Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
Dan est toujours là pour me consoler, me chouchouter, c'est une habitude prise. Aussi je n'ai aucune gêne avec lui.
D'accord, donc, mon histoire va vous paraître un peu étrange, mais ça nous donne une idée du temps où, moi Franck Lalone, le petit dernier j' habitais avec mes
frères Daniel et Philippe Lalone, 18 et 20 ans. Je ne sais pas si vous aimez les amours de 16 ans mais tout particulièrement Dan était vraiment protecteur pour moi comme un
frère
(-lol-)
, une nuit j'ai eu peur et il m'a laissé dormir dans son lit et ce souvenir reste mignon et
doux comme un duvet, on va dire..."moelleux"... et vous voulez des détails ? ça vous plairait ?
Merci de vos réponses, alors je vais vous raconter. J'espère que c'est toujours Ok pour le récit.
Le tonnerre a grondé à l'extérieur. Il
pleuvait fort, et ça allait continuer toute la semaine.
"Ahhh!" J'ai saisi les draps, je devais en être tout pâle. L'éclair a éclaté à la fenêtre.
BOOM!
J'ai crié à nouveau, et je me suis caché sous les draps. J'ai commencé à
pleurer par peur. C'était trop.
"Frankie ?" Mon frère aîné a ouvert la porte de ma chambre éclairée par la lumière du couloir.
Je l'ai regardé avec des yeux effrayés.
"J'ai entendu tes cris. c'est l'orage. Est ce que ça va?" dit-il de sa voix à la fois douce et
grave.
Dan alluma la lumière et s'assit sur mon lit. Il a étendu sa main chaude pour bercer mon visage froid et m'empêcher de trembler. Cela me fit remarquer que j'étais si froid et que je tremblais. J'avais seize ans et je pleurais ! Il essuya une larme avec son pouce. Je peux vous confier que jouer les bébés m'a toujours profité.
Je secouai la tête :non je n'allais pas bien, et il fronça les sourcils.
"Tu veux dormir dans mon lit alors?"
Je hochai la tête. Oui, j'avais quinze ans, mais toujours comme un
bébé. Et Dan est toujours là pour me consoler, me chouchouter, c'est une habitude prise. Aussi je n'ai aucune gêne avec lui.
Il se leva et je me traînai dans sa chambre confortable.
Je me suis glissé dans le lit chaud qui sentait et soufflait son parfum, son
odeur familière que je respirai à grandes inspirations sur l'oreiller.
"Bonne nuit, Frankie," je l'ai senti embrasser légèrement mon front, et j'ai
souri à sa bienveillante hospitalité.
"Bonne nuit, Danny." Bonne nuit bébé ! Il éteignit la lumière et se glissa au lit avec
moi.
Je l'ai brusquement étreint et j'ai reposé ma tête dans sa poitrine.
Il a enveloppé ses bras autour de moi et m'a étreint.
"Je t'aime."
"Je t'aime aussi Frankie."
Rassuré je ne faisais plus attention à l'orage. On s'est endormis. Paisiblement. Puis je me suis réveillé et j'ai senti que Dan ne dormait pas non plus. Pourtant je ne voulais ni bouger ni parler. En fait nous étions allongés sur le côté, il m'avait gardé très serré dans ses bras. J'étais trop bien. Nous portions nos pyjamas très fins et soyeux portant nos odeurs enivrantes. Mon frère bandait. C'était sûr : je le sentais dur contre ma raie. Rien. Rien qu'une légère caresse, mais dans ma tête ça faisait le mixer. Rien pas plus.
Ah si ! un petit fait nouveau, mon petit sexe de 16 ans -pas mal déjà- bandait aussi en raison de la chaleur de la situation, à l'évidence ! Et puis le sexe de Dan, à travers nos vêtements de nuit, ne se contentait pas d'appuyer sur mon derrière, mais il faisait de toutes petites allées et venues me confirmant que Dan me croyait endormi. Espérant toujours qu'il continuerait ainsi, je glissai une main entre nous et sentis qu'il avait baissé son pyjama. Le mixer dans ma tête se relança à la vitesse grand V. Il y avait donc une intentionnalité chez mon choupinou de frangin, et même si dans sa tête à lui je jouais le rôle de la gonzesse qu'il n'avait pas sous la main Il était chaud mon frérot ! Puis son érection cessa, je l'ai senti toucher mes fesses du bout des doigts, se lever, froisser du papier et se recoucher mais tourné de l'autre côté. Je touchai mon pyjama et sentis que si c'était mouillé c'était de son sperme odorant. Je crois qu'on était emmerdés tous les deux. En feignant d'être toujours dans mon sommeil je me tournai moi aussi et le serrai doucement dans mes bras, espérant dissiper un peu de son angoisse. (j'étais déjà psychologue à 16 ans! -lol-)
Au réveil on devait être un peu groggys tous les deux. On restait dans le non dit, toutefois, à la salle de bains il me prit mon pyjama. Ce fut décisif : je lui dis : "non, laisse" et je lui pris des mains en ajoutant : "je vais le rincer dans le bidet et l'étendre sur le sèche6 serviettes". Un pacte de silence et de complicité était scéllé. Rien à se dire après ça. Je voulais que ça se refasse. En mieux. J'étais à la fois fou de joie et concentré sur la réussite de ce projet intérieur.
Il me fallait de l'aplomb pour consolider ma petite victoire sans aucun chantage, je m'empresse de le dire au cas où vous l'auriez cru (il savait que je savais mais il fallait qu'il sente que j'avais été consentant). Le soir suivant je lui demande : " je peux dormir chez toi ? "
Il aurait pu dire : "ben y a plus la même raison" ou autre chose pour dire non. Mais il m'a dit "Ok mon petit Frankie, viens " Comme on n'est cons ni l'un ni l'autre, on ne s'est pas perdus en grandes manoeuvres : moi le premier je n'ai gardé que le haut du pyj' et, de suite après, Dan a fait de même. Je sais pas le sien, mais mon palpitant voulait sortir de ma poitrine : mon coeur flairait un petit, moyen ou GRAND MOMENT ! Ce moment on devait le faire grand. On s'est pas dit "on va se branler à deux" ni "on a baiser", non ! sans rien dire on s'est couchés et tout naturellement, toujours sans rien dire on a repris nos positions de la veille, mais culs nus. Si vous me lisez et marquez cet intérêt pour mon récit c'est que vous savez les émotions qu'une pareille situation peut générer. Je considère que ce fut un avantage que je fusse un frère de Dan et non une soeur. Bon, bisou bisou du soir et on a fait tous les deux semblant de s'endormir. Là le sexe de mon frérot chéri me chatouillait les fesse et, comme je faisais tout pour qu'elles se tiennent un peu écartées mon anus sentait cette petite chatouille caresse insensible mais bien réelle. Je pense bien écrire pour des convaincus.
Bien sûr c'était la comédie de l'inavouable, du je t'aime-moi-non-plus à la Gainsbourg, mais c'était bon bon bon. Pour tous les deux. Des questions ? Une évidence : tous les deux on allait et on voulait aller vers une même direction eet on emmerdait le monde entier ! . Tout ce qu'on avait vu sur internet nous a servi pour augmenter notre assurance et déculpabiliser par avance notre lien incestueux. D'abord on (il) a refait pareil et il m'a juté sur le cul. Après on a dormi et j'avais joué avec son sperme sur mon anus. Ensuite, repris par un désir bien palpable (lol ) c'est lui qui m'a réveillé mais en me disant : tiens-toi pareil, tu auras pas mal. Salive, reste de son sperme, doigtage gentillet et verge sur mon anus. Je sentais son hésitation et c'esmoi qui, en me poussant du derrière en arrière me suis planté tout seul. Je crois que là, les chiens étaient lâchés et on a vraiment commencé à profiter l'un de l'autre plusieurs années. OUI, il m'enculait régulièrement et me faisait jouir comme ça. Mais, très vite, il m'a dit : je veux pas que tu restes passif comme ça: tu vas me baiser toi aussi : faut qu'on s'exerce pour les femmes.
Et ce qui fut dit fut fait. Maintenant, quand il vient à la maison, qu'il a fait le bisou à ses deux neveux et sa petite nièce, il m'embrasse aussi. Les cousins entament leur sarabande à travers la maison semant un joyeux désordre, et lui, sans le montrer, il effleure mes lèvres de ses lèvres. On sait ce qu'on éprouve tous les deux, même si on s'est assagis...
Putain que c'est beau la vie !
Ce jour-là je suis à la maison avec Papa : lui et Maman se sont-ils jamais doutés de quelque chose ?
quand je revois cette chambre( où rien n'indique rien !) chez nos parents
ce lit qui ne eut dire quelque chose que pour nous !
Tout ce qu'on avait vu sur internet nous a servi pour augmenter notre assurance et déculpabiliser par avance notre lien incestueux.
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