Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
aucun de nous ne se plaint de la situation, ma femme l'ignore totalement. On est H.E.U.R.E.U.X.!!! je n'ai jamais été aussi heureux depuis que j’ai rencontré J.M..
Je travaille sur des chantiers de constructions. J’aime les hommes mais je suis marié. J’ai passé beaucoup d’années sans baiser avec des hommes parce que je n’osais pas, et j’avais peur que ça se sache.
J’ai pas l’air d’un pédé, et pourtant j’en suis un. J'aime me faire sucer la queue par un mec, et j’aime foutre ma pine dans le cul d’un mec, et le limer longtemps. J'aime bien aussi me faire mettre de temps en temps. Je me suis déjà fait enculer par des gros calibres, et j’ai trouvé que c’était bien. En fait, je travaille très dur et j'aime baiser en prenant mon temps pour me déstresser.
Là, en ce moment, je suis vraiment heureux. Je baise tous les soirs avec un mec qui est arrivé il y a trois semaines sur le chantier. Je ne sais pas encore comment on s'est compris, parce que ça ne se voit pas sur la tête qu’il aime les mecs, et moi non plus. Mais on se fait la fête tous les soirs après le boulot. Quand il est arrivé, j'ai tout de suite bandé pour lui et le soir je m'astiquais la queue en pensant que je le baisais.
Un soir après le boulot, j'étais le dernier à partir, il est entré dans le baraquement et il a dit:
— J’ai une de ces triques ce soir, je sais pas ce qui m'arrive!
Et il me dit ça en me regardant bizarre. J’ai un peu hésité mais on n'était que tous les deux. J’ai dit:
— Tu dis ça pour que je t’arrange?
Il m’a répondu:
— Ouais, ça se pourrait!
On s’est bien regardé en face et j’ai vu que c’était pas du genre cafteur. Je lui ai dit:
— Ça tombe bien, moi aussi j'ai envie de me faire reluire!
Le premier soir ça a été rapide. Une bonne branlette et puis c’était fini. Je crois qu’il fallait qu’on voie un peu. Sur un chantier, ce genre d’histoire, ça finit par se savoir, s’il y en a un qui fait le mariole ou qui se vante. Et moi je ne veux pas de ça. Le lendemain il ne m’a pas adressé la parole, et le soir il est parti avant tout le monde. Je me suis branlé dans la douche en imaginant que j'enfonçais ma pine dans son trou et que c’était profond et serré. C’était bon! Jusqu’à la fin de la semaine il est parti très vite après le travail. Je me disais que c’était sûrement fini, que ça avait été une envie comme ça, mais qu’il n’était pas pédé.
Et puis le lundi suivant, il part aussi un des premiers et moi je me change tranquillement. J’étais tout seul et je le vois qui revient. Je lui demande:
— T’as oublié quelque chose?
Il me répond:
— Tu es pressé?
J'ai compris tout de suite. Je l'ai poussé contre la porte et je me suis serré contre lui: j’ai commencé à lui palper tout le corps. Je suis arrivé à la queue. Elle était raide sous son froc. J’avais vraiment envie de lui enfoncer ma pine. Je le lui ai dit. Il était d’accord. On avait tout notre temps. On a fermé de l'intérieur et je lui ai baissé le slip. J’ai mis sa queue dans ma bouche et je l'ai sucée. Ça avait un bon goût. J’avais vraiment envie de l’enculer. J’ai passé mes doigts derrière les couilles jusqu’au fion. Ma bite était gonflée. Elle aussi, elle en avait envie. J’ai massé le trou de balle avec mes doigts et j'ai enfoncé un doigt. Le mec se tortillait et je sentais qu'il aimait ça. Comme on avait le temps, je lui ai bien branlé le cul, et il aimait tellement ça que j'avais de plus en plus envie d’y mettre ma grosse queue. J’ai mis un préservatif. Moi j’ai souvent baisé avec, à cause de ma femme, et ça ne me gêne pas. Il s’est mis à quatre pattes. J’ai poussé ma bite entre ses fesses. J’ai poussé pour lui ouvrir complètement le boyau et je l’ai enfilé d’une seule poussée bien à fond. Ça l’a fait gémir. Son cul était serré comme j’aime, et j’avais l’impression que ça me serrait la bite à me la faire péter. Avec les mains je lui ai trituré les couilles. Il avait la bite dressée. Je l’ai serrée dans mes mains. Il a bougé un peu son cul et après, c’est lui qui s’est enculé sur ma queue en poussant de plus en plus loin. Il allait et venait sur ma queue comme sur un bâton. Moi je le branlais, et j’avais l'impression que c’était lui qui me branlait avec son cul. Après il s'est arrêté et moi je lui ai demandé de continuer. Il m'a alors dit:
— Non! Vas-y à ton rythme.
J’ai sorti ma bite complètement et je l'ai fait attendre un peu, et puis je l’ai enfilée à nouveau dans son trou de balle. Putain, c'était vraiment bon! Je l’ai limé doucement, et puis de plus en plus vite. On râlait comme des fous. Je sentais que sa queue était très grosse et je la branlais de plus en plus vite. Je ne saurais pas dire si c’est moi qui ai craché ma purée avant lui. Je crois que c'était synchro. On s’est étalé sur le plancher, lui coincé sous moi. On est resté un bon moment comme ça. Je lui ai demandé si je ne lui faisais pas mal, parce que je fais quatre-vingt-douze kilos. Il m’a dit que non mais qu’il commençait à se sentir aplati comme une crêpe. Je l’ai dégagé et on s’est marrés. On s'est rhabillés et on est parti chacun chez soi.
Je ne connais rien de sa vie, et lui, rien de la mienne. Mais depuis ce soir-là, il est toujours aussi distant avec moi dans la journée. C'est bonjour, bonsoir. Mais après le boulot on se retrouve toujours. Parfois, maintenant, c'est moi qui fais semblant de partir et puis je reviens. J’ai dit à ma femme que c'était à cause du boulot que je rentrais plus tard. Elle, elle croit que je vais boire dans les bistrots, parce qu’elle trouve que je suis de bonne humeur quand je rentre. Et c'est vrai que je n'ai jamais été aussi heureux depuis que j’ai rencontré J.M..
L’autre jour, comme ça fait trois semaines qu’on se connaît, je lui ai offert mon cul. Il ne m’avait jamais enculé encore. Rien que d’y repenser, j’ai envie de me branler. Il m'a pris sur le dos, il a roulé son blouson sous mes fesses pour me les soulever et il m’a écarté les jambes. On ne m’avait jamais enculé comme ça. Et j’ai vu sa bite qui s’enfonçait dans mon cul. On s’est regardés et on a baisé face à face. Après on s’est caressé le corps. Je l’ai senti gicler. Son préservatif était plein de foutre. Ce mec, il est vraiment bien. Parfois on n'a pas beaucoup de temps, et on se fait seulement une branlette. Quand il approche ses grosses mains de ma queue, déjà je suis heureux, j'aime aussi quand il passe les mains sur ma poitrine, je suis très velu. Il me dit qu’il adore ça. Il est beau quand il jouit, il fait un sourire, même pas une grimace. Avec lui le boulot est moins dur. Je sais que le soir on va se faire la fête. ¤ André
commentaire :" Ma bite était gonflée. Elle aussi, elle en avait envie"Son corps abrite deux êtres authentiques : sa bite et lui.