Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
"JOS" ne m'a en aucun cas violé et je tiens à le dire. les prénoms ont été changés
une simple lutte entre garçons, pour rire ! : (google images+youtube)
On ne voit que trop des affaires judiciaires y compris de viols entre frères aînés et cadets. Celui qui prétend n'avoir eu AUCUN PLAISIR à la sodomie ne nous dit pas la vérité. Je ne suis pas en train de dire que la violence, la trouille, ça n'existe pas. L'esprit humain est suceptible de transformer les vérités, à plus forte raison le souvenir des sensations.
Quant à "JOS", ses poursuites autour du stade finissaient par me trouver vaincu dans les bois qui nous entouraient , non que je n'aurais pas souhaité le vaincre, mais ses victoires avaient un bien meilleur goût que si je lui avais fait moi-même "mordre la poussière"! On était chaque fois essoufflés à mort. Ainsi je savais qu'il allait me chevaucher, que nos sexes raidiraient, qu'il me maintiendrait au sol, sous lui, avec ses cuisses et ses genoux puis qu'il me délesterait de mon short et de mon slip, qu'il aurait du mal à ôter les siens parce que je ne l'aidais pas, ne voulant pas qu'il croie que je lui cédais. Ainsi il gardait l'idée qu'il me forçait. Je devais faire semblant d'être mécontent de perdre. Il avait des soubresauts et des "ouhh" pour baisser son short et son slip tout en me maintenant. Comme s'il m'avait fait la respiration artificielle, nous partagions son souffle. Une seule respiration pour deux ! Simultanément son gros sexe tendu de désir dans son prépuce désespérément arrondi et fermé par son phimosis, il se livrait à un frottage si éperdu de mon bas ventre et de mon périnée qu'il finissait par inonder mes bourses de son sperme brûlant et odorant. Faute de mieux, faute de plus, faute de pénétration, faute de fécondation, j'étais malgré tout content, les lèvres pincées comme si j'étais vexé, je lui laissais savourer son incomplète victoire de jeune mâle. Comme en général ça se passait sous les pins, l'air embaumait et, encore aujourd'hui, je ne puis sentir l'odeur des pins sans que ce souvenir revive. Je crois qu'il savait que je le désirais et que j'en aurais voulu bien plus. Lui m'opposait une certaine suffisance dont je n'aurais pas pu lui en vouloir car j'étais partie de sa victoire.
Nos deux ou trois rencontres nous avaient permis de situer nos rôles dans le jeu de l'amour et, pour ma part, de n'en éprouver aucune honte . Les doutes sur ma soumission une fois dissipés, bien plus tard nous nous sommes passés du scénario complet de la poursuite et de la lutte. Il me mettait sur le ventre et simulait une sodomie...j'adorais quand il me baignait l'anus, les fesses de cette semence dont je ne sais si j'en ai connu de plus odorante.
C'était, faute d'avoir un partenaire plus "au point", une déception délicieusement entretenue et répétée. Ses parents n'étaient probablement pas assez conscients (???) pour faire libérer son prépuce par un médecin. Quelques temps après je l'ai fait venir dans notre cave, courbé en deux je lui tendais mes fesses, mais ça n'a jamais pu s'améliorer et se situer au delà de la caresse ou des pénétrations simulées qui pouvaient faire un peu mal. D'ailleurs lui aussi devait avoir mal et ça l'arrêtait.
Je sais qu'il a eu plus tard une vie d'homme marié. Je ne sais rien d'autre, mais si "JOS" me rencontrait aujourd'hui, je suis persuadé qu'il voudrait tout mon notre bonheur. Et pourquoi pas ? rien n'est jamais perdu s'il y a du sentiment et même s'il faisait tout ce qu'il pouvait pour me laisser croire qu'il n'y avait rien de ça, ses visites répétées, ses petits défis voilés me portent à croire qu'il m'aimait que nous nous aimions sans aucun projet à long terme.
On s'arrangeait l'un et l'autre pour se retrouver seuls. Pour l'exciter, le provoquer je lui lançais : -" ça va baiser ou ça va niquer !" Invariablement il répondait : -"pour toi, mais pas pour moi"
Les soi-disant viols de "JOS" ont influencé ma vie sexuelle comme un feu intérieur lent. J'étais extrêmement à l'aise avec mon fond passif. Immédiatement après ce qui s'était passé, je me sentais bien, mais, forcément, incomplètement. La sexualité homo implique le secret. A 16 ans, à l'insu de "JOS", j'ai rencontré "Pierre 2"du même âge que moi et le sexe ça a été autre chose dès la première minute. C'est moi qui ai fait les avances. On était en été, le groupe se baignait, je n'ai pas eu à mentir en lui disant qu'on était plusieurs à avoir remarqué qu'il était bien pourvu. Il rougissait facilement. J'ai été direct en lui disant que moi je me sentais bien moyen de ce point de vue et s'il voulait qu'on compare. La suite a été facile car je pense qu'il était curieux de sexe mais voulait ne pas avoir l'air d'y toucher. Ce qui restait c'était que, moi, j'étais pédé, mais lui c'était provisoire, juste pour apprendre à baiser. Oh, il s'est fait la main la bite avec moi mon cul -lol-
"cette année-là"
Alors, lui, Pierre 2, je crois que parce qu'il est roux, portait sur lui un parfum naturel aromatique dont je rafole toujours -un peu comme le cuir neuf-et je dois dire que, quand je le sentais arriver il me remuait les tripes. Je ne mens pas. A cent mètres quand je le voyais arriver j'avais les jambes coupées. Se faire prendre, c'était un don total à ses besoins. Avoir des relations sexuelles ne me donnait pas l'impression d'être utilisé, il semblait accepter la réalité qu'il avait une grosse et longue queue naturellement baiseuse et moi un anus affamé mais il voulait marquer que c'était seulement moi qui voulais.
Ca me contrariait parce que j'en arrivais à le supplier de venir à nos rendez-vous. Je ne lui en voulais pas du tout, surtout qu'en fait j'ai vite compris que ses réticences étaient en lutte avec son extrême sensualité. J'ai fini par le trouver facile à convaincre. Là j'ai commencé à penser que, si aucun homme n'est pareil, sur le plan des rapports sexuels nous sommes tous manoeuvrables ! Tout de même, avec lui, je n'avais pas besoin de lui donner l'impression qu'il me violait. Par contre il était et voulait demeurer le maître alors que moi j'aurais préféré avoir l'impression que je lui faisais une faveur. Je lui devais tout, il ne m'était reconnaissant de rien. On faisait nos études et on se revoyait souvent, mais épisodiquement.
Un jour que je
l'ai croisé en voiture et que, fou de désir, je l'ai poursuivi jusqu'à ce qu'il s'arrête pour parler. Je me souviens de ce matin-là. Il était aussi tremblant que moi car on avait vécu trop de
bonnes choses ensemble. En luttant contre lui-même il m'a dit que c'était fini. Il avait rencontré une fille m'a-t-il dit.
D'autres déceptions m'attendaient avec les garçons car j'ai été et je suis l'homme de l'incomplétude. Vous pourrez suivre mes aventures.¤
Gentil et
ardent,"Pierre 2" à 19 ans, finalement non :
fake photo
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