Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

tu l'as dragué, non ?

 

 

il a posé le pinceau pour lui prendre le manche ! -lol-

il te paye, non ?

 

Enervé et insupportable, le papa est certain qu'il est sexuellement frustré, mais un grand garçon de 18 ans n'a pas besoin qu'on lui montre !

 

 

En taule le garçon !

 

 Il n'a pas fallu longtemps pour que l'Alpha se sorte Chris son jeune et mignon co-détenu . Le joli garçon avait entendu des histoires sur ce qui se passait en prison, et  tout était vrai. "C'est ma bite, ou alors tu te prendras celles de  tout le monde, petit pédé.-" Est-ce que ça vame faire mal ? "L'Alpha lui avait dit"un peu seulement". Chris savait mendier, crier ou se plaindre . "Sois doux avec moi je t'en supplie", a négocié Chris, "je n'ai jamais été baisé auparavant." "Ouais tout doux, tu vas voir, alors t'es une vierge?", l'Alpha a fait avancer  Chris et le  en plaçant ses deux mains sur la couchette tout en déchirant Chris de sa force tranquille . "J'aime déchirer les chattes vierges", a déclaré Alpha en crachant sur sa rondelle.

Chris a crié cette nuit-là alors que l'Alpha l'a violé à plusieurs reprises. Il n'était pas tout à fait sûr de savoir si c'était la perte de sa virilité et sa virginité ou la douleur de la fougueuse baise que lui avait infligée Alpha. Il a eu trois ans de peine. Les larmes finissaient par disparaître, mais les conneries allaient continuer. Quand, un jour, il sortirait de la prison, il ne serait plus qu'une chienne de la prison le reste de sa vie, se donnant  à tout homme qui se proposerait. L'Alpha le savait. Il savait le crime qu'il avait commis.

Comme je l'ai déjà dit, la prison n'est pas la place des garçons. Que veux-tu, c'est la guerre !      

 

 

 

 Prisonnier de guerre :  Ils ont capturé le jeune soldat alors que la ville a été attaquée. Ils savaient depuis la première fois qu'il était mouillé derrière ses oreilles, forcé dans cette guerre comme une tentative désespérée des forces perdantes.

Les hommes étaient fatigués, fatigués, ils savaient qu'ils ne pourraient rien sortir de lui, pas de lieux secrets ni de mouvements de troupes. La seule chose qu'il pouvait leur donner était sa jeune cerise.

Et l'ont pris, un par un, baisant le jeune cul, en le remplissant profondément avec leurs bites qui n'avaient pas servi depuis qu'ils étaient  partis de chez eux.

Des soldats aussi jeunes que lui et certains aussi vieux que son père lui ont baisé et rempli sa goulotte comme s'il était une femme.
    Putain les beaux culs ! sûr quand ils y auront goûté ils vont en redemander !  

 

 

- "On vous l'a déjà dit les gars : cette piscine est privée. On va vous prendre  cher !!!"