Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

quel odieux profil de pédé je dois avoir,moi,  dans le BIG DATA  sur le net ! Le net est discriminant avec bonheur quelquefois et on s'étonne que des gens qui n'ont pas pu connaître le net soient "enregistrés" comme si...  

Celui dont je vais vous parler est mort il y a longtemps. C'est un gay. On peut aimer un mort....physiquement....beurk avez-vous dit ? eh ben c'est vous qui êtes affreux --lol-

Sviatoslav Richter(1915-1997),                                

talent, génie                               Le pianiste russe Sviatoslav Richter (1915-1997),comme Vladimir Horowitz, était un  homosexuel qui a conservé toute sa vie un compagnon. On ne dispose pas de son nom et on ne sait pas s'il ny en a eu qu'un. Comme il était originaire de Russie et  soutenu par l'URSS dont il était un ambassadeur culturel en quelque sorte, il ne pouvait pas se découvrir c'est ce qui explique que ses biographies sont muettes sur son homosexualité. Quand j'étais à l'université pour mes études de piano, des rumeurs rampantes circulaient à son sujet, de même que pour Horowitz et Shura Cherkassky, un autre géant du clavier       Alors que peu de détails de sa vie personnelle émergent, nous disposons d'un héritage musical imposant, en particulier à travers des enregistrements et des                                   performances enregistrées sur bande vidéo. La plupart des critiques conviennent que Richter a été l'un des plus grands pianistes de tous les temps.   Vous auriez succombé à sa
                                 
beauté masculine                                  Richter,, incroyablement bien fait de sa personne était habité par quelques "démons". Par exemple celui de vivre retiré et de se refuser aux interviews. Souvent il exigeait de jouer dans des salles parfaitement obscures avec une simple ampoulepour l'éclairer ! (était-ce pour oublier le public ???). Il avait toujours avec lui un fétiche, un homard en plastique c'était -dit-on- pour supporter les exigences et les attentes irréalistes du public. Il jouait tout, de Bach à Gershwin et ses interprétations demeurent des chefs-d'oeuvre inimitables. De son vivant Serge Prokofiev lui a écrit et dédié sa sonate N°7. Son répertoire et ses récitals ont des programmes d'un très large éventail d'oeuvres.  Mais, assez parlé ! écoutons sa musique ! 

                              passion      

 

 

 

 

 

Sam 1 oct 2016 Aucun commentaire