Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
pourquoi
J’en ai marre de rester ainsi au cabinet à presque m’ennuyer.
« je n’ai besoin que d’une seule chose et surtout pas de mots tendres»
Il est 18h30 ce vendredi. J’en ai marre de rester ainsi au cabinet à presque m’ennuyer. Je m'en vais vers le M., un sauna du centre ville. Pas envie de revoir ce quadra-quinqua, pilier d’un autre sauna où je vais plus régulièrement et qui me déclare sa flamme, alors que je n’ai besoin que d’une seule chose et surtout pas de mots tendres.
Il fait encore jour. Toute la journée je me suis préparé à la perspective d’une surprise comme je l’avais déjà racontée (histoire qui a été publiée dans un numéro précédent sous le titre: «T'aimes la bite toubib!»). Elle n'est pas venue. Je me force durant le trajet à ne pas trop rêver et à subir en retour une douloureuse frustration. Je me gare directement au parking Bellecour car je n’ai aucune envie de perdre du temps à trouver une place. Je m’efforce de rester discret dans mon entrée en ce lieu où j’espère trouver bite(s) à mon cul.
Vite déshabillé, me munissant des précieuses capotes, je file vers les douches. En chemin je suis réconforté par certains regards portés sur moi. Et pourtant
ma silhouette est plutôt très fine, trop mince, et mon sexe est plutôt petit. Peut-être est-ce mon teint qui attire? Je savoure les envies exprimées par ces hommes. Vite au bain de vapeur! J’y entre nu et j'ai du mal à y voir dans cette pénombre ouatée et chaude. Campé quelques minutes dans un coin, je tends les bras à la recherche du muret du banc carrelé. Pas mal de mecs sont assis. Je trouve une petite place. Mon voisin se branle. Je tends ma main vers sa bite. Un geste vif de sa part m’indique que je ne l'intéresse pas. C'est frustrant, d’autant qu’il se retrouve sitôt après enlacé par son autre voisin. Devant moi se tiennent quelques mecs, le sexe dressé que je devine dans l'atmosphère floconneuse. L’un d'entre eux se déplace exprès devant ceux qui sont assis pour se faire mieux voir. J'espère qu'il viendra vers moi. et j’observe le coeur battant son manège. Eh non! Bon, j’ai compris ce ne sera pas mon jour. Je me lève, hésite à quitter le sauna. Finalement je change de place pour aller à l'autre bout de la pièce, là où il y a un renfoncement qui permet à ceux qui n’osent montrer leur envie de tendre dans la pénombre leurs mains excitées. Ça ne va pas traîner. Une main me touche. Enfin! J’ai presque envie de dire à haute voix mon soulagement. La main me caresse. Je saisis une queue, écarte mes jambes. C'est rapide, vif. excitant. Mon anus est fouillé, enfoncé par un doigt, puis deux. Je me penche bien en avant pour aider cette fouille méthodique et je gobe une autre bite qui se trouve à côté. Ah, c'est exquis! Mes fesses sont maintenant embrassées, je sens une langue descendre dans le sillon. Puis elle s'attarde sur mon trou qui s'ouvre davantage pour me lécher à grand bruit. Il y a du monde maintenant autour de moi. Ils viennent voir le spectacle. Je suce des bites raides à droite, à gauche, devant. Je les veux toutes. Le mec derrière moi a deviné mon tempérament et s'est levé. Je sens sa bite qui frotte mes fesses et qui, sans prévenir, s'enfonce. Ah, c'est bon! Les mecs viennent constater que je me fais bien enculer. Je sens même des mains qui viennent toucher mon cul [et la bite qui va et vient] pour vérifier que c’est réel. J’entends certains demander:
— Il est bon son cul?
Mon baiseur grogne simplement. J'aime le trajet en moi de cette bite, bite que je n'ai pas encore vue, ni touchée. Je suis traité comme j'aime. Les mecs excités tendent leurs bites. Je les branle et les suce à tour de rôle. Je suis bien et mon excitation grandit en les entendant commenter.
— C'est une salope, un trou à bites! Il se fait baiser à mort!
Le mec qui m’encule se retire. Il crache sa jute sur mon dos et sur mes fesses. Ça donne des idées au type qui me tient par les cheveux et qui, sentant l’éjaculation proche du mec que je pompe, lance:
— Balance-lui ton sperme dans la gueule!
Je m’étonne de mon excitation face à cette humiliation et cette domination, car non content de m’offrir, il me pince partout, me griffe, me claque.
— Ah oui, t'es qu’une salope, une pute! Combien de queues tu as sucées, hein, hein, tu le sais même pas, salope! Tu te fais mettre par n'importe qui, salope, petite pute!
Chaque phrase est ponctuée d'une fessée, pendant que je suis toujours en train de me faire bourrer le cul par le même. Il sait garder la cadence celui-là. Je ne sais pas si les fessées que je reçois y sont pour quelque chose mais le rythme s’est accéléré, le va-et-vient est plus violent, plus profond. Il s'amuse à sortir sa bite dure complètement et à la rentrer d’un coup à fond jusqu’aux couilles. Je sens monter en moi l'orgasme, et bêtement je gémis, le suppliant d'arrêtor car je vais gicler. Ça provoque la colère de mon dominateur qui me prend les deux mains, les serre, m'empêchant tout mouvement, exigeant de celui que je pompe d'enfoncer sa bite jusqu'à la glotte et demandant au mec de me baiser encore plus fort.
— Défonce-moi ce cul, t'inquiète pas, c’est un garage à bites!
Celui que je suce, un peu affolé par la tournure n'ose obéir et a retiré sa bite, se branle quelques instants et s'en va. Celui qui m'encule, lui, y va à fond et arrive à l’orgasme. J’entends ses râles. Il garde sa bite dans mon cul tout le temps que dure sa giclée. Quel dommage qu’il y ait cette capote qui m’empêche de sentir le jet bouillant du sperme libéré en saccades. Mais les temps sont ainsi. Le mec s’est retiré et s’en va. Je m’affale de tout mon long sur la banquette. L’atmosphère s’est soudain calmée. Il ne reste plus que celui qui m’a dominé, et moi.
— T'en peux plus, hein? Désolé, mais je ne vais pas te laisser partir comme ça. Je vais te faire connaître ma bite et tu vas en garder un souvenir, crois-moi. File-moi une capote!
Il ne plaisante pas, car si le calibre est intéressant, c'est sa violence qui me fait vibrer. Je sais depuis peu que je perds toute lucidité dans des instants pareils face à un mec si actif, si dominateur, voire pervers. Il me transperce littéralement. Je suis resté à plat-ventre et il a enfoncé sa grosse bite directement à fond, sans s'arrêter. Il la ressort et recommence. C'est divin, incroyable.
— Oui, encore, prends-moi à fond, oui, ah c’est bon!
— Plus fort, gueule, mec, j'entends rien!
Je n’ose élever la voix. Il s'énerve, me prend chaque fesse, les écarte, allume la lumière et constate vicieusement:
— Ton trou est plus ouvert qu’une chatte de gonzesse, ah salope!
Il me met debout contre le mur. La position est peu stable à cause des banquettes en skaï qui s'enfoncent sous notre poids.
— Là je te baise, ah, je te baise comme une petite pute! Ah oui, tu aimes la bite! Ah, je te baise!
Il se retire encore, me soulève et pose l'entrée de mon cul sur sa queue. Un coup de reins et ça rentre. Il me serre tout contre lui, écarte mes fesses et donne de violents coups de reins. Je me blottis contre lui et je me sens bien. Il transpire, ça sent l'homme. Il continue à me défoncer, s'accroupit en faisant attention de ne pas sortir cette fois, me pose sur le dos et, gardant mes jambes en l'air, me tringle en cadence.
— À quatre pattes, et vite!
Il garde ses mains sur mes hanches et s'enfonce violemment. Le rythme est fou, je l'entends râler. Il va jouir. Il sort juste avant, retire d'un geste sa capote, me tire les cheveux pour que je tourne ma tête et décharge sa jute sur mon visage. Je me sens un peu sale et je me lave à fond, utilisant presque tout le savon liquide. Je retourne aux bains de vapeur pour surtout faire le vide dans ma tête, récupérer psychiquement. Je pense que je suis reconnu, car déjà on me touche. Je me laisse faire et ma bouche s'est penchée sur la bite de mon voisin. Il me caresse et doucement me fait comprendre de me mettre debout. Il m'explore, me palpe les testicules, les serre, caresse mon ventre, ma poitrine, pince doucement mes bouts de seins, puis il m'embrasse partout.
— Tu sais que ta peau est très douce. T'es avec quelqu'un? Parce que je te garderais bien pour moi!
Je souris et il me demande de quelle origine je suis.
— De l’Inde.
— Ah, je me disais bien, j’y suis allé souvent. Tu es superbe.
Je suis flatté et gêné comme à chaque fois qu’un mec me dit ça. Il s’est levé, me donne des baisers dans le cou, dans les oreilles et me roule une pelle. Je n'embrasse habituellement jamais, mais là ça me réconforte. J’apprécie cette langue qui se tortille autour de la mienne. Ses mains me caressent le dos, les fesses.
— Viens, tourne-toi!
Je suis tout contre le mur en céramique, ma queue est plaquée contre la faïence. Il frotte son sexe contre mes fesses.
— Prends-moi!
— Non, non, je ne veux pas te posséder comme ça. Je veux goûter ton corps!
Je comprends qu’il branle sa bite sur mes fesses. Il m'embrasse dans le cou et jouit, je sens son sperme chaud couler au creux de mes reins.
— Tu veux venir avec moi? On pourra prendre un verre!
Je lui réponds gentiment sans le vexer que je préfère rester. Il s’en va, laissant traîner sa main sur mon corps.
— C’est dommage, peut-être à un de ces jours. Moi, c’est Gilles, et toi?
— Michel!
Un autre mec est là. Je tends ma main vers lui, vers sa bite. Il se laisse faire puis me pousse vers le banc pour que je m’assoie. Ma bouche est à hauteur de sa bite et je me mets à le sucer. Ma langue savoure ce bon morceau, le parcourt de haut en bas, titille le gland qui mouille. J’ai envie d’être baisé par cette queue. Je le lui demande. Il n’a pas envie.
— Tu suces super-bien, continue!
Il prend du plaisir, me prévient et éjacule. J’ai à peine le temps de retirer ma bouche. Son sperme gicle sur mes joues.
Je retourne aux douches, ne cachant même pas aux regards le sperme qui se trouve sur mon visage. Sourires complices. Je retourne aux boxes. Un type un peu dégarni est là. On se regarde et je le suis dans un box. Il ressemble à un mec que je connais. Je me rappelle soudain de son nom, un certain Arnaud, du motif de sa consultation, une panne avec sa femme. Peut-être est-ce lui? Il a une alliance mais ça ne peut être une preuve. J’en ai bien une, moi! Il me caresse. me pétrit. Je baisse sa serviette. Sa bite n’est pas mal. Il me la faut! Je lui donne une capote. Il est gêné, n’arrive pas à la mettre, la gâche, en remet une autre. Enfin il y arrive. Je l’allonge et, direct, je m'empale sur sa bite! Un bon diamètre.
— Ce n’est pas toi qui étais tout à l'heure dans le grand box?
— Heu oui, oui...
C’est curieux mais d’en parler comme ça à froid me fait rougir, bafouiller.
— C’était très beau, tu sais. Tu aimes ça, hein! Pourtant tu es marié?
— Oui (il avait remarqué mon alliance).
— T’inquiètes pas, je l’ai été moi aussi, le plaisir est différent.
Nous étions sur la même longueur d’onde. Ça me fit plaisir. Sa queue était encore gonflée tandis que moi j’avais complètement débandé.
— Il te reste des préservatifs?
— Deux.
— Ça te dit, on termine en bouquet. J’ai mon ami qui est par là: tu m’attends?
Je laissai la porte ouverte et je l'attendis, allongé sur le ventre, jambes bien ouvertes, la serviette posée au ras des fesses, m’excitant de cette exhibition. Je voulais donner l’illusion d’un sommeil "réparateur” et ne fis aucun mouvement quand des mains se glissèrent sous la serviette. Je sentis que le propriétaire de ces mains s’était mis à genoux sur la banquette et je l'entendis ouvrir un sachet. C’est à ce moment que Jacques, son ami, entra.
— Alors. Michel, tu as donc si envie? Oh tu peux rester, ça va être sympa!
Jacques me mit à quatre pattes, prit mon visage entre ses mains, m’embrassa les lèvres.
— Viens, Jérôme!
La queue de Jérôme était très belle, bien dessinée. Je ne me fis pas prier pour l’engloutir. Jacques écarta mes fesses. L'inconnu entré tout à l’heure me prit d’un coup.
— Doucement, oui, enfonce-toi doucement. Michel, notre bel Hindou, est à savourer. Je n’ai que rarement constaté pareille souplesse du rectum.
Curieusement, il fit comme on disait et je sentis le trajet de sa bite gonflée en moi. prenant le temps de progresser centimètre par centimètre. Même si j’avais déjà été bien baisé juste avant, je ressentais toutes les sensations de cette progression. Jacques me caressait les cheveux, me roulait une pelle de temps en temps. Le type sortit sa queue et Jérôme prit sa place.
— C’est délicieux, hein?
— Oui.
— Vas-y, savoure-le!
Il accéléra le rythme.
— Ne jouis pas tout de suite, Jérôme !
Jérôme se retira et Jacques s’allongea.
— Viens sur moi, Michel, je vais te faire connaître quelque chose de merveilleux. Je crois que tu es prêt!
Je me mis sur lui, sa queue s’enfonça à moitié. Il me prit par les épaules, me ramena vers lui contre son corps et enfonça sa langue dans ma bouche. Jérôme était resté derrière moi. Il comprit et posa son sexe contre mon anus déjà occupé. Le troisième regardait et, pour mieux voir, alluma la lumière. Jacques me détendait par son baiser baveux et écartait mes fesses. Jérôme poussa. Je crus exploser. Une sorte de chaleur vive, de brûlure, et mon cœur se mit à battre violemment, le sang me monta à la tête.
— Oui. c’est bon, doucement, c’est bon, Michel, tu es magnifique!
Jérôme se mit à bouger doucement. J'avais deux bites en moi, celle de Jacques, celle de Jérôme. Jacques se mit à prendre le rythme de Jérôme tout en donnant de petits coups de reins. C’était assez extraordinaire de se faire pénétrer par deux bites. Jérôme gémit et je compris qu’il éjaculait. Je sentis le battement contre la paroi rectale de sa verge qui déchargeait. Il se retira et enleva sa capote pleine.
— À toi, maintenant!
Jacques me caressait partout pour me détendre. Cette seconde double pénétration fut du même effet. Le sang montant à la tête, l’envol après la brûlure, l'extase surtout. Là, le rythme fut vif et Jacques aussi s’y mit. Jérôme glissa sa tête vers mon ventre et me happa le sexe. Je ne trouve pas les mots pour dire ce que je vivais.
C’était irréel, comme si j’étais drogué. Leurs deux bites en moi avaient trouvé leur place et la cadence était soutenue, pas trop rapide car je crois que c’est impossible à cause de la position qui n'aurait pas manqué de faire sortir une des deux bites. On était tous les quatre presque en fusion, collés les uns aux autres. Je crois qu'on a dû jouir en même temps, car je sentis les deux queues battre pendant que mon sperme n'arrêtait pas de jaillir.
Le retrait des bites fut plus douloureux, je veux dire mentalement ce vide est insupportable. Et je m'affalai, cette fois complètement hors circuit. Jacques m'embrassa encore. L'autre partit en nous remerciant. On partit tous trois alors vers les douches et Jacques me lava de fond en comble. Sa queue gonfla et, en guise de remerciement, il me l'enfonça une dernière fois. Gardant sa queue enfoncée il me branla à toute vitesse. Je m'étais déjà vidé et j'eus la surprise de constater que je me mettais à pisser.
— Tu ne savais pas ça, hein? Je pourrais t’apprendre plein d’autres bonnes choses!
Je lui répondis qu'étant marié, il m'était difficile d'avoir une liaison régulière mais lui dis encore merci pour ce plaisir étonnant, extraordinaire qu’il m'avait fait découvrir.
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Pourquoi un marié devrait-il se priver des plaisirs du sexe PD? : Un soir, le parcours solitaire d'un bisexuel toubib marié hindou au sauna le récit a été publié il y a 20 ans dans lettres gaies puis dans gai-eros :
http://www.gai-eros.org/w/index.php/Toujours_plus_de_bites_dans_le_fion
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