Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

  c'était il y a longtemps, j'avais alors 14 ans   LES SOUVENIRS AUTHENTIQUES DE PAPY 

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j'habitais la banlieue ouest de Paris  et ne connaissais rien à l'amour ni avec une fille, ni avec les garçons.  

Je serais resté longtemps innocent si j'étais resté dans cette  bourgade bourgeoise dans cette banlieue ouest de paris.
Mes grands parents ont vendu leur maison en région parisienne pour en acheter une en province, dans un coin retiré de tout il fallait faire 5 Km pour le pain ou le journal et 15 Km pour espérer avoir le reste.
Je fus invité à y passer mes vacances de Pâques.
Oh je ne fus pas triste car pour moi ma grand-mère était plutôt comme ma mère.
   
Je débarquai en car dans une bourgade de province à la tombée de la nuit, mon grand-père était là pour m'accueillir,en 2cv grise. Et un parcours de plusieurs minutes presque une heure.
Une lumière me montra le chemin de l'entrée de la maison, ma grand-mère sur le pas de la porte m'accueillie en me faisant un câlin comme du temps ou j'était tout petit (elle 1m49 et moi 1m70) cela devait être comique mais je m'en foutais elle était ma grand-mère.
Mon grand-père arriva et dit à table tout le monde. A la fin du repas nous dit je vais me coucher bonne nuit a vous. Oh les paroles n'étaient pas nombreuses de sa part, il fallait s'en contenter. Ma grand-mère me montra ma chambre, il fallait sortir du bâtiment principal de la maison (une ancienne ferme avec un grand verger derrière) et un petit bâtiment avec de la terre battue au sol en guise de plancher, un poêle à bois le long du mur à coté une porte en bois rustique à coté, un petit couloir une autre porte et une chambre en contrebas il fallait descendre trois marches et là une chambre de dix mètres de long et de quatre mètres de large pour moi tout seul, là aussi un poêle à bois trônait au centre de la chambre, un seau avec des morceau de bois à coté.
Ma grand-mère me dit alors ton royaume, te plaît il ? la chambre est pour toi tout seul.
Tu t'en occupes, tu me donnes tes draps une fois par semaine et ton linge deux fois, tu nettoies ta chambre et tu t'occupes de la chauffer le bois est juste là au pied de la fenêtre, pour les cendres il y a un tas derrière la maison à coté des toilettes, pour la nuit il y le seau là avec le couvercle, tu fermes ta porte à clef personne n'y viendra sauf toi.
Là-dessus elle me fit la bise me dit bonne nuit et me laissa seul dans mon nouveau domaine.
Je fis le tour de mon nouveau château, grand en surface mais pas grand-chose une table une chaise, contre le mur une petite table avec une cuvette et un seau d'eau pour la toilette, un grand lit, pour il me paraissait grand il faisait en fin de compte 1m30 de large haut plus haut que les lits que je connaissais. Et une armoire avec une glace sur les portes face au lit. Je pris ma valise la posai sur une chaise l'ouvris et rapidement en tirai un pyjama, me dévêtis et me glissai dans le lit.
Je m'endormis comme un loir, le froid me réveilla dans la nuit vite je compris que j'avais oublié de charger le poêle, quelques morceaux de bois et je me rendormis jusqu'au matin.
Vous allez me dire que fait il à écrire une histoire pareille dans un site d'histoire érotique gay
Si vous êtes pressés alors allez voir ailleurs car moi j'ais mis quarante ans à pouvoir écrire cette histoire alors vous avez bien cinq minutes pour vous situer dans le contexte de mon époque.
Et si la littérature homo : il sonne il entre me déshabille m'encule se vide dans mon cul m'embrasse se rhabille et s'en va vous plaît alors allez voir ailleurs.
Je me lève me lave (enfin je me mouille le visage les oreilles pour le reste on verra plus tard), m'habille de vêtements propres pris dans mon bagage et je me dirige vers la maison principale. En sortant je frisonne nous sommes au printemps et le matin est encore frais, matin pour moi parisien mais pour les gens de la campagne il est déjà tard. J'entre dans la cuisine sur la table un grand bol et des tartines beurrées m'attendent, ma grand-mère me demande si j'ai bien dormi et me fait la bise du matin.
Je lui réponds que j'ai dormis comme un loir des villes.
Elle sert un bol de lait chaud et y ajoute du chocolat en poudre et me dit bon appétit, quand tu auras fini de prendre ton petit déjeuner tu lave ton bol et tu passes un coup sur la table et tu peux visiter la maison et ses environs jusqu'à midi pile car ton grand-père déteste comme tu le sais manger en retard bien qu'il soit à la retraite depuis plus de quinze ans.
Je lui répondis que j'étais d'accord avec son programme. Elle me dit, au moment où je sortais lorsque je quittais la maison si tu veux tu peux aller à la maison là-bas c'est la ferme où nous nous servons pour le lait et le reste des produits du coin il on un fils de ton âge tu pourras t'en faire un copain par contre si tu restes plus longtemps viens nous le dire. (elle voulait me dire que si les gens m'invitaient à manger que je pouvais le faire si je les prévenais avant midi.
Je pris donc la matinée à tourner et à virer dans et autour de la maison, comme n'il était pas loin de midi je suis revenue vers la maison pour être à l'heure pour le déjeuner.
Quand j'entrai dans la cuisine il était midi moins cinq mon grand-père se lavait les mains, alluma la radio sur Radio Luxembourg (RTL aujourd'hui), et s'assit à sa place le repas se passa comme tous les repas avec eux sans une parole autre que celles demande de : passer le pain, sel ou autres choses. Le bon appétit avant de manger et le bon après midi ou soir. Ma grand-mère me dit vas je ferai la vaisselle tu n'es pas en vacances pour travailler. Donc je partis en direction de la ferme pour essayer de voir le garçon de mon âge pour voir si nous pouvions devenir copains.
Lorsque j'entrai dans la cour de la ferme je fus accueilli par premièrement le chien qui heureusement était attaché par une grosse chaîne, et deuxièmement par un jeune garçon plus grand que moi presque 1m80 la peau brunie par l'air de la campagne les cheveux blonds mi-longs et mal peignés. Il était vêtu d'un short en velours côtelé marron, et d'un pull à grosses manches vert et, aux pieds, des godasses à peine lacées comme les garçons de maintenant.
Il viens vers moi me tendant la main et me dit : " salut moi c'est Ludovic appelle moi Ludo comme tout le monde" je lui rendis sa main qui était chaude et vigoureuse et lui je lui dis :" bonjour je m'appelle Jean-Frédéric et ma famille m'appelle Fred".
Il me reprit la main et me dit viens nous allons visiter la ferme de mes parents. Il me confia qu'il considérait mon grand-père comme le sien.
Moi je n'étais vêtu que d'un short en toile bleue et un sous pull rouge et, aux pieds, des tennis basses.
En me détaillant des pieds à la tête il me dit il va falloir que tu te changes car comme cela tu vas avoir froid, bouge pas je vais voir ma mère lui demander quelque chose. Il partit en courant en me laissant sur place, revint cinq minutes après en disant viens ma mère ma dit de te donner des affaires à moi plus chaudes . Donc nous allons d'abord commencer par visiter ma chambre, je le suivis on entra dans sa chambre par la fenêtre. Ce détail aura son importance, il me dit que dans la journée il le faisait tout le temps et me fit voir que si je venais et qu'il n'était pas dans la cour ou bien chez lui, c'est qu'il était dans sa chambre et que je pouvais entrer chez lui de jour comme de nuit par la fenêtre car il ne la fermait jamais à clef.
Sa chambre n'était pas grande mais elle paraissait encore plus petite car il y avait des affaires partout des jeux des choses hétéroclites. Il fouilla dans son antre, me trouva un short comme lui en velours côtelé et un pull en laine chaude marron, pour les chaussures ce fut plus compliqué car il n'en avait qu'une paire, aussi on trouva une solution une paire de bottes de caoutchouc noir et crotté. Comme je le regardais pour me changer il me dit prends ton temps je vais chercher à boire. Et pendant qu'il fut parti je me déshabillai rapidement, oh je n'avais pas grand-chose à ôter ni à remettre mais quand même je pris mon temps. Tant et si bien que quand il arriva j'étais en slip devant la glace de sa chambre avec le pull sur les bras la tête enfilée, le ventre à l'air. Il me contemplait sur le pas de la porte. Bah dis donc me dit-il t'en mets un temps pour enfiler un pull et un short. Je devins rouge sous le pull car je compris qu'il me voyait presque nu juste mon petit slip. Et lorsque je fis réapparaître ma tête il comprit ma honte : " oh tu sait j'en vu d'autres des garçon tout nu il sont faits comme moi et puis on a le même age alors on est faits pareil. " "Je, je, bredouillai-je s'est là première fois que je suis en slip devant quelqu'un même si tu as le même âge que moi je n'ai jamais vu d'autre personne que moi tout nu lui dis je. -" Oh tu sais tu en verras d'autres ici car nous à la campagne on se promène souvent tout nus dans la forêt, avec les copains du coin tu verras on s'y habitue très vite."
-"Je vais te faire voir que je ne suis pas plus ridicule que toi tout nu." Et aussitôt dit, aussitôt fait, le voilà comme moi en slip (plus que douteux) et le voilà qui retire aussi son pull pour se retrouver torse nu et rien que le slip. Alors me dit il qu'en penses-tu ? est-ce que je suis plus nul que toi comme ça ? Non lui répondis je car toi tu es bronzé alors que je suis tout blanc comme un poireau. Enlève ton pull me dit il pour voir la différence de couleur de peau. Sans honte maintenant j'enlevai le pull qui m'avait caché. Et me voilà comme lui en slip devant la glace à nous regarder qui serait le plus bronzé de peau. Puis il me dit que malgré que je sois plus petit que lui (ont s'étaient mesuré dos à dos) que j'avais un plus gros paquet que lui ! je fis la moue et comme je ne répondais pas il me montra la bosse de mon slip et la sienne il s'approcha même. Presque à nous toucher slip contre slip lui avançant le ventre pour mettre la poche de son slip au plus près du mien. Regarde me dit-il je suis aussi blanc que toi, j'en suis sûr, sous le slip ? Comme je ne bronchais pas et même que je rougissais il s'empara des deux élastiques de nos slips et les tira vers le bas. Je vis alors pour la première fois le zizi de quelqu'un d'autre. Rouge non je ne l'étais plus je devais être presque écarlate j'avais les joues qui me brûlaient tellement je devais être rouge de honte qu'il voie mon petit zizi.
Alors il prit les devant je comprends me dit il c'est la première fois que tu te trouve tout nu devant quelqu'un d'autre? Oui parvins-je à lui répondre. Ne t'en fais pas je vais te montrer comme on fait entre copains (pote maintenant).
Il me pris le slip et le descendis jusqu'à mes pieds me fis lever un pieds puis l'autre et le jeta sur le tas de linge dans un coin de sa chambre. Puis il me prit les mains, les mis sur le coté de son propre slip [sur ses hanches] et me dit de faire comme pour moi de le retirer et de le jeter sur le tas de linge.
Je fis descendre le slip le long de ses jambes mais je dus me mettre à genoux pour le faire passer par ses pieds et je me retrouvai avec le nez juste à coté de son sexe. Je ne prêtais pas attention à cela mais lui oui il viens coller le bas de son ventre à ma bouche et à mon nez.
Ce fut la première fois que je sentis l'odeur d'une quéquette oh elle n'était pas bien grosse mais elle avais déjà ce parfum envoûtant qui me fais craquer maintenant. Une fois nu il se tourna devant moi toujours à genoux devant lui pour bien me montrer tout son attirail comme il disait.
Il me dit de m'asseoir sur le lit et me fis relever les pieds et les poser sur le bord sous les fesses, il se mit à genoux devant moi et m'écarta les cuisses au maximum il avait le nez juste devant mon engin qui était toujours au repos car je n'avais jamais joué avec je ne savais rien, absolument rien, là-dessus. Par contre je devais en apprendre pendant ces vacances.
Il me respira tout abord en passant et repassant au dessus de ma bébête. Elle ne bougeait toujours pas ; aussi il prit l'initiative de la prendre dans sa main cela m'a fait tout drôle dans le ventre de sentir cette main sur mon sexe il le caressa doucement. Le passant et le caressant de haut en bas et de bas en haut. Puis de l'autre main je sentis qu'il me prenait mes petites boules qu'ils les faisait tourner dans leur sac avec ses doigts. Je ne disais rien, me contentant de regarder ce qui m'arrivait. Je voyais cela comme si on le faisait à quelqu'un d'autre que moi sauf que cela me faisait des choses dans le ventre, des ondes agréables montaient de mon bas ventre jusque dans ma poitrine. Cela devint plus fort encore lorsqu'il fit glisser la peau de mon zizi vers le bas et que je sentis pour la première fois le froid sur la tête de mon engin qui était toujours mou mais je pense qu'il n'allait pas le rester longtemps. Oui il fit glisser la peau de mon zizi vers le bas puis vers le haut et cela plusieurs fois et de plus en plus vite.
    C'est bon me demanda t il ? Oui je lui répondis dans un souffle je commençais à sentir que quelque chose se passait dans mon bas ventre ma quequette avait doublé de volume je voyais ses doigts s'agiter dessus et étant au-dessus je sentais comme une douce odeur de musc me parvenir. J'étais de mieux en mieux je me sentais flotter. Des ondes de bien être montaient de mon ventre, mon zizi commençait à me faire mal et je le lui dis il me dis que comme c'était la première fois la pompe n'était pas encore amorcée et que ma queue était trop sèche qu'il fallait qu'il remédie à cela je le vis ce pencher sur mon zizi, le prendre en bouche, alors là je devins fou de plaisir je me ruais dans sa bouche en lui enfonçant mon engin jusque dans le fond de sa gorge. Il me prit par les hanches et me força à me coucher sur le lit sur le dos . Et il me suça pendant un long moment. C'était tellement agréable que je ne sentis pas venir la fin : mes boules se sont rétractées mon ventre s'est contracté, et d'un seul coup je sentis quelque chose monter de mon ventre, se ruer dans mon engin et sortir en saccades : une puis une deuxième puis une troisième. Et cela se calma je suis tombé à plat dos sur le lit anéanti comme si j'étais tombé dans les pommes.
Alors Fred me dit il comment trouves-tu cette première fois ?
Je ne sais pas ce que tu m'as fais mais c'était si bon que j'ai failli tomber dans les pommes.
Non tu n'est pas tombé dans les pommes tu as seulement joui me dit il.
Tu sais c'est la première fois que je vois mon zizi dur et droit comme cela et c'est la première que je vois quelque chose ou plutôt senti quelque chose sortir de mon zizi [à part la pisse].
Es ce que tu pourrais me montrer comment on fait, Ludo Svp ?
Oh mais bien sûr mais il ne faut pas aller trop vite, on a toutes les vacances pour ça.
Si tu veux tu peux jouer avec le mien me dit il.
Ok lui dis je comment fait on ?
Il se plaça sur le bord du lit comme moi tout à l'heure sauf qu'il s'allongea directement sur le coté
Il me dit de mettre ma tête sur sa cuisse et de prendre en main son engin qui n'était plus du tout mou il était raide et dur j'avais du mal à en faire le tour avec ma main sa peau était douce et chaude il s'en dégageait une douce odeur comme tout à l'heure la mienne, hum!! Comme c'est doux et agréable nos zizis lui dis-je. Je sentis sa main prendre la mienne par dessus et de me montrer le geste convenable. Je descendais la main le long de son engin je voyais sa tête énorme avec sa fente en son milieu, une collerette qui fait le tour de cette tête, et comme j'avais compris le mouvement il repris l'autre main pour me la poser sur ses boules velues et douces que c'était bon aussi de sentir entre mes doigts ces balles chaudes et duveteuses. Il me dit de lui faire des bisous sur le dessus quand la peau était en bas et de lécher quand elles remontaient pour ne pas que je fasse trop chauffer. J'eus envie de faire comme lui de la mettre dans ma bouche. Aussi je m'approchai de la tête et quand je lui faisais un petit bisous dessus il donna un coup de rein qui fit entrer la moitié de son engin dans ma bouche. Il fit lui même les mouvements de va et vient et j'eus la totalité de son énorme engin dans la bouche jusque dans le fond de la gorge. Mum! Que c'était bon de sucer un bel engin comme cela. Il arriva ce qui devait arriver et comme je ne savais rien je ne pris pas garde je reçus tout dans la bouche, de longues et fortes saccades j'avais la bouche pleine de son jus il se retira j'allais cracher dans ma main non me dit il ne faut pas la première fois il faut faire un vœu. Il m'embrassa à pleine bouche il me fit pénétrer sa langue dans la bouche il visita ma bouche comme il avait visité mon zizi.
Puis me lécha la figure en me disant que s'était bien même très bien pour une première fois.
Je le pris dans mes bras et le serrai comme si j'avais envie d'entrer en lui.
Il me dit il faudrait peu être se lever et aller se promener un peu? Ok lui dis je. Ou va t-on ?
J'enfile mon slip son pull et son short puis les bottes. On est vraiment pareils à part la taille de 5 cm de plus sinon tout est pareil les manches un peu longues, le short aussi, les jambes du short son un peu larges et j'ai comme des courants d'air sur le coté. Je le lui dis. il se penche alors pour voir si c'est vrai et glisse sa main pour vérifier et touche alors ma quequette à travers mon slip.
Et nous voilà partis nous avons fait le tour de son domaine une grande ferme pleine d'animaux et de terrains de granges. Nous allons bien jouer à cache-cache ma t-il dit.
Il me dit aussi que ver le bas, derrière il y avait un étang qui servait l'été de piscine et que comme dans le coin nous n'étions pas nombreux à pouvoir y aller, la plupart du temps avec les amis et les amies qui viennent chez lui on se baigne tout nu tous ensemble garçon et filles.
Puis nous avons été jusqu'à chez moi, en passant je dis bonjour à ma grand-mère Elle aussi nous demande si cela va comme on veut? Pour le mieux nous lui répondons-nous d'un commun accord en nous poussant du coude. Je vais lui montrer ma chambre dis je à ma grand-mère pas de problème répondit celle-ci profite en pour faire aérer. Ok je lui réponds.
Nous entrons dans le bâtiment, il est impressionné par le fait que je puisse avoir la clef et que personne n'y entre. Je lui dis que ma grand-mère ma dit que si je faisais pas le rangement ni le ménage ce n'est elle qui le ferait car c'était mon chez-moi. Nous entrons et je referme la porte.
Pourquoi me demande t il? Parce que nous allons sortir par la fenêtre comme chez toi.
Et comme je ne la fermerais pas tant que je serais en vacances si tu voulais venir dormir avec moi tu n'aurais qu'à cogner et entrer. Ok pas de problème tu me verras venir. J'aimerais bien passer une nuit entière avec quelqu'un.
Je lui demande tu as déjà fait l'amour avec quelqu'un ?
Oh!! Non me dit il juste comme aujourd'hui avec toi et si une fois avec une fille on s'est toucher le zizi ensemble mais elle à crié que je lui faisait mal alors elle est partie et je ne l'ais jamais revue par ici.
Ce soir je me couche et puis je viens te rejoindre un peu plus tard par contre il faut que je rentre avant 6 h 00 demain matin car je vais avec mon père traire les vaches.
- Ok donc quand tu viendras on mettra mon réveil pour 5h30.
L'après midi se poursuivit comme elle avait commencé on a joué par ci par là. Il m'a fait découvrir des choses que lui seul connaissait par ici. Il me montra tous ses secrets de garçons. Ses amis animaux.
La journée me parut longue je dînai avec ma famille puis j'ai été me coucher il était 20 h 30 quand me retrouvai dans ma chambre, je chargeai le poêle a fond pour avoir bien chaud. Je me mis tout nu pour me laver entièrement des pieds à la tête, je fis plus attention a mon zizi et à mes fesses, pour éviter qu'il y ait des odeurs car je me suis aperçu cet après midi que ses endroits là avait une odeur assez forte. J'en profitais pour ouvrir mon lit en grand et vérifier que le drap d'en dessous. J'enfile mon pyjama et me glisse sous les draps. Je regarde la pendule il est maintenant plus de 21 h 00 et toujours rien. Je me cale dans mon oreiller et rêve les yeux fermés à ma journée forte en nouveaux jeux et encore plus forte en actions nouvelles pour moi. Et je m'endors. Combien de temps il s'est passé je ne peux le dire, comme je ne peux dire si je rêve ou bien si cela est réel mais je sens une main contre moi et même plus maintenant je sens un corps contre moi. La main frotte mon ventre et se glisse sous l'élastique de mon pyjama. Elle touche mon zizi qui dort encore, il est tout flasque et repose sur mes petites boules dans leurs sacs tout fripés. Je me demande si je rêve ou s' il y a bien une main dans mon pantalon. Je me retourne en me mettant sur le dos et là j'attends. Rien ne se passe je referme les yeux pour me rendormir dans un demi-sommeil je sens quelque chose d'humide ce poser sur mon zizi. Et me le gober entièrement. Oh!! Que c'est bon, mon zizi ne reste pas indifférent. Il se réveille, il prend du volume dans ce conduit chaud et humide. Et je ne peux rien faire une boule dans mon ventre monta vers mes boules presque à faire mal puis je sentis cette boules monter vers ma petite tige dans le conduite humide. Et là une explosion dans la tête de mon zizi, et me mis a expulser mon jus dans le conduit.
Je me suis réveillé complètement quand j'entendis quelqu'un tousser sous la couverture. S'était mon ami Ludo, qui sortit la tête de dessous les couvertures tout rouge et il passa sa main sur sa bouche en me disant: -" ben dis-donc tu m'as lâché le paquet!."
Pardon lui dis je dormais et rêvais de toi enfin de nous cet après midi!! Je ne savais même pas si tu allais venir. Aussi je me suis couché. Comment es tu entré sans que je t'entende?
Oh! J'ai attendu que mes parents se couchent puis que mes frères se couchent eux aussi. J'ai choisi ce pull et ce pantalon avec rien dessous, juste mes tennis. Je me suis caché après dîner pour me laver pour pouvoir être propre pour toi. Et quand je suis arrivé à ta fenêtre j'ai regardé et j'ai vu que tu dormais alors j'ai hésité, puis je me suis lancé. Tout doucement j'ai poussé la fenêtre et je l'ai refermée doucement en te regardant dormir sur le coté. Je me suis déshabillé devant le poêle, pour me réchauffer. Puis je me suis glissé sous les draps contre toi et comme tu ne bougeais pas je me suis aventuré avec ma main dans ta culotte. Pas de réaction je me suis dit je vais repartir il dort à poings fermés il est trop fatigué de cette journée. Et là tu te mets sur le dos une aubaine pour moi. Je me glisse hors du lit, te laisse te rendormir, puis je me glisse comme un serpent à la hauteur de ton ventre. Et je cherche à l'odeur, ta petite bite de puceau. Avec la langue j'écarte l'ouverture de la braguette et du bout des lèvres j'aspire un petit bout de viande tout mou, oh pas longtemps car il se mit à durcir dans ma bouche. Hum!! Que c'était bon de sentir vibrer ta petite chose et surtout le goût extra. Par contre ce ne fut pas long tu as explosé vite fait mais c'était bon.
Il se recoucha contre moi et m'embrassa avec la langue jusqu'au fond de la gorge. Il était nu comme un ver pas contre moi, je portais encore mon pyjama. Il s'en occupa rapidement. Je me retrouvai nu comme lui sous les draps. Une première encore, oui c'était la première fois que j'étais nu dans lit. Que cette sensation était agréable!
Il m'appuya sur la tête pour je l'embrasse la poitrine et puis je descendis sur son ventre, je lui léchai le nombril. Poua!! Un goût immonde un mélange de pipi et de crasse. Aussi je lui dis : Ludo quand tu viens ici ne prends pas la peine de te laver cher toi moi je te lave et toi tu en fais autant pour moi comme cela on se lavera des coins qu'on oublie. Puis je repris ma descente vers son pieu. J'avais moins peur que ce matin mais quand même je craignais encore cette chose surtout que lui était énorme par rapport à moi. Ma langue rencontra ses poils frisés et odorants malgré qu'il soit blond, puis ma langue se retrouva à la base de sa colonne de chair, déjà en l'air et bien raide. Je la léchai de bas en haut puis fis le tour de ce monstre en me disant que jamais je ne pourrais mettre tout ça dans ma bouche. Je glissai une main pour en évaluer la grosseur et je descendis son prépuce jusqu'en bas le maintins avec la main puis je titillai le gland de ma langue. Puis je lui fis des petits bisous sur le trou en son sommet, y glissai ma langue. Déjà il y avait un liquide visqueux. Je mis en bouche son gland en serrant les lèvres. Oh maman !!! Que j'ai mal sur le coté des lèvres. Je glissai ma langue le long de ce morceau de chair chaude et humide. Ma bouche commençait à se faire à cet engin qui m' obstruait la bouche. Ludo mit sa main sur ma tête et appuya doucement mais fermement pour que puisse en avaler plus. Il me fit prendre un rythme, un coup en bas un coup en haut. A chaque fois que je me trouvais en bas, il m'appuyait un peu plus sur ma tête pour enfoncer son pieu plus profondément dans ma bouche.
La position n'était pas inconfortable à genoux sur le lit les fesses en l'air et tourné vers le pied du lit.Je pensais que s'il faisait plus clair dans la chambre je pense qu'il verrait mon trou du cul.
Lui une main sur ma tête et de l'autre il me caressait les cuisses, les mollets et il remonta le long des cuisses et me caressa les globes si naturellement offerts de mon cul. Encore une sensation nouvelle, ses doigts passaient et repassaient le long de ma raie et le plaisir que cela me procurait, je tendis et ouvris mon cul vers cette main douce et câline. Moi je tendais toujours les lèvres vers ce pal qui me percutait le fond de la gorge. Elle grossissait de plus en plus et la mienne aussi reprenait de sa vigueur. Je sentis le doigt qui me caressait la raie passer sur mon trou et poussa un peu tout en tournant autour. Je sentis un plaisir inconnu qui me faisait vibrer tout le bas ventre de devant et de derrière. Il retira son doigt le passa dans ma bouche, en préleva une quantité de salive et me l'appliqua sur la rondelle et le doigt reprit son travail de massage. Son doigt poussa un peu plus et finit par entrer. Une douleur vive me fit contracter les lèvres son engin grossissait à me faire rompre la commissure des lèvres. Le doigt entrait et sortait de mon trou la douleur était passée maintenant je ressentais une douce onde de plaisir, de plus en plus forte, j'étais sur le point de jouir du cul et de mon zizi. Par contre lui il en était au point de jouir. Il me lâcha sa semence par de longs traits qui finirent au fond de ma gorge, de sorte que je fus obligé d'avaler car il n'y avait pas de place pour son jus et son engin. Son doigt me finit je jouis sur mon ventre il m'attira vers lui et me lécha le ventre et le zizi. Il sortit son doigt de mon cul, une impression de vide, et de manque s'ensuivit. Il porta son doigt à ma bouche et me le fit sucer. Je m'allongeai à coté de lui et m'endormis.
Lorsque je me réveillai il n'y avait plus personne dans le lit. Une douce odeur de male flottait dans l'air. Il faisait chaud dans la chambre, Ludo avait fait le plein de bois dans le poêle. Et était parti sans faire de bruit vers sa famille. Je me levai regardai l'heure il était presque 10 h 00. Rapidement j'ouvris la fenêtre en grand pour aérer ma chambre je m'habillai de propre après avoir fait une toilette rapide de mes fesses et de mon zizi. Je passai dans la cuisine de ma grand-mère, bus rapidement un grand bol de chocolat qui m'attendait sur la table, pris les deux tartines de pain avec de la confiture. Et je suis parti rejoindre mon ami Ludo...

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"A suivre ???" tu crois papy ? ben ce serait à Paris, tu l'invites, tu crèves d'envie qu'il te baise, non ? y a pas de suite sur Monclubgay qui est très fermé donc pas d'adresse. On adore ton récit et ce fut un plaisir de corriger tes fautes d'orthographe mais pas de fautes de goût : tu es parfait et TOUJOURS AUSSI JEUNE !    

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commentaires : "Tes histoires   m'ont rappelé de doux moments de mon enfance à peu près au meme age et a la meme epoque ... a plus , si tu veux ...stfan83"

"Hé les grincheux toujours à faire des critiques vous ne pouvez pas simplement goûté le plaisir de lire une histoire tendre et sexe ... Norbert"

"Vu ton expression de certains mots, ton âge mental est bien bas... à moins que l'utilisation de "zizi" cache autre chose..."

"des moments qu'on garde toute sa vie vivement la suite"

"la suite seras surement aussi interessante que le début et cela me provoque une bonne bandaison alors a++ de te lire"

"tu dois avoir la cinquantaine c 'est inquiétant de s'exprimer de la sorte ! Evite de polluer ce site. Merci d'avance!"

Mar 5 mar 2019 Aucun commentaire