Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
votre bite une arme de séduction ! tous les trucs et astuces pour avoir une queue aussi belle que solide.
La tronche et les biscotos, soit. Mais au final, une fois désapé, c’est votre bite qui attire le regard et il faut en prendre soin ! LVDX vous dévoile tous les trucs et astuces pour avoir une queue aussi belle que solide.
S’épiler ou du moins défricher
Quelle que soit la méthode (arrachage, cire, rasoir), l’épilation totale peut s’avérer n’être pas une si bonne idée que ça. En effet, dans les premiers jours qui suivent la rasage, vous ressentirez davantage la moiteur, de même que rougeurs et autres irritations apparaîtront. Et vous conviendrez qu’un gros bouton à tête blanche, ça le fait pas. L’idéal est d’avoir un petit duvet de poils soyeux. Ce dernier commence à apparaître trois à quatre jours après l’épilation et peut s’entretenir sur des semaines avec un petit ciseau de manucure. Le plus important est l’élimination des longs poils qui jalonnent anarchiquement les testicules. Accroupi devant un miroir, n’hésitez pas à les arracher un par un à l’aide d’une pince à épiler au risque sinon que votre partenaire en retrouve un sur le bout de la langue…
Non, l’hydratation ne concerne pas que le visage
D’emblée, c’est indispensable après chaque épilation pour éviter la sensation de brûlure et les rougeurs qui se transformeront par la suite en gros bubons plein de pus. Au quotidien, hydratez-vous matin et soir. Pour ce faire, utilisez une crème hydratante basique, la plus neutre possible et jamais à base de parfum de synthèse. Sur ce point, optez plutôt pour des produits naturels à base d’aloe vera, une plante aux bienfaits miraculeux pour la peau. À défaut, une bête de crème Nivea dans les antédiluviens pots bleus en forme de soucoupe remplira parfaitement son office.
Le nettoyage "au karcher" si nécessaire
Même constat que pour l’hydratation. Proscrivez si possible les cosmétiques de supermarché. Si ceux-ci vous irritent, les symptômes sont similaires à ceux d’une chaude pisse : démangeaisons et sensation de brûlure au bout de la queue. N’hésitez pas à utiliser des produits d’hygiène intime féminins, ils sont parfaitement adaptés. Décalottez et allez-y franco sur chaque recoin de votre gland, notamment au niveau de la couronne perlée, là où viennent s’accumuler les sécrétions. Rincez abondamment à l’eau chaude pour dégraisser. Séchez bien pour éviter les odeurs.
Et ma bite, c’est du béton…
Le mode de vie moderne implique d’être souvent assis et c’est très néfaste pour le sexe. Pour l’avoir ferme et en bonne santé, il est fondamental de stimuler le plancher pelvien : une zone qui s’étend du coccyx au pubis, incluant l’anus, la prostate, les testicules et le membre. Squats, abdos et burpees constituent des exercices de musculation simples et parfaits dans cette optique. En outre, massez-vous (ou faites-vous masser plutôt…) régulièrement la zone entre l’anus et les bourses qui constitue la base de votre sexe.
Slip ou calecif : un choix pas si anodin
Les bourses ont naturellement une température un degré inférieur à celle du reste du corps. A la moindre variation thermique, les spermatozoïdes meurent. Un slip ou boxer trop serré et vos couilles seront compressées entraînant la surchauffe. A l’inverse, un caleçon trop large autorisant votre barda à se balader est nocif pour les canaux déférents qui acheminent les gamètes des testicules vers l’urètre. C’est qu’il ne faudrait pas qu’ils cassent ! Le choix du fourreau pour votre engin n’est donc pas négligeable. Mettez un poil plus d’argent pour avoir du matos de qualité et ne mégotez pas parce que le caleçon est invisible au premier coup d’œil : votre « Polo » vous en sera reconnaissant. Si vous ne portez pas de sous-vêtements, relevez la température de lessive de vos pantalons pour éliminer toutes les bactéries. Si vous êtes adepte de la bite à l’air, adoptez le geste des naturistes : une serviette propre constamment sous vos fesses dès que vous vous asseyez.
S’astreindre au dépistage
C’est un fait qui fait régulièrement tirer la sonnette d’alarme aux spécialistes : des tas de gens se baladent avec plein de bestioles sur les parties génitales. En particulier les hommes, souvent porteurs d’IST sans le savoir alors qu’une femme aura droit aux pertes blanches et autres odeurs bizarres. Les infections les plus répandues sont bien connues : mycoplasmes, condylomes, chlamydias… D’un naturel paresseux, les hommes pourront avoir une forte tendance à vivre avec, faisant fi des picotements et sans se rendre compte que le bout de leur queue est d’un rouge vif fort peu sexy. Prenez rendez-vous une fois par an chez votre généraliste qui vous prescrira une ordonnance pour aller pisser dans un petit pot. Si problème il y a, il sera réglé par une poignée de pilules en quelques jours et ce sera reparti pour un tour. Gardez à l’esprit qu’un sexe appétissant n’est pas gros, mais en bonne santé.