drogue-ils ont fait de moi ce qu'ils ont voulu, ok, ça oui, ok, mais eux ils ont vu si je bandais, si j'avais du plaisir ? et ça me torture de pas savoir.Si j'ai gémi, si j'ai dit des conneries, si je les ai encouragés à me violer, ça veut dire que je suis pédé moi aussi. Et ça je le sais pas. Je voudrais qu'ils sachent, qu'ils comprennent que je les dénoncerai jamais, et qu'ils détiennent une vérité sur moi que je voudrais connaître.  

 la fête et son lendemain (certaines images se laissent docilement cliquer):         

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Image associée Image associéeImage associée Image associée Image associéeImage associée ce que j'ai trouvé avec ma migraine *  dans le lit à mon(triste) réveil : un blister vide de comprimés sans marque, une mini poire d'injection rectale et ce j'en ai déduit et imaginé :

  Image associée   Image associée Image associée     Image associée moi je crois que le premier cocktail au bar

m'a déjà été 'fatal' et qu'ensuite il m'ont fait marcher jusquà ma chambre en disant aux autres que j'étais fin saoûl. Puis là ils m'ont mis la totale, même en piqûres...y a des étudiants en médecine parmi eux  

Image associée  Image associée      Image associée             Image associéeImage associée au réveil je coulais du sperme par mon cul, je puais le foutre. C'est con ! j'aurais voulu "être là" au lieu d'être "ensuqué"quand ils m'ont fait ça !   

Turkey Baster Meat Chicken Poultry Tube Bbq Syringe Pipe Kitchen Pump Beef New  les "chems", la chimie est à la base de ce genre de pb. 

    à mon réveil, près de moi, j'ai trouvé ça : .Résultat de recherche d'images pour "small empty blister of tablets"     si c'est moi qui ai été forcé d'avaler tout ça ...???     

témoins :Eh bien, je suppose que j'ai reconstitué le reste de l'histoire maintenant. Un détail majeur manquant à ce sujet est le fait que j'ai dès le départ pris  deux doses de E(ecstasy) plutôt que une seule : une à la maison, l'autre à la fête. Mon ami m'a rappelé que "je ne pensais pas que ma première dose prise pendant que nous étions à la maison faisait quelque chose".

Donc oui, deux E dans mon système apparemment me rendent gay comme un phoque ! Mon ami dit qu'il m'a vu allongé avec les gars à la fête, je racontais des conneries qui faisaient rire tout le monde. Donc il y a 99,9% d'assurance que personne ne m'a baisé dans ces moments-là (et lui dit qu'il aurait donné un coup de pied au cul à quiconque aurait essayé de le faire sans  préservatif). Apparemment, la plupart des conneries que je racontais avaient un auditoire, et d'après lui ça a duré presque toute la nuit et ensuite il m'a vu sortir avec au moins deux gars.QUI  ?? Là, le doute persiste. J'ai demandé si j'avais l'air saoûl et "HS" et il a ri de moi. Il m'a dit que j'avais l'air bien allumé et que je semblais clairement être en possession de tous mes moyens en vue d'une belle baise si ça se présentait.

Donc, oui, il va rester la question de consentement si on est ivre et si deux doses de E suffisent à anihiler toute la volonté...une dose de E ça va, bonjour la fête lucide -lol- ; deux doses de E bonjour les dégâts ?   et bonjour l' orgie gay non consentie ?
 
 Je persiste à croire qu'on m'a fait prendre d'autres drogues en plus, du GHB c'est possible à cause de la perte de mémoire. Gâchis de plaisir si vous me comprenez...   

 

 indices :  La fête de ce week-end a commencé pour moi avec  deux amis qui se sont révélés être plutôt homosexuels (la fête, mes amies filles l'ont quittée tôt). Pendant que la nuit passait, il devint clair que c'était surtout des hommes homosexuels qui restaient sur place et en "éveil". Comme je l'ai dit j'avaii pris un E avec mon ami plus tôt dans la nuit, mais cela ne semblait pas vraiment faire effet. Mon ami m'a présenté à celui qui recevait et je suis monté m'allonger dans sa chambre à coucher en forme de loft afin de pouvoir boire un peu plus. Je suis assez ouvert d'esprit, donc être en compagnie de gars homosexuels ne m'a pas dérangé. L'hôte et ses amis étaient vraiment gentils et semblaient savoir comment faire la fête. J'étais en train de passer un bon moment et d'être vraiment schlass. Je me souviens que plusieurs gars m'ont apporté des boissons et fait fumer du chit alors qu'ils étaient nus dans le bain à remous. Après le bain à remous tout est flou. Je ne fume généralement pas (mais je me souviens toujours de ce qui s'est passé quand je suis ivre), alors je pense que peut-être quelqu'un a ajouté quelque chose à ma boisson  ou que mon organisme a eu droit à un mix de choses différentes propres à annuler ma volonté. Quoi qu'il en soit, je me souviens d'un gars qui disait qu'après cette nuit je ne serais plus capable de savoir qui j'étais ni de dire mon nom. Ca m'a énervé et je lui ai demandé de dire les choses en face : il venait de raconter qu'il m'avait vu sucer un mec. Il a maintenu qu'il m'a vu faire une fellation à quelqu'un dans la salle de bains. Pure calomnie. J'ai pris la panique en entendant cela, car, comment m'en déendre ? et je suis retourné dans la chambre où je voulais rester pour me coucher. Je me souviens d'avoir rencontré plusieurs gars au lit avec moi et nus, un très grand lit. Pour autant que je puisse le dire, ils parlaient tous des uns et des autres et surtout de moi qui étais "hétéro" têtu. Parmi eux il se pouvait bien qu'il y ait les auteurs de mon viol.      
 Là les choses se précisent un peu : J'ai un autre souvenir de deux gars qui se battaient (je pense que l'un a vraiment frappé l'autre d'un coup de poing). Je me souviens qu'un des  mecs racontait à l'autre qu'il devait me laisser tranquille et que j'étais trop fatigué pété pour baiser ! Le mec qui m'aidait à me tenir debout (?) N'était pas là quand je suis arrivé plus tard cette nuit-là, mais je me souviens distinctement de l'autre gars qui faisait quelque chose dans mon cul. Je suis honnêtement pas sûr s'il m'a baisé, mais quelque chose s'est bien produit. Je me souviens d'avoir aimé ce que je ressentais, mais cela aurait bien pu être l'effet de l'E qui nous rend tout ce qui arrive heureux et naturel.

Je me suis réveillé le lendemain nu avec *"la mère de tous les maux de tête"(hihi). Mes camarades sont venues chercher  de mes nouvelles et je leur ai parlé de ce qui s'est passé. Ils étaient complètement dégrisés et disent que j'ai été violé. Ils font vraiment pression sur moi pour aller aux flics ou la thérapie ou autres choses pas discrètes. J'ai l'impression de pouvoir dire que j'ai été violé, mais c'est aller un peu trop loin, rien ne prouve qu'au fond de moi je n'en avais pas envie. D'après ce dont je me souviens à peine, au moins certaines des choses qu'on m'a faites étaient agréables jouissives. Je ne me souviens sincèrement pas si j'ai donné mon consentement ou non. Cela me dérange d'imaginer que j'aurais donné à un gars une turlutte sans me souvenir, mais quand je pense à cela, je constate que, si je n'ai pas le début, j'ai la fin de l'histoire avec le sperme dans le cul, je ne suis pas aussi fou que je le pense et ça me permet de penser que je suis différent maintenant. Les témoins ont insisté en mentionnant quelque chose avec mon cul et tout ça fait encore penser au viol dans son ensemble : 1) Je me suis douché  2) J'ai au moins un bref souvenir d'avoir aimé ce qui s'est passé 3) J'ai très bien pu dire oui à ce mec 4) il y avait un gros pot de préservatifs à cette fête et les gars venaient en prendre. Pourquoi moi m'aurait-on baisé  sans protection ?   (je ne peux plus espérer que non ! ) pour me laisser m'interroger ?  Et puis, mon cul devrait me faire mal. Même pas; saigner ? pas du tout. Juste une gêne minime et mes fesses qui glissaient anormalement l'une sur l'autre comme quand on est savonné...   
       De toutes façons, des questions. Pensez-vous (en fonction de ma mémoire défaillante) que je devrais m'inquiéter de savoir si j'ai été violé ? Je ne me sens pas du tout violé. Je suis vraiment davantage effaré plus sur le fait que j'avais au moins eu un "plan" sexe gay et que j'ai aimé. Pensez-vous que je devrais essayer de faire appel à quelqu'un de la fête pour leur demander ce qui s'est passé? Je ne suis même pas sûr de faire confiance à leurs souvenirs car tout le monde était assez saoul. Pensez-vous que je devrais essayer de trouver le  mec  qui sait le mieux ce qui s'est passé, à savoir l'auteur ?

Tout à coup, le diagnostic de VIH n'est pas amusant.  "

Certains commentateurs ont discuté si j'ai donné mon consentement et n'ai  pu me souvenir. PLusieurs disent, cependant, ont reconnu que quelqu'un sous l'influence de la drogue ne peut pas donner son vrai consentement, tandis que d'autres ont souligné que mon (mes) partenaire (s) sexuel (s) potentiel (s) ont également été sous l'influence de la drogue. Ca rend pas les choses plus claires ou plus faciles.

On peut résumer les événements en cours :


D'accord, j'ai pu commencer ce médicament. Il s'est avéré être plus qu'un seul médicament, mais ils m'ont donné un paquet. C'était un peu trop flou à la con puisque l'endroit où je suis allé ne l'avait pas et manquait d'informations au départ. J'avais supposé qu'ils leur donnaient l'information de ce que je cherchais. J'ai fini par avoir à raconter au gars là-bas et c'était plutôt embarrassant (le premier endroit que j'ai pu expliquer par téléphone et c'était une femme).
  

Je préfère penser ne  pas avoir été violé (même si je suis d'accord, c'est une bonne idée et c'est rassurant de prendre le médicament). Je dois revenir dans deux jours et encore deux fois (au moins) pour plusieurs suivis et des tests de contamination par des MST.

Je ne suis certainement pas bien placé  pour poursuivre une action en justice ou même même utiliser le mot de viol en dehors de mon blog ou dans un forum. Je me souviens d'avoir été accroché à des gars cette nuit-là et il ne me semble pas vraiment que quelqu'un me drogue et me viole. La plupart des hommes là-bas semblaient avoir des rendez-vous, et je ne me souviens pas du  qu'ils aient été trop agressifs entreprenants quand j'étais sobre.


J'ai tellement envie de savoir ce que j'ai senti en me faisant baiser que je serais prêt à faire une "reconstitution" sans drogue cette fois maintenant que le "mal" est fait....J'ai envoyé un texto à mon ami pour obtenir le numéro de l'hôte afin que je puisse compléter certains éléments.¤
fresque:     Image associée                      Image associée En fait j'apprécierais qu'ils m' nous aient filmé. Si quelqu'un a la vidéo.... Image associéej'ai bien pu dire oui sous l'effet de l'ecstasy Image associée   NOTES : "bien d'accord : si on me baise je v en proiter pleinement" (altersex)        "au Fond tu serais d'accord pour te faire rebaiser. normal"( Rod )  "Tu es comme beaucoup d'hommes violés qui préfèrent se taire et garder ça pour  eux. A mon avis un homme survit très bien à un viol. je comprends que tu veuilles revivre ce qui t'es arrivé "sous anesthésie" sous forme consciente. Concernant ton histoire, quelque chose me dit que tu t'es régalé sans t'en rendre compte. Veille bien à conserver ta masculinité active. Fais-toi souvent bander. Baise, encule aussi : n'altère pas ta nature"(Gayditor) Je suis d'accord avec le père devilliers  qui dit à son fils : " Tais-toi et pardonne !" c'est le plus sage. (rémi Canton)     

 

Dim 5 nov 2017 Aucun commentaire