Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

   ce srait si simple s'ils se laissaient faire...

sans exagérer, désormais le public ne regardera plus la matraque que comme un instrument d'humiliation

déjà en 2015:

"Les faits remontent au 29 octobre 2015. Ce soir-là, un équipage de la police municipale de Drancy, appelé par une habitante qui se plaint de tapage au pied de son immeuble, se trouve confronté à un groupe de jeunes «virulents» et alcoolisés. L'un d'eux, un homme de 27 ans passablement éméché est interpellé pour «rébellion et outrage à agent de la force publique» et conduit au commissariat de Drancy. "

       

"Là, au vu de son taux d'alcoolémie, l'officier de police judiciaire requiert son placement en garde à vue au commissariat de Bobigny. Mais une fois sur le parking du commissariat de Drancy, l'interpellé refuse de monter dans le véhicule de police. Il se débat et se retrouve plaqué au sol, à plat ventre. C'est à ce moment-là, d'après le récit que la victime a livré aux enquêteurs, que   

Le lendemain, la victime se voit prescrire 10 jours d'ITT. Le policier est lui poursuivi pour violences aggravées par deux circonstances, l'usage d'une arme et sa qualité de dépositaire de l'autorité publique. "

La Dépêche du Midi

12:10 - 19 Avr 2016

Voir l'image sur Twitter Voir l'image sur Twitter Photo published for Manifestation contre la loi travail 2016: Midi Libre : Loi Travail : une tête de mort sur la matraque d'un policier passe mal   il y a 292 jours   31 MIDI LIBRE Loi Travail : une tête de mort sur la matraque d'un policier passe mal Les forces de l'ordre ont interdiction en France d'ajouter des signes à leur équipement. ILLUSTRATION / AFP / JOEL SAGET 

Une photo prise lors des manifestations contre la loi Travail montre un CRS armé d'une matraque sur laquelle est dessinée une tête de mort. Une référence au personnage fantastique "Punisher", symbole de vengeance et de justice personnelle. Forcément ça passe mal.

        Révolution Permanente : (NPA) L’anus déchiré à coups de matraque. Les méthodes de la police de Drancy (93)

Publié le 17 janvier 2017

          

C’est un nouvel épisode de violences policières, des plus brutales, qui a été décrit lundi, au Tribunal de grande instance (TGI) de Bobigny, en Seine-Saint-Denis. Sur le banc des accusés, on retrouvait les méthodes des policiers municipaux de Drancy, ou du moins de l’un d’entre eux, aux pratiques absolument sauvages, consistant à déchirer l’anus d’un jeune homme interpellé et conduit à garde-à-vue à coups de matraque télescopique. Il a agi devant ses collègues.

Corinne Rozenn

Les faits jugés lundi au TGI de Bobigny remontent au 29 octobre 2015 et ils sont glaçants. Ce jour-là, une équipe de la police municipale de Drancy intervient vers 21h30 pour un cas de tapage nocturne. Le ton monte rapidement et les jeunes accusés de faire du bruit auraient outragé les policiers municipaux qui interpellent l’un d’entre eux, Alexandre, l’emmènent au commissariat de Drancy avant de le conduire vers celui de Bobigny. C’est au moment de ce second transfert que les policiers violentent le jeune homme, l’un d’entre eux le frappant très probablement à l’anus avec son bâton de défense télescopique au point de lui provoquer une plaie ouverte profonde de 1,5 cm. « Plus jamais tu parleras comme ça de la police municipale, auraient dit ses agresseurs à Alexandre. Tu te rappelleras de nous ».

Impossible, pour le policier accusé, de se souvenir de ce qu’il s’est passé réellement. Des traces de sang d’Alexandre sont pourtant retrouvées dans la Peugeot 307 de l’équipe de policiers municipaux et des traces de l’ADN de la victime ont été détectées sur la matraque. Dans un premier temps, cependant, le policier accusé a toujours dit qu’il n’y avait « pas eu d’incident ».
En dépit du positionnement du président, qui a aucun moment n’a cru en la version du policier-bourreau, seule une peine de six mois avec sursis et de un an d’interdiction a été requise, le délibéré devant être rendu le 20 février. En 2006, Alexandre, la victime, avait été jugé pour insulte à agent. A l’époque, il avait écopé de huit mois avec sursis. Visiblement, pour la « justice » hexagonale, une violence volontaire avec arme, en réunion, ressemblant à s’y méprendre à une agression sexuelle, et de la part, de surcroît, d’une personne dépositaire de l’autorité publique, c’est moins grave que d’insulter Monsieur l’agent.

Circulez, il n’y a rien à voir.

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Lun 6 fév 2017 Aucun commentaire