Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

Ravi de constater que ça emmerde les rombières : "Sans doute considèrent elles que deux pédés n'ont pas le droit de se montrer en public. "

Mon horizon se réduisait à l'époque aux nuages qui couvrent le ciel de Belfort, et la chaleur que le soleil ne nous donnait pas, je la trouvais dans les bras de jolis passifs.

Mathias [habitait Mulhouse], je l'avais découvert par Petites Annonces, il utilisait la formule usuelle "Passif mais pas inactif", ce qui, le concernant, s'avéra être un vilain mensonge !

Le jour et l'heure du rendez-vous arrivés, j'étais en bas de son immeuble, et je vois arriver un garçon très grand et tout fin, la tête auréolée d'une crinière blonde lui tombant aux épaules. Je remarquais au passage que tout ce qu'il portait sur lui devait pouvoir être retiré très vite. Un pantalon en lin tenu à la taille par un lacet, et un polo sans boutons. Parfait, on ne peut pas perdre de temps avec un garçon prévoyant comme ça.

J'emmène ma future proie déjeuner. Dans la salle silencieuse, il pose délicatement son petit postérieur sur la chaise qui me fait face et tend ses mains vers une des miennes. Je fais un tour de périscope et découvre à 3 mètres de nous une table remplie de rombières acariâtres, ça ressemble au service contentieux de l'URSSAF au grand complet : elles nous envoient des regards assassins. Sans doute considèrent elles que deux pédés n'ont pas le droit de se montrer en public.Ravi de constater que ça les emmerde, j'en rajoute, je fais du pied à ma conquête, et je palpe ce qu'il y a à palper.

La balade qui suit le repas est on ne peut moins discrète : en allant vers ma caisse, Mathias ondule du bassin à deux mètres devant moi, histoire de bien me chauffer, histoire aussi que mon jean n'arrive absolument pas à dissimuler mon érection. Les Mulhousiens moyens rencontrés sur notre chemin tirent la tronche, et les Mulhousiennes ricanent, tant mieux ! Une fois dans la voiture, la main de Mathias s'étant posée sur ma cuisse, je prends sa nuque et approche ses lèvres des miennes. Le premier baiser d'un passif m'a toujours ému, je sens son désir un peu timide me dire qu'il aimerait être à moi, je sens ses yeux se fermer quand nos lèvres s'entrouvrent, je sens sa taille souple accepter la chaleur de ma paume sur lui :

— Math, je veux te prendre, je veux être ton mâle...

Le "Ouiiiiiiiii" qui suit finit dans un souffle, Mathias se laisse aller. La caisse est tout de suite en sur-régime, direction mon pieu !

Sur place, un baiser langoureux, je donne une poussée. Mathias tombe délicatement à la renverse sur le lit, me voilà à genoux autour de lui. je caresse, je sens une érection toute fine sous le lin du pantalon. Comme deviné au premier coup d'oeil, mon chéri est nu comme un ver en un dixième de seconde. Je m'allonge tout habillé sur lui. Mes cuisses musclées tendent mon jean, ma bosse est énorme, je le palpe dans tous les sens, il se laisse faire en écartant les cuisses, en ondulant du bassin. Et là... plus rien, il est affalé, les jambes repliées sur les côtés de sa poitrine, il attend. La seule partie de son corps qui bouge... c'est son sphincter qui appelle au secours ! Ça avance en dévoilant ses muqueuses rougies de désir, et ça recule en disant " j'aimerais bien aspirer ta queue".

Arrêt caoutchouc...

De retour au dessus de Mathias, je prends fermement ses chevilles dans une main, ma tige dans l'autre, et j'approche mon gland de son minou... Ça frétille dur du côté du sphincter, je pose mon bout sur lui, et là ! et là !!!! Son sphincter s'ouvre et commence à épouser la forme de mon gland avant même que je pousse. Ma parole, il a une envie torride, il est sur le dos, les jambes repliées sous mes bras, son entrée s'ouvre toute seule, il a la tête rejetée en arrière, ses bras de fille s'accrochent déjà aux draps, il souffle vite, je pousse et m'enfonce en lui. Alors, du plus profond de lui sort un petit cri aigu :

— Va au fond, prends moi fort, vas-y !

Je me plante en lui totalement, ses muqueuses me brûlent, je prends possession totale de son corps, je pétris, je plie ses jambes, ses bras, je malaxe sa taille, je regarde son petit sexe écrasé entre nos deux ventres. Son gland minuscule et ses petites couilles, tout ça tout lisse, tout ça perdu dans mes poils pubiens, ça donne un contraste électrisant. Qu'est-ce qu'il est efféminé ! Ça me donne une envie de lui démolir l'anneau. Je passe mes avant bras sous ses aisselles, je prends fermement ses épaules, mon corps épouse le sien totalement, et je commence à aller et venir de plus en plus vite, de plus en plus fort, de plus en plus ample. Mathias est totalement parti, il râle doucement en me tendant ses lèvres, il me griffe le dos, puis il serre les cuisses autour de moi, il ne veut pas que je sorte de lui, il me retient du plus fort qu'il peut, puis un cri suraigu commence à sortir de sa gorge, continu, de plus en plus fort. Je me redresse un peu, je regarde à nouveau son petit sexe tout doux, tout prisonnier, tout soumis. Mathias a des spasmes, son sphincter me serre le sexe par saccades, il n'est plus rien qu'une muqueuse surexcitée, ses fesses sont détrempées de sueur, de lubrifiant....et de toutes les sécrétions que deux amants en rut peuvent libérer. Je sors de lui et je le retourne. Je regarde son trou qui palpite encore. Il est ouvert, je vois l'intérieur de mon chéri. Je le jette à plat ventre et je l'embroche. Totalement affalé sous moi il a un sursaut quand mon gland touche le fond de son ampoule rectale.J'aime voir son dos étroit et ses fesses qui me recoivent. Mon gland me picote de plus en plus fort, je sens le plaisir monter, alors je me couche sur Mathias.

— Je vais jouir en toi, je vais te remplir.

Incapable de parler, il me fait un oui de la tête mou d'épuisement. Alors, enfin, mon sperme me transperce par jets longs, puissants, le plaisir me coupe la respiration, j'écrase mon pubis contre son trou trempé, putain que c'était fort!

Dans l'après midi, malgré ce que j'avais à faire, je ne pouvais pas détacher mon esprit du plaisisr que nous venions de nous donner, je le retrouve comme convenu en ville, dans Belfort. Je le ramène au plus vite chez moi, on est tous les deux fébriles, on n'en peut plus d'urgence devant le besoin d'avoir encore du plaisir, je me jette littéralement sur lui. Immédiatement nu, Mathias s'ouvre à nouveau pour moi, il a besoin de me sentir à nouveau en lui. Je plonge en lui avec bonheur, le plaisir sera encore plus intense, Mathias assis à califourchon sur moi, son petit sexe tout dur posé sur moi, je sentirai encore mon sperme traverser mon sexe pour finir en lui, il le reçoit comme un cadeau, il est femelle; il est heureux...et moi pas mal amoureux.... Mathias, si tu te reconnais, toi qui travaillais à l'accueil à l'hosto à Mulhouse, contacte moi ici, on a des trucs à refaire, je n'ai rien oublié du plaisir que tu m'as procuré [et que nou avons partagé]

                                                      

                                                           

JUSTE LUI, MATHIAS 

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Yes! Yes I do! 

 

Ven 24 mar 2017 Aucun commentaire