Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

il m'a jeté mis sur le lit j'ai même pas pu voir s'il bandait assez, s'il l'avait grosse... 

ses baisers écrasaient mes lèvres...doucement...

j'ai glissé ma main entre nos ventres pour savoir

dure ? elle était dure c'est ce que j'ai d'abord senti

grosse ? maman !!! elle était grosse....et dure comme la pierre

j'y étais, je lui ai donné ce qu'il voulait

il a eu un petit grognement (d'ours ? ) quand j'ai positionné sa grosse bertha sur mon anneau

il me regardait attentivement entrait dans mon regard comme il entrait dans mon ventre et surveillait les réactions du professionnel du sexe que je suis ; l'aventure était lancée : -"làhhh, mon petit, c'est parti !"

 

 

et il y a eu ce moment où il me faisait tellement de bien que je voulais lui faie sentir

ce geste a déclenché le deuxième étage de sa fusée(mentale) : il m'enveloppait, me chérissait, me couvrait de son corps et de ses baisers ; je me sentais protégé et je pouvais tout donner

 je n'avais pas assez de mes deux mains pour sentir toute la douceur de sa peau

étais-je assez profond pour l'accueillir ? la réponse n'avait pas tardé : il me nourrissait de sa chair, je sentais que ça touchait le dessous de mon estomac ; je donnais il prenait tout 

dans ma tête une phrase tournait en permanence dans mes baisers : "oh, sois béni"

je n'avais pas besoin de l'aider à jouir, je voulais que ce moment n'ait pas de fin ...j'étais payé, et bien ! mais

j'avais l'impression que c'était moi celui qui devait quelque chose, dans une monnaie qui se donne et se reçoit sans compter :

l'affection 

Eric est comme un père pour moi...d'habitude ce sont les aînés qui adoptent...j'aimerais bien l'avoir comme papa 

joan

Jeu 10 nov 2016 Aucun commentaire