Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

 tkt on reviendra te baiser 

 

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Une aubaine pour un vieux comme moi Violé par des chasseurs,

[Je m'appelle Emile, je suis un pacifique et] je n’aime pas la chasse, ces hommes qui tuent des animaux pour leur plaisir ne sont en général pas très intéressants à mon point de vue mais ça ne regarde que moi, il ne faut quand même pas généraliser, il y a certainement des exceptions. J’ai un terrain avec un petit bois à une dizaine de kilomètres du village où je vis , à flanc de colline et j’y vais souvent pour me détendre, personne n’y va habituellement il est assez isolé il y a sur ce terrain une petite cabane et une caravane avec une vue magnifique qui donne sur une petite vallée. C’est tellement calme et reposant que j’y vais le plus souvent en début de matinée pour avoir tout le temps de profiter de la journée ça me change aussi de l’air de la ville, je me libère l’esprit.
Un lundi matin, je passe au bar boire un café comme je le fais presque tous les jours, je dis bonjour à quelques connaissances qui se trouvaient à la terrasse sans prêter attention aux autres personnes qui se trouvaient là, je fais la bise à deux amis arabes[qui ont fait quelques travaux chez moi et, à cette occasion on a fraternisé] et après quelques mots échangés et mon café bu, je prends mon véhicule pour aller au terrain. J’étais seul ma femme étant partie pour la semaine avec une de mes filles, je savais que personne ne viendrait me voir où ne s’occuperait de savoir ce que je pourrais bien faire de la journée. Rares sont les personnes qui connaissent cet endroit, je n’en parle jamais.
Arrivé à destination Je me mis à l’aise, c'est-à-dire en short et torse nu, je n’aime pas trop être habillé surtout l’été avec la chaleur. [Des fois je me masturbe longuement en plein soleil ; c'est pas parce que je commence à être vieux que mes désirs sont éteints] Une fois tous mes préparatifs terminés et m’être bien installé, j’ai entendu un léger bruit de moteur et un bruit de voix pas très loin de moi mais sans y prêter trop d’attention, il arrive quelquefois que des randonneurs se perdent dans ce coin. Il y a aussi, quand c’est la période, des chasseurs.
Il ne me semblait pas que la chasse soit encore ouverte et bien que ce soit une propriété privée , mais sans clôture, les promeneurs peuvent traverser le terrain par un sentier.
J’allais me préparer un autre café quand trois hommes [en tenue kaki et coiffés de casquettes de chasse]m’abordèrent en me disant  alors, on est copain avec les arabes, tu as l’air de bien les aimer, ça doit être même plus que copain dit un autre, (il leur fait la bise ) les sarcasmes allèrent de plus belle. Le troisième en rajouta encore, c’est plus que copain je suis sûr, il va nous montrer ce qu’il fait avec eux, il doit au moins leur servir de femme, je suis sûr , ça ne peut pas être autre chose quand on embrasse quelqu’un c’est qu’on est très proche. Je les remis à leur place en leur disant qu’ils n’avaient rien à faire sur ce terrain et de bien vouloir passer leur chemin mais deux autres types que je n’avais pas vus arrivèrent , l’ un d’eux avait un fusil braqué dans ma direction, on va s’occuper de toi on va te faire ta fête et c’est pas tes copains arabes qui vont te défendre : ils ne sont pas là. Allez fous toi à poil plus vite que ça. Il n’était pas question que je me déshabille, je n’avais rien d’autre sur moi et ne portais pas de sous vêtement aussi voyant ma réaction et comprenant que je n’allais pas me laisser faire , quatre se saisirent de moi et eurent vite fait de m’arracher mon short, et je me retrouvai complètement nu devant eux. Seul contre cinq,et à poil c’était sûr que je ne pouvais pas résister et ne faisais pas le poids.
Voyant que je n’avais pas peur, ils m’attachèrent les mains et les pieds écartés entre deux arbres.Qu'est ce que tu dis de ça vieux con, qu’est ce que tu croyais, qu’on allait repartir? Nous n’aimons pas trop les mecs comme toi alors on va s’amuser un peu, nous défouler sur ton corps tu vas voir ce que des blancs peuvent faire et tu vas faire exactement tout ce que nous allons te demander , nous avons tout notre temps.
Un baillon sur la bouche et un sac de toile sur la tête, entièrement nu, ne sachant pas ce qui allait m’arriver je me retrouvais, me posant des questions,  à la merci de ces cinq énergumènes : qu’allaient ils bien pouvoir me faire, à part me sodomiser peut être.
Ils riaient tous de moi en passant leurs mains sur mon corps, me caressant le ventre, la poitrine, tirant sur mes poils ,pincant le bout de mes seins, me touchant et écartant mes fesses, quel cul il a, on n’aurait pas pensé qu’il pouvait avoir un cul pareil sous son short trop grand. Et à cet âge là!  Quelques petites claques sur les fesses et le traitement appliqué à mes seins me firent de l’effet , aussitôt je me mis à bander. "En plus il aime ça, je sens qu’on va bien s’amuser, oui on va lui en mettre plein le cul."
L’un d’eux se mit à genoux derrière mes fesses,les écarta pour cracher bien au milieu sur mon trou faisant entrer la salive avec ses doigts, un puis deux, et les réflexions suivirent : "il se dilate vite, il doit avoir l’habitude de se faire mettre par ses copains, les arabes ça doit avoir de grosses bites bien dures et ils doivent lui en mettre plein le cul à cette salope".

 "Et moi de penser : quelle aubaine, voilà bien longtemps que ça ne m'est pas arrivé de me faire baiser !"

-"Nous, nous ne sommes pas arabes mais on a aussi de grosses bites que tu vas sentir et prendre bien profond dans ton trou. Je te mets déjà trois doigts facilement et quand nous serons passés tous les cinq sur toi tu auras le trou tellement large qu’on pourra y mettre la main."
Avec du lubrifiant ça glissera mieux et il se dilatera un peu plus,tiens mets lui ça , j’aimerais bien le baiser en même temps que toi, deux queues dans le même trou ça doit être super excitant.J’avais déjà une bite dans le cul mais c’était pas très excitant pour eux qui devaient attendre chacun leur tour pour me baiser [pas de danger que je m'échappe mais] ils décidèrent de me détacher et de m’attacher à plat ventre sur la table entre la caravane et la cabane ce qui leur permettait de pouvoir se faire sucer pendant qu’un autre s’occupait de mon trou.
Ce fut littéralement une orgie, ils se succédaient les uns après les autres qui dans ma bouche à se faire sucer m’étouffant presque c’est vrai qu’ils étaient bien membrés, enfonçant en moi leur bite énorme, leur bas ventre venant frapper contre mes fesses en poussant des cris de bûcheron : han ! han !
Si pour eux c’était un viol à ce qu’ils pensaient pour me punir de mes soi-disant mauvaises fréquentations, pour moi c’en était tout autrement et maintenant ç'était du plaisir, j’entrais dans leur jeu leur faisant croire par mes cris que je souffrais terriblement. -"Crie salope ça nous excite tu cries autant quand tes copains te baisent ?"
Ils me passèrent dessus tous les cinq et certains plusieurs fois[j'admirais leur performance et en profitais], eux se réjouissant de m’humilier à cinquante ans passés
Leurs sodomies étaient brutales, mais je supportais très bien cette situation, j’avais l’anus élargi et tellement ouvert que celui qui dirigeait cette bande de rustres remonta le sperme qui me coulait sur les cuisses pour le faire rentrer dans mon anus qui s’ouvrit sous ses doigts faisant presque pénétrer sa main à l’intérieur : -" putain qu’il y a de la place , quelle ouverture, il faut que je l’enfonce complètement cette main et elle va rentrer. Regardez , elle y est putain que c’est excitant, j’aurais jamais pensé faire ça à un mec !" et plusieurs essayèrent, l’un d’eux alla même à mettre sa main et sa queue en même temps, me dilatant davantage.
Au bout d’une heure ils me détachèrent pour me coucher sur le dos sur la table puis se masturbèrent sur moi surtout sur mon visage.
- "Nous reviendrons pour l’ouverture de la chasse pour un jeu de rôle , tu seras notre gibier, ce sera toi que nous chasserons et nous espérons bien que tu seras là. Tu passes au bar si ça te dit, tu peux dire à tes camarades de venir se joindre à nous. Tu nous ouvriras ta caravane et ta cabane, nous nous chargerons du reste. Avec ce que tu viens de subir, nous sommes certains que tu peux faire mieux !"
Je bandais tellement fort qu’il leur prit l’idée de vouloir me faire jouir pour prouver que j'étais pédé et il m’ont sucé, masturbé et enfoncé une bouteille de bière dans le cul.
J’en ai joui tellement fort que mon sperme n’a jamais giclé aussi loin, je suis prêt à recommencer dès leur retour. Merci à ces chasseurs, j’en ai maintenant une toute autre vision.
Ah Lex



 

 

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elvaroncitopr: “Lengua en el boquete. ”                                                            

 

 

         

 

 

 

 

d  

si nos femmes savaient....

 

 

 

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Jeu 17 nov 2016 Aucun commentaire