Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
Allez on déstocke ! entrez dans ma boutique ! je ne peux pas affirmer que c'est ça qui a fait de moi le gay-bi que je suis car je pense j'avais de solides dispositions.
Il avait du duvet sur sa lèvre supérieure. Il était très en avance sur sa puberté. Il savait qu'il était fait pour les filles alors que moi je ne leur prêtais aucune véritable attention Pierre observait beaucoup les filles et parlait d'elles très souvent. Une fois il m'a fait porter à une certaine Annie un papier plié en 4 contenant sa juvénile semence... La pension était mixte. Certaines filles aimaient bien qu'il leur parle aussi crûment que ça lui plaisait mais avec moi ce qu'il pratiquait c'était un exercice mécanique. Faute de mieux, tous les soirs il me frottait sa verge bandée dans la raie jusqu'à jouir et me "graisser" un anus follement désireux d'aller plus loin. J'en suis encore ahuri. Il était mon idole avec son corps un peu maigre mais bien dessiné et en pleine croissance contrairement à son visage qui reflétait encore, forcément, copieusement l'enfance.
my heroe...
"Pierre 1er" avait de grands yeux marrons et un petit nez. Quand il souriait, ses joues affichaient toujours une fossette sur les deux côtés. Son teint était assez mat et bronzé je le revois encore, nu, aux douches où les deux nurses qui nous surveillaient se poussaient du coude en riant, en observant à la dérobée son pénis et sa toison pubienne dignes d'un adulte. Il avait plusieurs amis à la fois garçons et filles, mais pas encore de petite amie. Autrement dit, Pierre est l'amant presque parfait mais je reste sur ma faim et j'ai toujours pensé qu'au lieu de ça, il aurait mieux valu qu'on "consomme" complètement, sinon pour me lever l'envie, au moins pour m'éviter la frustration qui m'a poursuivi toute ma vie.
Un matin le directeur ( qui savait*) m'a retenu à son bureau pour me rendre à ma mère venue me chercher, et je n'ai même pas pu dire au-revoir ou plutôt adieu à mon "Pierre 1er" que je n'ai jamais revu. Je sais son nom de famille. J'ai cherché. Rien ! C'était pas la faute à ma mère qui adorait son petit garçon, mais j'avoue lui en avoir voulu -sans lui dire ! - de m'avoir arraché à ce premier amour 'gay'. "¤
La suite ce sera Pierre 2... clin d'oeil du Destin ?
Par la suite ...d'abord dans ma rue, J'ai fréquement joué avec Rachid (14 ans ?), comme moi un peu livré à lui-même, et là je retrouvais un ami comme j'avais connu en maison de santé, et mon désir de passer'la ligne' fut relancé. Ce n'était pas un obstacle absolu, mais Rachid, primo-arrivant ne parlait pour l'instant pas un mot de français. Et il y avait les préjugés raciaux que m'instillait mon milieu (pas ma mère).. Malgré ces obstacles je brûlais, je mourais de désir pour ce bel ado plus grand que moi avec une ombre de moustache, je rêvais qu'il me fasse ce que Pierre 1er m'avait fait, et qu'il aille bien plus loin encore.
Alors, ma torture psychique augmentait quand il me questionnait : -"toi 'fisinik'?" Je n'aurais pas su lui dire ni oui ni non. Je croyais pouvoir comprendre : tu es circoncis ? En fait je n'avais pas tout à fait tort, car, maintenant, grâce à google traduction, je vois que cela peut vouloir dire :
لك؟ مثلي= " Toi ? comme moi ?" et, à la distance de mes années d'incompréhension, je crois qu'il voulait me baiser. Dommage ! Hélas, il y avait la RUE et sa bande de gosses comme nous...on n'a jamais pu trouver le coin tranquille nécessaire... Mon futur puits d'amour restait, et sans que je puisse même l'exprimer, à mon grand désespoir, vierge. A l'époque je n'aurais ni su ni osé le dire. Je sais c'est con.
J'en ai parlé, puis il y a eu JO, le grec, velu pour ses 13 ans, qui me voulait, avait besoin de me terrasser dans un semblant de lutte et de VIOL. Mais son phimosis l'empêchait disait-il d'en faire plus que du frotting sur mon ventre qu'il baignait, jusqu'à mon entre cuisses et mes couilles répandant en même temps cette odeur ce parfum veux-je dire, enivrant mêlé des senteurs de la pinède où nous faisions l'amour. Aussi ne puis-je sentir l'odeur des pins sans penser à mon Jo qui ne peut que se souvenir puisqu'il a demandé de mes nouvelles à ma famille. C'est une tendre attention. Pas de raison qu'on se revoie, mais je suis sûr qu'il m'aime. Comment a-t-il fait ensuite avec son phimosis ? je sais pas.
J'apprécie, même si c'était de la douleur, de pouvoir interpréter le chant d'amour qui était en moi ... et le champ d'amour qui m'attendait et que Pierre 2 sut accepter et apaiser car, devenu ado, je sollicitais ouvertement ses 'services'.Quand, sur le chemin de rejoindre notre planque en colline ou dans une épave de remorqueur je lui disais (ce sont nos paroles-mêmes) :
C'était sa façon de protester qu'il n'était pas PD et que me baiser était provisoire en attendant de 'rencontrer' une ou des fille(s).
Vers 15-16 ans, Pierre 2 avait tout pour me satisfaire : il bandait pour mon cul d'une longue queue qui donnait bien du sperme. Sa voix un peu cassée le rendait plus viril que son âge. Je me souviens du bonheur quand il m'a dépucelé et a joui dans mon cul restant en moi tout le temps qu'il fallait pour que nous prissions, chacun, notre pied. Il s'est marié, mais, je l'ai, à plusieurs reprises détourné de sa fidélité et j'en suis fier. Je l'aime encore et très fort, mon vrai premier.
Encore dans les limbes de l'enfance,
cela souligne l'infidélité de Dysney eu égard à la nudité
Wendy a écarté le rideau derrière lequella fenêtre était ouverte et quoi ? à son émerveillement ... un garçon complètement nu d'environ quatorze ans, debout sur le rebord de la fenêtre. Il avait une fine ceinture autour de la taille, sinon il était totalement nu, cul nu. Un beau spectacle. Un beau garçon qui promenait un regard surnaturel sur le monde.
Wendy s'est arrêtée et a regardé fixement. Ses yeux se posèrent sur l'
énorme bite de l'adolescent. C'était énorme, surtout pour
un garçon de cet âge ... aussi grande que certaines des images de grandes
bites qu'elle avait vues dans les livres coquins de son père. Lourde et demi dure elle se balançait entre les jambes nues et minces du garçon sur un assez grand sac de balles.
pourquoi aurais-je voulu grandir ?
pourtant l'a bien fallu ! Je n'ai d'abord rencontré que des cons qui se défendaient d'être pédés.
Si la connerie ne leur passait pas, alors ils étaient graves.
Même moi à certains moments je me laissais submerger par l'ambiance hétéronormée
La société pourrie me culpabilisait et m'empêchait d'être heureux
encore JO ! je peux être tout à toi, à nous, tu sais !
NOTES : * oui, le dirlo avait su , par dénonciation, nos "turpitudes" au dortoir et nous avait séparés en me remettant en dortoir àplusieurs au lieu d'être en chambre à 2. Pourquoi nous y avait-il mis ? Mystère, non ?
Jacques,"Si tu n'es pas sage on va te mettre en pension"..."Si tu n'écoutes pas on t'emmène au docteur"...En ben là j'y suis : en pension médicalisée à 10 ans...
commentaire :Ca vous a fait bander ? " Salut ! merci d'avoir publier mes témoignages. Et merci d'avoir corrigé mes fautes ! . J'aurais du dire que je n'étais pas content de la quitter cette pension...je ret rouvais ma famille, mon école...mais, par dessus tou mon Pierre 1er me manquait" (JAK O)