Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

c’est quand le garçon enfonce sa pissette dans la pissette de la fille. » Je pensai.que ça  n’offrait aucun intérêt. Sérioja et Boria me dirent : « Victor, viens avec nous foutre Zoé. »

les enfant ont accès à la sexualité malgré les interdits des adultes mais il y a un "sort" des événements sexuels de l'enfance. Au delà, chacun sa vie.

Réaction révélatrice : Serge me montre le dessin d'un homme à l'énorme pénis avec cette inscription : « Monsieur de la pine pointue» et il me dit  «Tous les garçons savent ça....c’est quand le garçon enfonce sa pissette dans la pissette de la fille.» Je pensai.ça n’offrait aucun intérêt. Origine du document, anonyme, Confession sexuelle d’un Russe du Sud 1926

lecture gratuite : http://www.youscribe.com/catalogue/livres/litterature/litterature-erotique/confession-sexuelle-d-un-russe-du-sud-251399 

    Une réaction révélatrice ?  mais comment l'interpréter ?   

À l’âge de sept ans je savais déjà comment étaient faites les fillettes, ayant observé la conformation de mes sœurs, mais cela ne m’intéressait nullement. Ici se place un épisode dont j’ai gardé un souvenir très net, bien qu’il ne m’ait pas du tout impressionné sexuellement. J’avais entre sept et huit ans.

Nous passions l’été dans une villa au bord de la mer Noire, dans une ville du Caucase. Nous avions pour voisins la famille d’un général dont les trois fils (six, neuf et dix ans) venaient souvent jouer avec moi dans l’immense jardin qui entourait nos maisons de campagne. Je me souviens qu’un jour j’étais seul avec le garçonnet de neuf ans, Sérioja (diminutif de Serge), auprès d’un mur sur lequel était dessiné au charbon un homme avec un énorme pénis et cette inscription : « Monsieur de la p… pointue. » Je ne sais plus de quoi nous causions ; Sérioja me dit tout à coup : « Est-ce que tu fous tes sœurs ? (Il employa un équivalent russe de ce terme, tout aussi grossier ou même davantage.) — Je ne comprends pas ce que tu veux dire, lui répondis-je ; je ne connais pas cela. — Comment, tu ne sais pas ce que veut dire le mot foutre ? Mais tous les garçons savent cela. » Je lui demandai l’explication de ce mystère : « Foutre, me dit-il, c’est quand le garçon enfonce sa pissette dans la pissette de la fille. » Je pensai, à part moi, que la chose n’avait pas le sens commun et n’offrait aucun intérêt, mais, par politesse, je ne dis rien et me mis à parler d’autre chose. Je ne pensais plus à cette conversation qui avait été une déception pour ma curiosité, mais quelques jours après, voilà que Sérioja et Boria (Boris), l’aîné des trois frères, me dirent : « Victor, viens avec nous foutre Zoé. » Zoé était une jeune Grecque de douze ans, fille du jardinier du général. Ayant déjà appris la signification du mot foutre et m’intéressant d’autant moins à un acte qui me paraissait absurde, je déclinai d’abord l’invitation ; mais on insista : « Viens donc imbécile ! Tu verras comme c’est bon ! » Ayant eu toujours par tempérament peur de désobliger quelqu’un, toujours poli jusqu’à la pusillanimité, je suivis les deux garnements auxquels vinrent se joindre leur petit frère Kolia (Nicolas), la Zoé en question, un jeune Juif de huit ou neuf ans qui s’appelait, je m’en souviens, Micha (Michel), et un garçon russe d’une dizaine d’années, Vania (Ivan).

Nous pénétrâmes dans les profondeurs du jardin. Là, dans un bosquet retiré, les garçons sortirent leurs pénis du pantalon et se mirent à jouer avec. Je me souviens de l’aspect qu’avaient ces organes, et je comprends maintenant qu’ils étaient en érection. Zoé les maniait avec ses doigts, introduisait des brins d’herbe entre le prépuce et le gland et dans l’urètre. Elle voulut me le faire à moi aussi, mais cela me fit mal et je protestai. Puis elle se coucha sur l’herbe en retroussant son jupon, en écartant ses cuisses et montrant ses parties sexuelles. Elle écarta les grandes lèvres avec les doigts et je fus étonné de voir que la vulve était rouge à l’intérieur. Car, si j’avais déjà vu les parties génitales de mes sœurs, je n’avais jamais vu la vulve entrouverte. Cela me fit une impression désagréable. Alors les garçons se couchèrent, l’un après l’autre, sur le ventre de Zoé en appliquant leur pénis sur la vulve. Comme la chose continuait à ne pas m’intéresser, je n’ai pas essayé de me rendre compte s’il y avait eu une immissio penis (intromission) ou si le contact était superficiel. Je voyais seulement les garçons et la fillette s’agiter beaucoup, l’une dessous, les autres dessus, et chaque garçon continuer, à mon grand étonnement, cet exercice pendant assez longtemps. Le petit Kolia fit comme les autres. Vint mon tour. Toujours par politesse pour la compagnie, je mis mon pénis sur la vulve de la petite Grecque, mais celle-ci ne fut pas contente de moi, me traita d’imbécile et de "vieux rossinante (kliatcha)", dit que je ne savais pas faire, que ma pissette était comme un chiffon. Elle essaya de m’apprendre à mieux faire, mais n’y réussit pas et répéta que j’étais un imbécile. J’étais très blessé dans ma dignité, surtout de la qualification de « vieille rosse », d’autant plus que j’avais conscience de faire une chose si absurde et si insipide par pure courtoisie pour la compagnie et sans m’y intéresser le moins du monde. Du reste, je n’avais pas le moindre soupçon que tout cela pût être considéré comme honteux ou immoral. Aussi, de retour à la maison, je racontai à ma mère devant tous et le plus tranquillement, le plus ingénument du monde (ce n’était nullement une délation, puisque je ne savais pas que « foutre » une fillette fût répréhensible) à quoi nous nous étions amusés. Épouvante générale, terrible scandale. Mon père va voir le général pour l’avertir du danger moral auquel ses enfants ont été exposés, sans doute par la fréquentation de quelques petits mauvais sujets, comme cette Zoé, ce Micha, ce Vania, tous enfants de familles grossières ; mais le général devient furieux à l’idée qu’on ait pu supposer ses enfants (pensez donc, les enfants d’un général !) capables de faire des choses sales, il affirme que j’en ai menti, il dit des injures à mon père qui lui répond avec virulence ; la brouille entre les deux familles voisines est complète. Tel fut mon premier contact avec les choses sexuelles, contact qui, du reste, ne me salit nullement, car je n’ai rien compris à ce que j’avais vu et n’ai pas ressenti l’ombre d’une émotion génésique sexuelle. C’est comme si j’avais vu les enfants se frotter le nez les uns aux autres.

Je me souviens que, quelque temps après cet incident, et de retour à Kiev, ma tante, venant d’arriver de la campagne, causait avec ma mère sans savoir que je les entendais. Elle disait avoir découvert qu’Olga qui, à la campagne, dormait sur la terrasse à cause des chaleurs estivales, avait été continuellement visitée la nuit par un garçon de douze ans, le fils du cocher, qui s’introduisait dans son lit « pour lui faire des saletés ». Après le scandale de l'été, je compris de quelles « saletés » il s’agissait. Et ma mère de dire à ma tante : « Ah je comprends maintenant pourquoi Olga est arrivée ici si jaune et avec des bleus sous les yeux. » J’en conclus que faire des « saletés » était nuisible à la santé.    -lol-

Son indifférence à la sexualité et aux filles ne fera pas de lui un homosexuel. Il découvre la sexualité très tôt et progressivement. En fait victor deviendra "esclave" du sexe et cela détruira sa vie personnelle.

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  Dans le Meilleur Des Mondes*(1), fiction devenue en grande partie réalité,  paru dès 1932, Aldous Huxley évoque une sexualité des enfants pas mal "aménagée" dans son roman où on naît dans une éprouvette et on(le foetus) est traité chimiquement pour admettre par avance les règles de la société, pour l'instant bien différente de la nôtre-lol-, ça va de soi...

Cette société rend tabou le sujet de l'accouchement : l'allusion à la maternité, à la famille ou encore au mariage font rougir de honte aussi bien les jeunes que les adultes. La sexualité y apparaît comme un simple loisir : chaque individu possède simultanément plusieurs partenaires sexuels (entre deux et six par semaine), et la durée de chaque relation est extrêmement limitée (quelques semaines en tout seulement). 

  Qui aurait cru dans les années 1930 que le monde décrit dans ce bouquin existerait un jour ?
Cette société aseptisée où ce qui n'est pas " beau à voir " est caché, où un produit chimique provoque " l'évasion " et le " bien-être " du corps, où les êtres sont " fabriqués " pour entrer dans le moule d'une classe sociale.
Pourquoi se cacher les yeux ? Ces choses atroces peuvent se passer très vite si nous, les petits humains, ne sommes pas vigilants.
Ce livre " plus tout jeune " est d'une actualité plutôt flagrante 

lecture gratuite : http://www.oasisfle.com/ebook_oasisfle/Huxley,%20Aldous%20-%20Le%20Meilleur%20Des%20Mondes.pdf 

 

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Jeu 22 sep 2016 Aucun commentaire