Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
les méfaits bienfaits de l'alcool leurs femmes nous avaient injustement traités de mauvais exemples pour leurs mouflets ...fallait qu'ils marquent leur différence...
Il fait chaud en été à Narbonne-Plage. Nous, trois potes gays, Didier, Bertrand et moi, – Jean-Pascal –, on ocupe le studio à côté.
Un vendredi, nos voisins, Jean-François et Michel, les maris, les “machos”, ont frappé à notre porte avec une bouteille de vodka à la main. Ils avaient déjà pas mal trinqué, ils avaient l’air un peu chauds. Leurs épouses étaient parties à une séance de cirque avec les enfants, et ils voulaient s’excuser pour le bruit qu’ils avaient causé. Ils n’étaient pas mal du tout, ces mecs, physiquement parlant...
Au bout de deux ou trois vodkas, Didier, pas "effrayé", a commencé à se toucher l’entre-cuisses.
— Vous êtes assez bandants, tous les deux, vous ne voulez pas qu’on se fasse du bien?
Un des deux maris, Michel, a joué son gros mâle outragé:
— Ho, les pédés, vous faites ce que vous voulez de votre cul, mais moi, je suis un vrai mec, je baise des femmes, et si tu continues à me provoquer...! *
On s’apprêtait à les jeter quand son copain, avec une petite gueule à la Brad Pitt, nous a dit:
— Branlez-vous si vous voulez, moi, je m’en fous! Moi, je suis un mec normal, pas comme vous!
Ce genre de situation, ça excite toujours Didier (avec ses 95 kilos et son mètre 87, il ne craint pas grand monde!). Il a commencé à sortir sa queue de son short (mis pour l’occasion!), et les deux hétéros n’ont pas pu faire autrement, après un moment un peu lourd, que de siffler. C’est vrai qu’il est impressionnant quand il bande, Didier. Sa bite est très rouge, complètement décalottée (il est circoncis), et son gland est en forme de petit champignon. En fait, une bite qu’on ne peut que mater! [J'ai fait comme on fait sur les dragues pour déclencher les événements :]Je me suis mis à genoux devant lui, et j’ai pris sa queue dans ma bouche. Et lui, il en rajoutait vraiment dans les gémissements, les tortillements, etc. Si bien qu’il a fait monter la pression d’un cran.
Bertrand a ôté son short, et a commencé à se branler. Les deux maris, outragés d'abord, sont vite devenus très excités par l’ambiance électrique (et l’alcool!). On voyait leurs bites raides qui gonflaient leurs shorts. Finalement, J’ai eu pitié d’eux, surtout que le sosie de Brad Pitt me plaisait bien. Je me suis dégagé de la queue de Didier, et je lui ai proposé:
— Veux-tu que je te soulage?
Il a fait signe que oui. Son copain, bien qu’excité lui aussi, a été plus long à démarrer. Il a fallu qu’on le bouscule un peu. Après, ils se sont comportés tous les deux comme des chiennes en chaleur! On n’en est pas revenus! Je commençais à peine à prendre une belle queue bien lourde dans ma bouche, que “Brad Pitt” me passait la main entre les cuisses pour me toucher le trou de balle! L’autre hétéro, Michel, s’est finalement fait pomper le nœud par Bertrand. Avec mes mains libres je paluchais discrètement Didier. Quand “Brad Pitt” a vu ça, il s’est mis à clamer qu’il voulait se faire branler les couilles aussi! Il n’a pas été déçu, on s’y est mis à trois! Il a joui en criant tellement fort que Bertrand a été forcé de lui enfoncer sa bite dans la bouche pour le faire taire. Il a dû aimer parce qu’il a commencé à le sucer et qu’il y a pris goût. Bertrand s’est retiré juste à temps pour ne pas lui éjaculer dans la gueule!
On s’est aperçus alors que Michel s’était fourré un doigt dans le cul, et qu’il s’excitait ainsi. On lui a dit qu’un doigt, ce n’était pas assez! Alors il s’en est mis un second pendant qu’on l’encourageait. Et finalement, c’est lui-même qui s’est mis à crier qu’il voulait se faire défoncer le trou de balle! Complètement déchaîné! Jean-François, l’autre hétéro, n’était pas mal non plus: il était à quatre pattes sur le lit, à s’écarter les fesses pour nous montrer son anus, tout en disant qu’il avait un beau trou de balle, qu’il était puceau, etc. Il y avait de quoi avoir envie de l’enculer! On en avait envie tous les trois, il faut l’avouer. Didier a eu la primeur, pendant que je m’occupais d’agrandir le trou de Michel, déjà bien élargi par le passage de ses doigts. On a sorti les tubes de lubrifiant et les capotes. Michel voulait voir son pote se faire mettre; c’était vraiment de vrais vicelards! Je l’ai enculé d’un coup de reins, mais j’avais de la place. Pour un hétéro, il devait se doigter ou se goder assez souvent le derrière, ou sa femme! Quelle salope! Didier a mis un préservatif sur sa queue, Jean-François s’est positionné à quatre pattes. Il n’arrêtait plus de gémir: “Fous-moi ta bite dans le cul, dépucèle-moi le cul, enfonce-moi ta bite à fond!”, tout en remuant le cul comme un damné. Didier l’a mis en beauté, ce petit hétéro de mes deux, bien enculé à fond. Michel matait son pote en train de se faire mettre par cette bête de Didier, et c’est vrai que le spectacle était impressionnant! L’autre chialait à moitié, de plaisir, de douleur peut-être aussi, mais c’était bon pour lui ! Didier a lâché son foutre très vite, il était bien trop excité. Il avait à peine déculé qu’on a entendu Jean-François déclarer qu’il voulait encore une autre queue, qu’il était une chienne, qu’il voulait qu’on le prenne les uns après les autres, et qu’on lui foute deux bites dans le cul !
Bertrand a pris la relève et l’a enculé assez sec. Il l’a voulue, il l’a eue! Mais il criait que c’était bon! Moi j’ai fini Michel pendant que Didier lui suçait le gland. Ce salaud n’en pouvait plus! Il faisait hyper-chaud, on transpirait tous, et les odeurs du sperme, du lubrifiant, des préservatifs... On se serait cru dans une orgie! On pensait que les deux hétéros en auraient assez après ça, mais Jean-François, après s’être fait mettre par Didier et par Bertrand, voulait encore une queue, et c’est moi qui me suis enfoncé en lui. Et c’est son copain hétéro qui est venu lui sucer la queue, sans l’ombre d’une hésitation! On ne les tenait plus ces types! Finalement, Didier a commencé à fesser Jean-François afin de calmer ses ardeurs, pendant que je m’enfonçais dans ses entrailles. Je dégoulinais de sueur. Quand Michel a cessé de sucer son copain, celui-ci a giclé sur le lit un sacré paquet de foutre. Bertrand a obligé Jean-François à s’aplatir sur le lit afin qu’il s’enduise de foutre plein le ventre. Je lui ai défoncé son trou de balle le plus violemment que j’ai pu. Pour un baptême, il était servi! Si on n’avait pas mis de préservatif, il aurait eu le cul noyé de foutre!
Je ne sais pas combien de temps ça aurait duré encore si on n’avait pas entendu les mamans et leurs mômes revenir. Là, d’un seul coup, ça les a refroidis, nos deux apprentis-pédés. On leur a proposé d’aller se doucher. Ils se sont précipités dans la salle de bains sans piper mot. Ils avaient des allures de mecs pas fiers, d’un seul coup. Nous, on était plutôt contents de se les être tapés! En fait ces deux amis s'étaient découverts grâce à nous et on imagine qu'ils ont poursuivi une liaison à l'insu de leurs femmes, de même qu'une vie heureuse de bisexuels assez libérés. Merci la vodka !
* retenez-moi ou je me fais enculer ! -lol-
ce récit date de 1999 dans gai-eros sous le titre "Les premiers à mouiller du cul"
voisinge archi sympa
à cinq, quelle orgie !
en suçant je sentais tous les coups de bite du copain et son précum coulait en moi, légèrement salé...jusqu' à ce que ça le fasse juter dans ma bouche. Pouvez-vous imaginer plus d'amitié ?
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commentairees : " moi je vois que quand les hétéros sont enfermés ensemble (prison, armée, internat...etc) ils sont aussi PD que les PD. Hein ? " Jeancule