Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
quand j'ai commencé sur le web, vers 2000, j'utilisais des moteurs de recherche divers et variés, Altavista...etc. Aujourd'hui je n'utilise plus que Google car ce dernier les a patiemment tués. En bas de cette page vous trouvez les dates de vie et mort de ces moteurs de recherche
La campagne pour « dégoogliser » le web se poursuit avec Framasoft, qui lance cette semaine 6 nouveaux services pour se passer de Google, Facebook, Microsoft ou encore Apple.
La « dégooglisation » du net est-elle possible ? Avec son immense galaxie de services et de produits, il peut sembler très difficile d’échapper à l’écosystème de la firme de Mountain View, d’autant que ce qu’elle propose s’avère performant, clair et simple à prendre en main. Mais cette situation n’effraie pas du tout l’association Framasoft, spécialisée dans la promotion du logiciel libre, qui vient de lancer la troisième phase de sa stratégie anti-Google.
Rappel des faits. En 2014, Framasoft lance une campagne de dégooglisation du net avec le souci de fournir des alternatives à la logithèque de Google qui soient libres, éthiques, décentralisées et solidaires. Afin de bien faire comprendre son propos, l’association a repris la célèbre figure du Gaulois (ici, le libriste français) assiégé par des Romains (incarnés par des services fermés, centralisés, curieux, irrespectueux de la vie privée, en général venant des États-Unis).
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Deux ans après le début de la campagne, une troisième phase vient de commencer Une phase qui s’accompagne du lancement de six nouveaux services qui rejoignent la liste de plus en plus étoffée d’applications et de services que propose l’association. Ces services seront disponibles au cours de la semaine avec un lancement par jour jusqu’à vendredi. Voici la liste :
Si la campagne de Framasoft cible surtout Google parce que la firme de Mountain View est tout bonnement tentaculaire sur le web, l’association a en réalité dans le collimateur bien d’autres sociétés. De Pastebin à Facebook, de Twitter à Slack, en passant par Change et Evernote, sans oublier Pocket et GitHub, les Gaulois libristes ont de nombreux adversaires à faire tomber mais ils ne manquent pas de courage pour aller au combat.
Moteurs de recherche disparus
Les moteurs de recherche ayant cessé leur activité ou n'offrant plus leurs fonctionnalités de recherche d'origine.
•Voir aussi :
L'actualité des moteurs de recherche...
Sélection de Moteurs de recherche •Moteurs francophones Lokace
Ce moteur francophone créé en 1995, a cessé son activité à la fin de l'année 2001. Depuis le 27 décembre 2001, les adresses Lokace.fr et Lokace.com redirigent vers l'annuaire Nomade.fr. En effet, Infonie, propriétaire de Lokace a été intégré le 23 novembre 2001 au groupe italien très vorace Tiscali, nouveau propriétaire de Nomade depuis la rentrée... Lokace utilisait la technologie Antisearch Ecila
Ecila, le premier moteur francophone (créé en 1995) a disparu du PIF (Paysage Internet Francophone) en octobre 2001. Excite.fr
A cessé son activité en décembre 2001. Excite.fr renaît en avril 2003 mais avec le moteur Alltheweb de FAST. •Moteurs anglophones iLOR
Apparu en avril 2001, iLOR, était un service de recherche proposant une palette d'outils pour naviguer parmi les résultats issus des technologies AskJeeves/Teoma. L'outil de la société iLOR basée au Kentucky, était donc un "arrangeur" de résultats" plus qu'un moteur de recherche.
Cet outil offrait des fonctionnalités sympathiques :
Les résultats sont classés par popularité et un passage de la souris sur le lien d'un résultat affiche le menu pop-up contextuel Hydralinks. Ce menu offre 4 options : "Put on my list" : ajout du site dans une liste de favoris, "Go now, anchor here." : sauvegarde des résultats d'une requête dans une fenêtre annexe, "Open in background." : ouvre le site dans une petite fenêtre qui reste en arrière plan du navigateur (jusqu'à 7 fenêtres possibles), "Open in new window." : ouverture du site dans une nouvelle fenêtre au premier plan.
Jusqu'en février 2002, iLOR proposait les résultats de Google dans ses pages avant de proposer ceux de Teoma.
iLor appartient à la firme Ask Jeeves qui a racheté Teoma au mois de septembre 2001. iLOR est l'abréviation d'internet Lore, la connaissance issue de l'éducation et de l'expérience... Magellan
Intégré au groupe Excite en 1998, Magellan (McKinley.group Inc)a définivement disparu du paysage internet en avril 2001. Webtop
Webtop avait été lancé fin 99 par la société Dialog. Il a cessé son actvité en novembre 2001. Excite.com
Excite a été racheté en décembre 2001 par Infospace (propriétaire entre autres de Webcrawler et Dogpile). Depuis cette date, Excite n'a plus de base propre mais présente les résultats d'Overture et utilise l'index de l'ODP pour l'annuaire. Northern Light
est devenu payant et donc destiné à unpublic professionnel depuis le 16 janvier 2002
Moteur pionnier créé en 1996. Northern Light avait initié la méthode des "related topics" pour organiser les résultats : des petits dossiers qui regroupent les résultats par thèmes et donc les différents domaines inhérents à la requête.
Les internautes peuvent encore accéder librement aux dossiers "special edition" :
La recherche dans la bibliothèque de 16 millions d'articles issus de 7000 journaux et magazines Infoseek
Ce moteur a cessé son activité en mars 2001. Il faisait partie du network Go.com (groupe Disney) depuis juillet 1999. Mais le portail Go.com est abandonné à son tour en février 2002 pour devenir Overture. Créé en février 1995, Infoseek était l'un des plus anciens moteurs de recherche et a été pendant longtemps l'un des sites les plus visités.
DirectHit
Ce moteur a été désactivé le 2 avril 2002. AskJeeves avait racheté le moteur début 2000 mais l'a délaissé au profit du développement de Teoma.
DirectHit continuera à fournir pendant un certain temps la plupart des résultats de HotBot, de Msn.search et de portails comme About.com et AT&T.
