Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

 

    Lubitz comme si son image démesurément grandie dans les airs affichait sa satisfaction devant le lieu du crash (fake : ce n'est pas la montagne de Gap)

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An Airbus plane of German airline Lufthansa (top) and a plane of the company's Germanwings subsidiary are pictured at the Duesseldorf airport on March 26, 2015 in Duesseldorf, western Germany. Lufthansa is taking relatives of the plane crash victims to the site where the Airbus A320 of its Germanwings subsidiary crashed in Southern France en route from Barcelona to Duesseldorf on March 24, 2015, killing all 150 people on board. AFP PHOTO / PATRIK STOLLARZ

La presse : " 

Des proches des victimes du crash de l' avion de Germanwings, en mars 2015 en France, vont porter plainte contre l’école de pilotage aux Etats-Unis de Lufthansa qui a formé le responsable du drame, a-t-on appris vendredi auprès de leur avocat.

C’est dans cette école basée près de Phoenix, dans l’Etat américain d’Arizona où sont formés les pilotes de Lufthansa, maison mère de Germanwings, «que le drame a débuté», «là que se trouve le premier domino», a indiqué à l’AFP Christof Wellens, qui représente plusieurs proches de victimes.

«C’est là que le copilote (Andreas Lubitz) a stoppé pendant un certain temps sa formation de pilote en raison de problèmes psychiques. On n’aurait pas dû le reprendre», a-t-il fait valoir.  "

 

 

schizo il ne pensait qu'à mourir...les autres non Afficher l'image d'origine

à combien de "fadas",  comme on dit à Cavaillon, confions-nous nos vies et celles des nôtres,  au quotidien... sans compter les fadas de l'islam

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ATTENTAT Le groupe djihadiste a publié un message de revendication ce samedi via son agence amaq

 

 

Amaq…amaq ? = amok, non ?

en anglais :  "to run amok" être pris (e)   d'un accès de folie furieuse, perdre tout contrôle de soi-même exemple :   → He ran amok with a gun, killing four people. variante : / a machete, a lorry, a jet..../4 people, 85 people, 3000 people Je crie-là ma révolte   à crime de masse, cruauté de masse :   

 

    Lubitz le co-pilote aux résultats (Paris Match) 

 

A l’intérieur de l’A320Exclusif: Derniers instants avant le crash Paris Match | Publié le 31/03/2015 à 18h30 |Mis à jour le 31/03/2015 à 19h07 Frédéric Helbert Ce cockpit d'Airbus est similaire à celui de l'avion de Germanwings. Depuis les attentats du 11 septembre, le blindage a été renforcé et les serrures à trois points sont devenues obligatoires. (Photo d'illustration) Ce cockpit d'Airbus est similaire à celui de l'avion de Germanwings. Depuis les attentats du 11 septembre, le blindage a été renforcé et les serrures à trois points sont devenues obligatoires. (Photo d'illustration) AFP zoom image

Un enregistrement de quelques secondes retrouvé dans les décombres semble confirmer les données récupérées dans l’une des deux boîtes noires de l’A320. 

 

Paris Match a pu visionner un enregistrement de quelques secondes pris avant le crash du volU 9525 de la compagnie Germanwings et récupéré dans les décombres par une source proche de l’enquête. Sa provenance – un téléphone portable - ne fait aucun doute. La scène est tellement chaotique qu’on ne distingue personne mais les cris des passagers révèlent qu’ils étaient parfaitement conscients de ce qui allait arriver. On entend crier « Mon Dieu » en plusieurs langues. On entend également, par trois fois au moins, des coups métalliques qui laissent penser que le pilote tente d’ouvrir la porte du cockpit au moyen d’un objet lourd. Vers la fin, après une secousse plus forte, les cris s’intensifient. Puis plus rien.

Cette version des derniers instants du vol Germanwings est confortée par une autre source à laquelle Paris Match a eu accès : les données récupérées dans le « Cockpit Voice Recorder », l’une des deux boîtres noires de l’A320. Celle-ci enregistre les sons et les conversations émises dans la cabine de pilotage. Son contenu nous a été restitué et résumé par un enquêteur qui a pu l’écouter. Nous en publions le déroulé.

10h

L'avion décolle. 

10h10

Le commandant de bord, à Lubitz : "je n’ai pas eu le temps d'aller aux toilettes avant le décollage. »

Lubitz : "Vas-y quand tu veux".

10h27

L'avion a atteint son altitude de croisière : 38000 pieds (11 500 mètres). 

Le commandant demande à Lubitz de vérifier que l’avion peut passer en mode descente. Lubitz obtempère. Il répète au commandant une deuxième fois : « Tu peux y aller. Tu peux y aller maintenant ». 

10h28

On distingue des bruits provenant d’un siège : le commandant ôte sa ceinture de sécurité. On entend la porte s’ouvrir. Le commandant dit à Lubitz : "tu contrôles maintenant".

Lubitz répond sur un ton qui se veut léger : « J'espère ».

10h30

Lubitz est seul dans la cabine. Il verrouille la porte blindée du cockpit grâce au bouton « Lock » : il est désormais impossible de l’ouvrir de l’extérieur.Puis on l’entend reprogrammer le pilotage automatique pour accélérer la vitesse de descente et passer de 38000 pieds (11 000 mètres) à 100 pieds (30 mètres) en quelques minutes. 

10h33

La descente commence : l'avion perd 3000 pieds (900 mètres) d'altitude par minute.Le contrôle aérien s’en aperçoit. Il essaye à plusieurs reprises de contacter l’avion par radio. Lubitz ne répond pas.

On entend le commandant qui tente d’ouvrir la porte de la cabine et frappe à la porte : "c'est moi !".Il est face à une caméra reliée au cockpit : Lubitz le voit sur l’écran mais ne réagit pas.Le commandant s’empare d’une bouteille à oxygène ou d’un extincteur dans le but de défoncer la porte.Pas de réponse. Le commandant crie : "Pour l'amour de Dieu, ouvre cette porte!".

10h34

Une première alarme retentit, sonore et visuelle : « SINK RATE, PULL UP »  (chute importante, redressez !).

Pas de réaction de Lubitz.

A travers la porte du cockpit, on entend les premiers passagers s’affoler dans les travées.

10h35

Le commandant demande qu’on aille chercher un-pied-de-biche caché à l’arrière de l’appareil.Des coups plus forts retentissent contre la porte, suivis de bruits métalliques.Le commandant essaye de tordre la porte avec le pied-de-biche.

10h37 et quelques secondes

Une seconde alarme se déclenche, sonore et visuelle : "TERRAIN, PULL UP" (Sol, redressez!). Toujours pas de réaction de Lubitz.

Le commandant : "Ouvre cette foutue porte !"

10h38

Malgré le vacarme ambiant,on identifie clairement le souffle de Lubitz parce qu’il a mis un masque à oxygène. Il respire normalement.L'avion est à 13 000 pieds (4000 mètres).

10h40

On entend un bruit violent qui vient de l’extérieur. Au même moment, à l'intérieur, des hurlements.L’Airbus vient de heurter une montagne avec son aile droite.

Plus aucun autre son que celui des alarmes et les cris des passagers.

10h41

L'avion heurte de plein fouet le massif de l’Estrop à 5000 pieds (1500 mètres d’altitude) et 800km/h. 

Retrouvez notre grande enquête sur le crash de Germanwings et le portrait d'Andreas Lubitz dans notre magazine jeudi en kiosque en édition numérique sur iPad

 

Une course contre la montre s’est engagée dans ce paysage inhospitalier pour collecter ce qu’il reste des corps, sur une zone d’environ 2 hectares, avec des pentes de parfois 30 à 40 degrés, à 1 500 mètres d’altitude. A chaque drapeau rouge correspond un fragment de corps ou un indice. © Paris Match  

  

Dim 7 aoû 2016 Aucun commentaire