Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
Yvette FAIT ENTRER LE LOUP DANS LA BERGERIE L'AGNEAU SE LAISSE DEVORER
Clément, le fils d'Yvette
découvre mon énorme queue.
La semaine suivante elle me dit que nous devons faire vitecar son fils Clément qui est devenu avec le temps un bon copain doit venir pour le
week-end en fin d'après-midi. Nous commençons donc immédiatement notre orgie de sexe. Yvette a déjà ma bite dans sa bouche et rapidement la fait bander, elle est maintenant bien dure et humide.
Elle se met à genoux et le cul en l’air, me demande de la baiser en levrette.
En bon élève j'obéis à ma maîtresse et pendant de longues minutes je lui enfonce mon gros dard dans sa chatte béante et la fais rapidement monter au
paradis de l'orgasme.
Appuyé des deux mains de part et d'autre de son corps sentant ma jouissance arriver, je me cambre frénétiquement et l'embroche d'un violent coup de
reins, avant de m'immobiliser.
En un geyser puissant et incontrôlable, mon sperme jaillit en saccades répétitives, noyant complètement le vagin dans lequel ma queue est
fichée.
Percevant dans ses entrailles les puissantes giclées de semence virile que je lâche, Yvette ressent un orgasme d'une rare violence. Un long
cri animal s'échappe de sa gorge.
Ayant obtenu ce qu’elle voulait c'est-à-dire deux ou trois orgasmes, elle se laisse tomber sur moi et déclare :
- Mon Apollon, ta bite est toujours prête et raide comme un piquet, tu n'as même pas débandé et j'aime la façon dont elle me remplit!
Après un long moment de récupération, nous reprenons nos ébats.
A cause de la musique qu'Yvette avait mise assez fort, nous n’entendons pas son fils Clément qui arrive beaucoup plus tôt que prévu. Il entre
dans le salon, nous ne le voyons pas tout de suite et Yvette, à force de contracter sa chatte sur ma grosse bite, arrive presque à un autre point culminant de son plaisir, quand je me fige en
entendant :
- Ah, vous êtes là!
Clémnt se rapproche, Yvette ne réagit même pas à sa présence et gémit, ma bite enfoncée jusqu’aux couilles au fond de sa chatte. En entendant sa
mère se plaindre, il demande :
- Maman, tu te sens bien, es-tu malade et... OOOH... MAMAN ! Mon Dieu, c’est pas vrai...
Clément regarde vers le bas, la bouche grande ouverte, et voit sa mère en train de copuler, complètement nue. Yvette gémit de plus en plus fort,
arrivant au 7ème ciel !
- Ooooohhhh, je jouiiiiiiiss. Aaaahhhh... putain de nom de dieu ! Tu me fais jouiiirrrr ! Ta formidable bite va encore me mettre en
transe!
Et elle n’arrête pas de bouger son cul et de claquer son pubis sur le mien continuant de jouir sur ma bite dure comme du marbre !
Devant cette scène irréelle d'Yvette qui continue de traire ma bite par des contractions d'une rare puissance de son vagin sous les yeux de son
fils, j'ouvre les vannes et la remplis de longues giclées de sperme.
- Oh putain Patrick, je sens ton sperme qui frappe en moi ! Oh mon Dieu, Clément, tu es là? Mais c’est si bon ! Oh, ouiiiiii Patrick, lâche-toi,
Aaaahhhh... la vache, j’en veux encore, huuummm... continue !
Clément détourne la tête, mais entendant son nom, regarde de nouveau et nous voit, sa maman et moi, redescendre progressivement sur terre. Sa bouche
se referme lentement et il se met à pleurer, voyant sa mère toujours emboitée sur ma longue queue encore bandée.
- Bon Dieu, maman ! Je n’y crois pas, ce n’est pas possible ! Sanglote-t-il .
- Oh mon chéri, je comprends que ça te choque mais c'est la nature et je ne t'attendais pas si tôt. Je n’ai pas pu m’arrêter. J’étais en pleine
jouissance ! Oh mon Dieu, merci Patrick, c’est tellement bon!
- Mon cœur, Patrick est le meilleur ami que j’ai jamais connu, regarde sa queue, il peut baiser des heures sans débander et il a une bite de
cheval ! Quiconque l’essaierait ne pourrait plus s'en passer !
Quand sa maman lui dit ces mots, Clément regardant la longueur démesurée de ma bite sortant lentement du sexe de sa mère, se sauve à l'étage en
criant que c’est dégueulasse et que nous sommes deux affreux vicieux.
- Oh non! S'écrie Yvette en se relevant brusquement, il faut que je lui explique.
- Non, laisse-le se calmer et en attendant allons prendre une douche tous les deux, mais je veux te porter vers la douche avec ma bite toujours dans
ton sexe
- Tu crois que tu peux faire ça? Quelle sensation ça doit être!
Je la tire lentement sur mes genoux, encastre ma bite à fond dans son sexe et me redresse doucement, mes mains sous ses fesses, elle met ses jambes
autour de ma taille et ses bras autour de mon cou.
Yvette bien empalée sur ma bite qui a repris sa dimension maximum, je monte doucement les escaliers. La montée
de chaque marche l'embroche un peu plus et la fait gémir et approchant de la chambre de Clément, Yvette murmure des mots sans suite, m’étreignant plus fort de ses bras et de ses cuisses. Juste
devant la porte de son fils, elle s'écrie :
- Patrick, Oh... Patrick, c'est pas possible, je vais encore jouir ! Ouuuiiiii! Ca recommence ! Je Jouiiiiis de nouveau sur ta putain de
bite.
- Oooohhhh... mon dieu, je peux pas résister à ton monstre ! AAAAaaahhh...Whouaiiiii !
- Patrick c’était... C’est... tu m’as baisée encore mieux que d’habitude. On peut dire que tu sais comment faire grimper les femmes aux rideaux ! Tu
m'as déjà fait jouir tant de fois, mais je t'adore, je t’aime ! Tu es incroyable !
Et dès que nous rentrons dans la douche, elle s'agenouille enfournant illico la saillie de chair et suce ma grosse et longue bite jusqu'à ce que je
lui envoie de nouveau la purée !
Nous prenons notre douche ensemble, enfilons un peignoir et retournons au salon et parlons de ce qui vient de se passer. Après une heure de
discussions stériles, Claude me demande d'aller voir Clément car, rouge de honte, elle n'a pas le courage de l'affronter.
Je remonte à l'étage et frappe à la porte de Clément, pas de réponse... j’ouvre quand même et j’entre dans la chambre et lui annonce.
-C’est moi, Patrick, Nous avons besoin de parler!
- Va-t-en ! T’es un beau salaud !
- Oh non, il faut absolument que l'on se parle!
- Fous le camp! Ou c’est moi qui pars !
- Non, c'est hors de question!
Clément se retourne et s’adossant à la tête de lit me regarde, furibond ;
- T’aurais pu te rhabiller espèce de pervers !
Je baisse les yeux et je réalise, en voyant mon peignoir de bain entrouvert, qu’effectivement je suis presque à poil.
- excuse moi, oui j'aurais dû !
- Ouaiiiis ? Je parie que tu l’a fais exprès ! Bon...t'as une minute et barre toi!
- Ta mère et moi n'avons rien à nous reprocher et il est nécessaire que je t'explique !
Je lui raconte comment sa mère et moi avons accidentellement,( enfin je ne peux quand même pas lui dire la vérité) commencé à être intime, et,
puisqu'elle n'a plus de mari et lui plus de papa. "Tu es asez grand pour comprendre. Tu ne veux pas que ta mère soit heureuse ?
- Bien sûr que si, mais pourquoi tu te tapes ma mère plutôt que moi? Tu préfères une vieille à moi ? C'est pas faute de t'avoir fait du
rentre-dedans, tu ne l'as même pas remarqué.
Là je tombe des nues! Il est gay et je ne le savais pas. - Dis donc, tu exagères un peu ! Elle n’est certainement pas vieille ! La première fois que
nous avons bai... heu... fait l’amour, j’ai pensé que c’était avec ma Mère que je bai... enfin que je le faisais ! Et cela m’excitais de réaliser un de mes fantasmes.
Mais pour tout te dire son divorce d'avec ton père a eu un effet très négatif sur ta mère et les séquelles étaient profondes et sa frénésie sexuelle
l’a remise sur la bonne voie. Elle s'est accrochée à moi comme à une bouée. Le seul problème, c'est qu'elle n'est jamais rassasiée, elle en veut toujours plus, et je crois qu’elle est accro
à ma bi... Enfin... tu vois ce que je veux dire.
- Ooohhh, ouii ! C'est vrai qu'elle a changé. C’est une nouvelle femme ! Puis, après quelques secondes :
- Tu crois que c'est parce que tu la sautes? demande-t-il timidement. Bon Dieu, je ne peux pas croire que je parle comme ça de ma mère et que ces
mots sortent de ma bouche !
Nous continuons à parler de mes frasques avec sa mère et, rien que d'en parler ma bite commence à se redresser sous le peignoir et pousse le tissu
que je retiens de mon mieux.
- Oh mon Dieu, Patrick, j’ai l’impression que notre conversation te fait de l'effet! remarque-il, les yeux exorbités fixant mon entrejambe.
Suite à un faux mouvement faisant jaillir du peignoir ma queue fièrement dressée presque à la verticale j’essaie de cacher mon engin lorsqu'il s'écrie :
- Ahh, non, Patrick, pas question, après ce que j'ai entraperçu tout à l'heure, je veux la voir maintenant.
Je n’ai pas encore fait l'amour, j’ai toujours reculé devant l'acte. De temps en temps, j'ai taillé une pipe à un gars du lycée mais ça n'est jamais
allé plus loin et je déteste quand ils éjaculent dans ma bouche, c'est dégueulasse!
Il rit en racontant cela, c’est son premier sourire depuis le début de notre conversation.
- Je me demande vraiment comment ma mère peut s'enfiler un tel braquemart!
- Eh bien, je peux t’assurer qu’elle adore se l'enfoncer dans tous ses trous !
- C'est pas possible ! Ton monstre est beaucoup trop gros et trop long pour qu’elle l'avale!
- Eh bien non, Yvette, elle adore sucer ma grosse bite sur toute sa longueur, surtout quand mes bourses tapent sur son menton !
Sa respiration s'accélère et il me répond:
- Putain ce n’est pas possible quelle puisse avaler un tel monstre!
Je lui rétorque :
- Je te le répète: Si tu veux, tu n’as qu’à essayer pour voir si c’est possible, Yvettem'a dit que dans ta famille, toutes des femme qui aiment les
"grosses bites" et il y a plusieurs gays !
- Après la mère le fils, c'est ça hein? Jette- t-il en fixant pendant plusieurs secondes la longueur et surtout l'épaisseur impressionnante de ma
bite en complète érection.
-Tu veux aussi je te suce la queue! Bon, je vais te la sucer, ta sale bitte !
- Je croyais que c’était trop gros pour toi !
- Tu me mets au défi? Tu vas voir !
Il se rapproche et m'enlace de ses bras, pressant sa poitrine contre la mienne. Il me fixe du regard un long
moment tandis que sa main s'égare doucement dans sa caresse de mon corps pour finir sur ma bite.
- Oh mon Dieu, tu es tellement monstrueux ! Je ne pourrai jamais! C'est pas tellement la longueur qui me fais peur c'est son diamètre! Je n’ai
jamais tenu un mandrin d'une telle grosseur dans ma main!
-Ah, tu as déjà tenu des bites dans ta main ?
- Oooh, Clément, moi je sens bien tes jolis doigts qui serrent ma bite ! L'assurai-je dans un gémissement, si tu arrives à gober mon
gland alors c'est que tout peut passer!
Il s'agenouille mettant ma queue devant sa bouche pulpeuse, ses lèvres s'écartent au maximum et enrobent avec difficulté mon
gros gland et en sucent légèrement l'extrémité enroulant sa langue chaude autour, il retire sa bouche du gland et commente en souriant :
- Huummm... ouiiiiii... Ca rentre juste mais je vais me le faire cet énorme braquemart !
et il replonge avalant d'un coup 10 cm de ma bite.
- Waouw, tu ne m’as pas l’air si puceau que ça !
- Ahh bon... tu aimes ? Ben mon salaud !
- Je ne me plains pas, Clément, mais tu n’es qu'au début! Tu n'en as pas avalé la moitié!
- Mais ton manche n’arrête pas de s'allonger . Je ne suis pas sûr que je puisse tout avaler !
- Essaie déjà, on verra bien!...
Il me regarde, et doucement ses belles lèvres absorbent ma teub de plus en plus loin.
- Oh oui, continue !
Je mets mes mains derrière sa tête et d'une seule poussée, je rentre ma bite dans sa bouche jusqu'aux couilles qui viennent buter sur son menton.
Clément semble tétanisé mais, après quelques secondes, il retire sa bouche de mon pieu en toussant dégoulinant de sa salive et s'exclame :
- Ahh mon Dieu ! Putain que t’es gros ! J’ai failli m'étouffer! Je n’aurais jamais cru pouvoir absorber une telle bite, elle est si épaisse que je
ne pouvais plus bouger ma langue. Cette chose est énorme mais si douce! J'arrive pas à réaliser qu'elle est rentrée en entier mais j'ai adoré. Et c'est très agréable, ta bite de cheval bute au
fond ma gorge!
Et il se jette sur mon gros chibre.
Il continue donc sa caresse buccale, tout en continuant de sucer la verge raidie, il malaxe doucement les couilles
gonflées de l'amant de sa mère. Ses bourses sont un véritable régal à palper, lisses et douces et se façonnent facilement sous la main aussi ne s'en prive-t-il pas. Suçant avec délice la longue
bite tout en massant les testicules dans leurs gaines de chair.
Attiré par ses tétons gonflés , je lance mes deux mains dans leur direction pour les saisir avec émotion. Sous cette prise en main de ses
mamelles de garçon, j'éprouve une vive satisfaction, je suis sûr qu'il espérait bien que j'empoigne ses pecs pour les malaxer. Mais il n'aurait pas voulu le demander, désirant que je
prenne l'initiative. Aussi lorsque mes doigts se portèrent autour de ses aréoles gonflées par le désir, la satisfaction le pousse à s'exprimer :
– On dirait que tu aimes mes tétons!... Ils te plaisent ?
– Oh oui, je m'exclame au comble du bonheur,en serrant plus fort sa chair satinée.
- Suce-les moi, Patrick !
Il me suce depuis près de quinze minutes en cherchant frénétiquement à me faire jouir. Je pince ses tétons incroyablement
longs et il s’arrache de ma bite en criant de plaisir
- Oh mon Dieu, Patrick, c’est moi qui vais jouir si tu continues ! Oh ouiiiii... c’est bonnnn! AAAAhhhh....arrête ! Je veux tout ton foutre dans ma
bouche ! Je veux connaître le goût de ton sperme dans ma bouche !
Il reprend ma bite avec une main et se met à la branler avec sa bouche serrée seulement sur mon gland, l'autre main me
malaxant les couilles. Il va de plus en plus vite. Je sens des picotements dans mes bourses, ma semence s'accumule prête à jaillir. Clément le sent également et il s’enfonce ma bite
profondément dans sa bouche, engouffre la totalité de mon phallus tendu à l’extrême, le retient, le suce comme il peut. Ma respiration s'accélère et il attend avec impatience les jets
libérateurs qui vont jaillir de mon méat.
Je ressens la première contraction de mes burnes broyées inconsciemment par ses doigts projetant dans ma hampe le divin nectar, le temps semble
suspendu. Des spasmes me secouent, une fois, deux fois, et il faut la troisième contraction de mon bas-ventre pour que mon jus d'amour s’éjecte de ma queue bouillante. . Je flageole. Ma
jouissance est ininterrompue, ça ne veut plus s’arrêter , je lâche sans discontinuer giclée après giclée!
Mes derniers spasmes d'un pur plaisir me mettent dans un état second. Je ne l'ai pas encore pénétré dans son cul.
Récit de Clément : "Pressentant l'imminence de son éjaculation, je m'enfonce la bite de
Patrick le plus loin possible, Aussi lorsque explose le premier jet de sperme onctueux il va directement dans mon estomac, un second jet aussi copieux que le premier jaillit, et un troisième puis
un quatrième, ses jets sont d'une force incroyable. Je sens un liquide lourd et chaud me remplir la gorge. Je retire sa bite de plusieurs cm. Quelles fantastiques giclées… vraiment la maxi dose…
J'ai les yeux qui me sortent de la tête, mais je ne peux tout simplement plus tout avaler, les jaillissements suivants perdent enfin de leur force s'écoulant mollement dans ma bouche, ils
engluent néanmoins ma langue. Du sperme me sort aux coins de lèvres. J’en ai partout, ça coule sur mon menton."
Je pousse un cri étouffé dans ma gorge, ne le relâchant pas je lève mes yeux vers lui et, lentement, très lentement retire ma bouche de son sexe, et
ne voulant rien perdre du précieux nectar, déglutis pour avaler la dose qui me reste en bouche.
- Waouhhh...c’est incroyable, Patrick ! je n'ai jamais vu éjaculer autant de foutre! Oh mon Dieu, j'aime le goût de ton sperme !
Et je redonne des coups de langue sur sa bite qui se dresse toujours aussi fièrement.
- Je peux te dire que c’est la première fois que je prends un tel plaisir. Ta bite est la plus grosse que j’aie sucée et elle ne débande même
pas.
- Sacrebleu, Clément, tu es vraiment doué, j’ai failli m’évanouir !
Avec une infinie tendresse, je me glisse sur lui et l’embrasse sur la bouche.
- Patrick... je t’aime... Euh, c'est quand qu'on recommence et que tu m'encules...?
-Laisse ta porte ouverte cette nuit!