Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

  • Les belles vacances, un récit gay incestueux de Stefan
Stefan  a envoyé ce dialogue  incestueux  bandant à publier  pendant les vacances d'été.

 
À la plage.

  • T'es toute seule, Véro ?


Véronique, qui dessinait d'un doigt distrait sur le sable auprès d'elle des ronds, des carrés, des... riens qu'elle effaçait rêveusement, sursauta à la question de son amie Françoise dont elle n'avait pas entendu l'approche.

  • Oui. Vincent est resté à l'hôtel. Pour attendre que Léo se réveille de sa sieste.
  • Ben dis donc, t'en as de la chance, toi...
  • Tu trouves ?
  • Oui, c'est pas Paul qui s'occuperait comme ça du petit. Tiens, regarde-moi ça : Paul, si tu pouvais lever un instant les yeux de ton journal, tu verrais que le gamin va encore où il n'a pas pied. Tu attends quoi, qu'il se noie ?
  • Sans doute... j'ai de la chance, oui. Il s'occupe bien de Léo.
  •  T'as toujours eu de la chance, de toute façon, Véro. Rappelle-toi, déjà à la Fac' on était toutes jalouses de toi !
  • Ah bon ? Pourquoi ?
  • C'est ça, fais l'innocente... ! Vincent, c'est plutôt un canon, hein... on le voulait toutes.
  • Oh tu sais... avec Vincent, c'est plus ce que c'était.
  • Qu'est-ce que tu veux dire, Véro ?
  • Je ne sais pas... depuis quelques temps déjà, il ne s'intéresse plus guère à moi.
  • Ah bon ?
  • Non. Il.... il ne se passe plus rien entre nous. Enfin, tu vois ce que je veux dire.
  • Tu crois que... ?
  • Non, non... Je suis sûre qu'il n'y a pas d'autre femme. Tu sais que Vincent, avec son boulot d'expert-comptable, travaille à la maison et tout le temps qu'il ne passe pas à bosser, il le consacre à Léo. Il va le chercher à l'école, le conduire à l'école, il l'emmène au sport, à la piscine, il joue avec lui... 

 

 


À l'hôtel.

  • Papa...


Le soleil qui filtrait à travers les volets clos dessinait des rayures en diagonale sur le corps parfait, nu, couleur pain d'épice de l'adolescent. Contre l'avis de sa mère et malgré nombre de regards courroucés autour d'eux, Vincent insistait pour que le garçon ne portât jamais de slip de bain sur la plage. Léo arborait donc un superbe bronzage sur l'entièreté de sa peau lisse, douce, sans défaut.

Étendu sur le dos en travers du grand lit dont le désordre témoignait de l'activité fébrile qui s'y déroulait depuis de longues minutes, les mains crispées sur les draps, les doigts de pied recroquevillés, presque tétanisés, Léo, les yeux fermés mais la bouche largement ouverte, cherchait désespérément son souffle, suffoqué de plaisir. Penché sur lui, le couvrant presque entièrement, son corps d'athlète également nu et bronzé quoique montrant la trace de son slip de bain, son père enserrait étroitement de ses lèvres épaisses le jeune sexe et les testicules de Léo. Les lèvres collées au pubis de l'adolescent, il caressait de sa langue chaude et mouillée la jeune virilité de Léo, suçant avidement, avec gourmandise.

  • Papa, ça vient encore...


Léo, la tête roulant de droite et de gauche au creux du lit, délirait de plaisir. Par deux fois déjà depuis qu'il s'était éveillé de sa sieste, son père l'avait amené avec sa bouche à un orgasme sec, violent, dévastateur et sa jouissance juvénile l'avait emporté comme une feuille morte dans la tornade. Cela allait venir encore, il le sentait. Bientôt. Maintenant.

Vincent n'interrompit les caresses de sa langue qu'un instant, le temps de murmurer dans un souffle

  • Viens... chéri...


Il referma aussitôt étroitement les lèvres sur le jeune membre dressé de Léo. Le garçon cambra les reins, se soulevant du lit, les bras et les jambes battant l'air, cherchant en vain un appui. Les yeux écarquillés, une expression de stupeur sur le visage, Léo semblait manquer d'air. Vincent sentit le garçon vibrer et se tendre sous lui, murmurant des mots sans suite. Pour la troisième fois, il avait fait jouir son fils avec sa bouche. Sans même se toucher, sans laisser échapper le jeune sexe d'entre ses lèvres, il éjacula puissamment sur le ventre doux et tiède, offert à son plaisir, de Léo.

De longues traînées de sperme épais dont la blancheur laiteuse contrastait avec la peau brune du garçon, barraient l'estomac, le bas-ventre, le torse de l'adolescent. Son père les léchait doucement, soigneusement l'une après l'autre, nettoyant tendrement l'enfant de sa langue comme un animal l'aurait fait à son petit. Son plaisir avait été, comme à chaque fois, intense, complet. Il était toujours en érection, cependant.

Léo, épuisé de plaisir, émergeait de sa torpeur et, redressant la tête, contemplait avec amusement son père occupé à présent à lécher une longue salve de sperme qui avait coulé lentement de son ventre, s'insinuant dans l'aine pour s'engager entre ses fesses qu'il offrait à la langue de son père, les cuisses écartées. C'est sans doute la langue paternelle ainsi à l'ouvrage qui donna au garçon une idée.

  • Papa, quand on sera sur la plage, je pourrai avoir une glace... ?


La vision de la langue de Léo habile à lécher la crème glacée qui coulait si vite sous le soleil s'imposa immédiatement à l'esprit de Vincent et celui-ci considéra un instant la possibilité de jouir à nouveau du garçon, mais il était tard déjà, Véro allait se poser des questions.


À la plage.

  • T'es tout seul, Vincent ?


La plage, à cette heure matinale, était encore quasi déserte et Vincent dont la grande et forte main caressait le dos, les fesses, les cuisses de Léo allongé nu comme à l'accoutumée près de lui, avait eu tout le temps de voir son ami Paul se diriger vers eux, depuis les dunes qui séparaient la plage de l'hôtel. À regret, il avait retiré sa main dont le majeur parcourait tout le long de la raie moite de Léo, faisant respirer plus fort, plus vite son fils.

  • Oui, tu sais comment est Véro... elle n'aime pas venir à la plage le matin.
  • Ah les bonnes femmes...
  • À qui le dis-tu.
  • Bon, moi je vais courir le long de la plage. Tu viens aussi, vieux ?
  • Non Paul, je ne crois pas. Je vais rester ici. Avec Léo.
  • On est bien, là... ronronna Léo.
  • Comme vous voudrez... à plus tard ?
  • C'est ça, Paul... à plus tard.


Paul jeta un bref coup d'œil au garçon allongé nu près de son père et qui offrait sans vergogne aux regards sa croupe rebondie. Il ajusta son membre dans son short de lycra d'un geste rapide et partit au petit trot. Il n'était pas encore hors de vue que Vincent, soulevant son bassin, faisait glisser son slip de bain. Son érection était déjà complète : Paul n'avait pas pu ne pas s'en apercevoir. Son sexe énorme, dressé, palpitait et le gland laissait déjà s'échapper un filet ténu encore mais régulier de liquide clair. Allongé sur le dos, en appui sur ses coudes, il écarta ses cuisses puissantes, épaisses. Comme à chaque fois qu'il s'exposait ainsi, violemment excité, il envia son fils de pouvoir aller encore nu sur la plage aux yeux de tous. Et Véro qui voulait toujours dissimuler pareille splendeur... C'était si bon de voir les regards surpris, courroucés ou concupiscents des hommes sur le corps nu, splendide du garçon déjà un peu grand pour être ainsi exhibé en public. Léo se redressa aussitôt, un large sourire sur son visage.

  • Viens voir Papa, chéri...
  • On va le faire ici Papa ... ? Encore ?
  • On ne l'a fait qu'un tout petit peu ce matin, mon Léo... sous la douche. Ta mère pouvait venir à tout moment. Viens là, mon amour, assieds-toi entre les cuisses de Papa.
  • Comme ça ?
  • Oui mon Léo... regarde comme Papa a envie !
  • Oh Papa...
  • Tu as vu comme elle est grosse ? Et dure ... ?
  • Ça coule, Papa... déjà.
  • Ça va venir plus, mon Léo... beaucoup plus... Viens chéri... c'est ça.
  • Comme ça, Papa ?
  • C'est bien... c'est ça Léo... comme Papa t'a montré. Oh c'est bon, c'est tellement bon...
  • Moi aussi, j'aime ça Papa...
  • Mon amour... tu es si beau... tu fais du bien à Papa, tu sais.... Beaucoup de bien !
  • C'est tout mouillé... ça coule sur mes doigts, Papa...
  • Léo... chéri... continue, ne t'arrête pas... pas maintenant...
  • Papa...
  • Approche-toi chéri... ça va venir... beaucoup... très fort. Approche-toi... ouvre la bouche... ouvre grand, mon Léo !
  • Je t'aime, Papa...
  • Je t'aime aussi chéri... oh c'est bien, comme ça... c'est ça, oui, c'est ça... Regarde Papa, Léo... regarde Papa... maintenant !


Au bas de la plage, en lisière des vagues, des joggers courraient, certains au petit trot, d'autres d'une foulée plus olympique. Des promeneurs, déjà, allaient et venaient, accompagnés d'enfants, de chiens. Plus loin au large, quelques véliplanchistes musclés, moulés dans leur combinaison, se démenaient sur la crête des vagues. Au-dessus d'eux, dans les dunes et aux confins de sa perception du monde environnant, des cris d'enfants, les conversations de leurs parents parvenaient à peine jusqu'à Vincent. Il n'en avait que faire. Les yeux plantés dans ceux de son fils dont les lèvres distendues s'efforçaient d'accepter l'intégralité du gland énorme de son père, Vincent éjaculait dans la bouche de Léo. Le garçon, vaillamment, s'efforçait d'avaler autant qu'il le pouvait des jets copieux, épais qui lui emplissaient la bouche. Le trop plein s'écoulait sur son menton, maculant sa poitrine, couvrant ses doigts tandis qu'il maintenait à deux mains le membre palpitant devant son visage, comme il l'eut fait d'une lance d'arrosage qui le désaltérait.

Vincent se redressa sur un coude et, plaçant tendrement une de ses mains derrière la tête de l'adolescent, il attira doucement mais fermement son fils à lui, forçant le passage des lèvres, engageant le gland entier dans la jeune bouche. Léo eut un hoquet mais ne se déroba pas. Ainsi reçu dans sa bouche, Vincent acheva de jouir en Léo, couvrant sa langue de semence paternelle, inondant sa gorge presque intouchée encore. Pareillement accroupi entre ses cuisses, appliqué à satisfaire son père sous le soleil plus fort à présent, nu, lisse et bronzé, Léo était splendide, vivante allégorie de l'amour filial.


À l'hôtel.

  • Tu es tout seul, Vincent ?


Vincent, qui ne l'avait pas vue dans le hall de l'hôtel, se serait bien passé de tomber sur Françoise alors que, son bras passé autour des épaules de Léo, ils s'apprêtaient tous deux à partir pour la plage. Il serra plus étroitement le garçon contre lui. Léo, aussitôt, noua les bras autour du cou puissant de son père et lova sa tête au creux de son épaule, ronronnant comme un chaton. Autour d'eux, des clients de l'hôtel se détournaient pour contempler la scène, attendris et souriants. C'est si beau, un père et son fils qui s'aime comme ça.

  • Oui. Véro est rentrée à Paris hier soir.
  • Ah bon, mais...
  • Tu sais comment elle est. La plage, c'est pas son truc.
  • Ah. Ah bon.
  • Elle nous téléphonera.
  • Oui, je suppose. Elle t'a laissé Léo, je vois ?
  • Pas de raison de priver le gamin du reste des vacances. Véro n'est pas comme ça.
  • Mais... tu vas pouvoir t'en occuper seul ? Si tu veux, je...
  • Ça va aller, Françoise. Merci beaucoup.
  • Tu dois être triste, Léo, que ta maman soit partie ?
  • Non.
  • Non ? Ah bon.
  • On a pris une douche avec Papa, ce matin. Maintenant on va à la plage et cet après-midi, on fera la sieste.


Vincent s'éloigna, laissant Françoise seule et interdite, plantée dans le hall de l'hôtel. Aussitôt et malgré l'heure matinale, le garçon se précipita vers un marchand ambulant, réclamant une glace.

  • Une très grosse, Papa. Avec deux boules.


Léo par la main léchant avec gourmandise la crème fondante qui déjà dégoulinait sur ses doigts, Vincent sentit son membre raide mouiller son short.

  • Tu fais lécher à Papa ?


Souriant à son père qui se penchait vers lui, le garçon ne tendit pas la glace pourtant, mais ses doigts maculés de crème, que Vincent suça soigneusement, l'un après l'autre, une main après l'autre. Profitant de ce qu'il était penché sur le garçon et bien qu'ils fussent encore en vue de l'hôtel, Vincent débarrassa prestement Léo de son slip de bain, retrouvant son fils tel qu'il l'aimait, superbe, nu, offert aux regards de tous et disponible à ses caresses. Une main sous les fesses de Léo, ils reprirent leur chemin et bientôt, leurs langues se touchaient alors qu'ils partageaient la crème glacée en riant aux éclats.

Il restait encore deux semaines de vacances.

 

 

 

 

 

 

Jeu 11 aoû 2016 Aucun commentaire