Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

ce sont des nègres (double sens*) qui ont en...tubé les électeurs ds USA en déclenchant le "raz de marée" que l'on connaît. (* en littérature Un nègre est l’auteur sous-traitant anonyme d’un texte signé par une autre personne )

Image associée mais elle tweette bien et pour pas cher avec son propre ordi !

 

 

Qui a fait élire Trump ? Pas les algorithmes, même pas les russes,  mais des millions de “tâcherons du clic” sous-payés     Ce billet a été publié par L’Obs / Rue89 le 19 novembre 2016.

Un système internet contre un autre :

Le débat sur la responsabilité des médias dans le truquage des élections ne semble pas épuisé. Moi par contre je m’épuise à expliquer que le problème, ce ne sont pas les algorithmes. D’ailleurs, la candidate “algorithmique” c’était Clinton : elle avait hérité de l’approche big data au ciblage des électeurs qui avait fait gagner Obama en 2012, et sa campagne était apparemment régie par un système de traitement de données personnelles surnommé Ada.

Au contraire, pour Trump le secret de la victoire du Toupet Parlant (s’il y en a un) a été d’avoir tout misé sur l’exploitation de masses de travailleurs du clic, situés pour la plupart à l’autre bout du monde. Si Hillary Clinton a dépensé 450 millions de dollars, Trump a investi un budget relativement plus modeste (la moitié en fait), en sous-payant des sous-traitants recrutés sur des plateformes d’intermédiation de micro-travail.

il a mobilisé une armée de micro-tâcherons dans des pays en voie de développement via Fiverr, une plateforme où l’on peut acheter des services de secrétariat, graphisme ou informatique,

Vous avez peut-être lu la news douce-amère d’une ado de Singapour qui a fini par produire les slides des présentation de Trump. Elle a été recrutée via Fiverr, une plateforme où l’on peut acheter des services de secrétariat, graphisme ou informatique, pour quelques dollars. Ses micro-travailleurs résident dans plus de 200 pays, mais les tâches les moins bien rémunérées reviennent principalement à de ressortissants de pays de l’Asie du Sud-Est. L’histoire édifiante de cette jeune singapourienne ne doit pas nous distraire de la vraie nouvelle : Trump a externalisé la préparation de plusieurs supports de campagne à des tacherons numériques recrutés via des plateformes de digital labor, et cela de façon récurrente. L’arme secrète de la victoire de ce candidat raciste, misogyne et connu pour mal payer ses salariés s’avère être l’exploitation de travailleuses mineures asiatiques. Surprenant, révoltant non ?

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commentaire (s) : digital work on demand ! "et qui nous prouve que l'élection présidentielle française n'a pas été truquée de même ? et si Sens Commun se mettait à faire une campagne anti LGBT de dénigrement, sur le modèle mis en oeuvre par Trump, en faisant croire que les ADOS outremer qui twittent pour du fric sont des électeurs français ? "

"ouais, c'est aussi con que les pubs "VU  A LA TELE" qui est un brevet de qualité ! "VU SUR TWETTER"ne sonne pas mal non plus. On est cons, nous la masse des gens ! " HARRIS  

Jeu 6 jui 2017 Aucun commentaire