Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

d'où ça me tombe ça ? elle se fait enculer sous mes yeux et je sens mon anus et mon rectum se gonfler de sang...je bande du cul jusqu'à en avoir mal.

Œil impressionnable et religieux s’abstenir ! Fermez tout de suite ce texte et allez lire autre chose sur ce blog. Les illustrations comme les propos peuvent « choquer les âmes sensibles » – selon les propos convenus. Vous êtes averti.

 

Jérôme  :- "Je vois bien que ce que font mes "copains"*aux queues énormes et bandées je suis bien incapable de le faire. Ils doivent penser qu'ils lui font du bien en lui donnant leur queue, que même s'ils la forcent elle doit aimer et jouir. C'est aussi ce que je sens car je suis jaloux de Nina, j'aimerais être à sa place mais personne n'y pense, personne ne fait attention à moi. Dans tout ce drame où il règne un certain ordre : le "tour" de la tournante qui les aligne les uns derrière les autres.

Je me rappelle que j'ai une queue  et je fais comme d'autres-car on est nombreux- je me masturbe sans participer. Certains qui espéraient baiser jouissent en l'air et perdent ainsi leur "chance". On baigne tous dans ce viol bien réel et dans la complicité objective. Ce sera dit au procès des dix huit accusés parmi lesquels je ne figurais pas.

On était bien plus de 18. On a avancé le chiffre de 25, mais je crois plus encore et a s'est reproduit plusieurs fois, souvent on peut dire !  Il n'empêche que ce grave moment a eu des répercussions déterminantes sur ma personne et sur ma vie.

Tout en restant un garçon et sans le dire à personne, je ne rêvais que de me faire enculer. Car c'est bien le mot : sous mes yeux Nina s'est fait prendre par tous les trous et, moi Jérôme, 16 ans,  je n'ai pas cessé de l'incarner et de l'envier cette fille martyre 

  Basé sur un fait divers authentique et un article dans la presse : 

Nina arrivée dans la cité vivait avec sa mère et son frère cadet, après le divorce de ses parents. Nina avait 16 ans. Forcément elle était vierge.  A l’école, elle était  parmi les élèves motivés, curieuse, enjouée et «un peu garçon manqué», allant familièrement avec les garçons , souvent en jogging. Un soir de septembre , en sortant du cinéma, elle croise notre groupe de garçons qui buvons et fumons du cannabis. Moi, Jérôme je me sens trop jeune pour avoir envie d'elle mais le chef de bande passe son bras autour du cou de Nina qui cherche à se dérober, mais rien n'y fait  les autres l’encerclent. Ils la conduisent de force jusqu’à une tour. Dans la cage d’escalier, le chef lui explique que, c'est la règle, qu’elle doit «coucher». Elle refuse, il la frappe au visage. Il la force à le sucer ; à force de la frapper elle cède et il la viole devant nous,par devant, par derrière, dans l'anus aussi (fellation, pénétration vaginale, anale). Les autres sont autour. Nina dira «Il y en avait qui me tenaient, il y en avait qui rigolaient, il y en avait qui étaient là et ne faisaient rien.»(j'en fais partie : je regardais de tous mes yeux mais ne faisais rien, puis, comme d'autres, un peu à l'écart  je me suis branlé )

On comprendra que si je voulais "pareil que Nina" ça ne pouvait pas être "genti-gentil" -lol-   

*on habite la même cité, des fois on joue au foot ensemble... 

comment je l'ai eue ma tournante  !

  une bonne tournante dans la cave. 

Je vous raconte pas que mon père ayant amélioré sa situation, j'ai changé de quartier mais j'aigardé ce cul incroyable qui bande pour les mecs. Un cul insatiable. Maintenant j'ai 20 ans et des cheveux châtains clairs tirant vers le blond assez longs et coiffés en arrière. Mes yeux sont noisettes avec un léger cercle vert en leur centre contrastant avec mes dents d'un blanc immaculé. Je mesure 1m78 pour 75 kg de muscles massifs et puissants, et oui, le sport ça forme un corps. Si vous habitez Chatou d'ailleurs, vous m'avez peut être déjà croisé entouré d'une bande de mâles en rut torse nu sur le stade de la ville. Tout ca pour essayer de vous faire comprendre que vu comme ca je ne suis pas plus gay qu'un homophobe. Entouré de machos velus j'ai dû cacher mon jeu.Toujours en train de faire des blagues machistes dans les vestiaires, de rire des grandes folles dans la rue, d'embrasser un nombre incalculable de filles en soirée, mon statut de petit PD passif et salope est insoupçonné de tous. Personne, absolument personne n'est au courant que presque 2-3 fois par semaine, le beau et fort Jérôme se fait casser la chatte par des mecs différents. C'est quelque chose que j'ai réussi à garder secret et j'en suis fier. Ceci me permet de garder mon image de bg macho tombeur de filles qui me plaît bien tout en me laissant régulièrement redevenir Jérôme la pute a pisse. En effet, plrs fois par semaine j'invite des inconnus de passage a Chatou à venir me faire le cul dans ma chambre se trouvant 50m à côté de la maison familiale sur le même terrain. Mes parents pensaient que je prendrais de l'indépendance avec ce studio au fond de la propriété, or la seule chose que j'ai pris ce sont des kilomètres de queues larges et juteuses qui se sont vidées dans mes orifices. 

L'histoire que je voulais vous raconter c'est déroulée pas plus tard qu'avant hier. Actuellement en grandes vacances, je profite de cette coupure dans mes études d'ingénieur pour me faire un peu d'argent. Alors non, je ne me prostitue pas (encore), je me contente de travailler dans une petite boutique au coeur de la ville et qui vend nombre de produits locaux. Cette boutique est magnifique mais a le malheur d'être très mal placée. Ce qui fait que de 10h a 19h je me fai copieusement chier à attendre . Mais bon, je n'ai pas à me plaindre le job paye bien et n'est pas épuisant. En somme, j'ai 9h tous les jours pour voir qui sera l'heureux mec qui aura la chance de me passer dessus le soir même. 

Aujourd'hui est un jour spécial à la boutique, cela fait quelques semaines que je suis employé et le grand patron a considéré à la dernière minute que j'étais digne de confiance et capable de faire l'inventaire de tous les stocks. Evidemment il m'a communiqué cette décision a 18h, horaire ou je commence a tout remballer pour rentrer chez moi une heure plus tard. Du coup, je dois rester sur place jusqu'à 22h environ le temps de tout comptabiliser, noter, commander, déballer... Et mon plan cul devait arriver a 21h chez moi... Que faire... Je déteste mettre des plans foireux aux gens et je ne tenais pas à commencer aujourd'hui pour mes plans cul. Mes hormones me travaillant je décide qu'il viendra a 21h, mais à la boutique. Je l'en informe. Le gars a l'air presque heureux de cette nouvelle. La perspective de me loper dans une cave remplie de charcuterie et de vinnasse semble l'exciter. On n'en vient à parler de plan à plrs et de mon envie de me faire partouzer. On en reste là et je continue ma journée de taf comme si de rien n'était. 

Arrive alors le fatidique horaire de 21h. J'étais tellement concentré sur la compta des stocks que je ne vis pas le temps passé et je fis un bond lorsque le bruit d'un tapotement sur la vitrine se fit entendre. Je montai l'escalier qui menait au rez de chaussé, traversait la boutique. C'etait Max, mon plan cul. Il devait mesurer dans les 1m80, etait assez large d'epaules et fin de la taille. Il avait de grandes mains bien veineuses et une barbe noire de plrs jours assortie à ses cheveux hirsutes. Il avait 33ans et était habille d'un simple short de sport et d'un débardeur qui laissait voir ses bras musculeux. Il était en déplacement, et avait décidé de séjourner les quelques jours qu'il devait passer à Chatou dans un hôtel que je connaissais bien. 

J'ouvris la vitrine, le laissai entrer en le jugeant du regard. Il le remarqua.
- alors, je suis à ton goût?
- ouais ouais t'es parfait mec, bien comme je kiffe.
- cool, elle est où la cave? Je meurs d'envie de te baiser.
Voila ce que j'aimais, lorsqu'un gars me parlait franchement et me faisait comprendre que la seule chose qu'il voulait c'était me démolir la 'chatte et me remplir la gueule et le cul de son foutre.
- par là.
J'ouvris la trappe et descendis l'escalier en colimaçon suivi de Max.

La pièce est assez spacieuse mais remplie de cartons. Les murs étaient cachés derrière 2 ou 3 mètres de caisses, le plafond était jonché de jambons et saucissons qui séchaient. Le sol était balisé par des cartons qui traçaient un  chemin au travers des étagères de produits régionaux. Le tout était faiblement éclairé par une ampoule minable qui pendait mollement du plafond et qui semblait réclamer de griller. L'ambiance était glauque. Max fit le tour de la pièce du regard en se balançant sur ses pieds et rangeant ses écouteurs. Il s'approcha d'un mur de carton et le secoua légèrement. 
- c'est bien ici, tu vas pouvoir crier autant que tu veux, personne entendra rien...
- Je crânai  : heureusement, vu comme je suis bruyant quand je me fais péter le cul!
Max me regarda avec un sourire vicieux.  
- ah ouais? Tu fais du bruit quand tu te fais niker?
Il se rapprocha doucement de moi.

- assez oui...
- t'aimes gémir pour faire comprendre a ton maitre que t'en veux plus?
Il était un peu plus proche de moi.
- oui...
- tu kiffes te laisser aller totalement qd ton maitre exige ?
Il était en face de moi.
Je soupirai un "oui" de plaisir tant j'aime qu'on me parle comme ça. 
Il appuya brusquement sur ma tête et me plaqua la gueule entre ses cuisses, me faisant sentir son entre jambe de mâle. 
- allez pompe sale chienne, pompe moi bien, pompe moi comme si ta vie en dépendait sale fils de pute!
Il avait sorti sa queue et me gavait la gueule de son calibre. Sa bite était de bonne taille ce qui avait pour effet de m'étouffer à chaque mouvement et donc de me faire triquer comme un âne !
- ouais vas-y, c'est ca, en bon fond de gorge ptite pute a bite, gave toi de ma queue, vas-y... Ouuuuuuais, comme ça ma chienne...
Max me déboîtait la gueule en me plaquant le visage contre ses couilles a chaque mouvement d'un geste de main placée derrière ma nuque. 
- tu kiffes hein?! 

Je ne pouvais même pas répondre tant sa queue pénétrait dans ma gorge de traînée. Seuls quelques sons de fond de gorge dus au réflexe de vomissement s'échappèrent de ma gueule. J'avais les larmes aux yeux, de la salive partout sur la mâchoire et mon torse, je me sentais a ma place. Max semblait adorer me démonter la gueule et me remplir la gorge. De temps en temps il me crachait dessus et me baffait pour me rappeler qui était le maitre en me limant la bouche. Je sentais mon tshirt trempé de salive sur mes pecs et des larmes de bonheur coulaient le long de mes joues déformées par cette teub qui me violait la cavité buccale.
D'un coup Max se retira de ma gueule et me poussa contre un carton au sol, il me baissa sèchement mon short et mon boxer, vira mes chaussures et en profita pour faire voler ce même short et ce même boxer avant de venir me coller une fessée qui me fit si mal que je hurlai d'un coup ma douleur à en faire trembler les bouteilles dans la pièce. Sa main se reposa contres mes deux fesses bien fermes et rebondies pour,mes les caresser doucement, en connaisseur, presque avec amour. 
- tu vois, c'est dans ces moments là, qu'une pute se rend vrmt compte de ce qu'elle est....
Je tournai mon visage rougit par les larmes vers lui tandis qu'il continuait de me caresser le cul avec amour.
- pourquoi?
- parce que justement tu as peur et tu sais que tes cris n'y feront rien.
 - peur, je sais pas niai-je...
Max venait de relever la main de mon cul en imitant le geste d'une fessée. Tout mon corps venait de se contracter et je laissai un petit cri échapper de ma bouche.
- alors?

Je ne sus que répondre. Il avait raison. Il me dominait totalement, il m'avait claqué le cul avec une telle force que si je voulais j'aurais eu toutes les raisons de le virer de la boutique, or je restais là, allongé sur ces cartons, à sa merci, attendant fatidiquement le prochain coup. J'etais une vraie pute. Je fus ramené à la réalité par une nouvelle fessée qui me fit hurler de plus belle. Sa main revint se poser sur mes fesses pour les caresser apaisant ainsi la douleur. 
- tu comprends le raisonnement? Tu m'es soumis, complètement offert...
Il releva sa main et je hurlai à nouveau sans même qu'il m'ait touché. Il feinta de me frapper à nouveau, me fit hurler de peur, feinta à nvx, riant de sadisme tandis que je sanglotais de peur d'être encore malmené alors que je ne pouvais cacher le fait de bander comme un taureau. Soudain une avalanche de fessées s'abattit sur mon ptit cul tout musclé! 1, puis 2, puis 3, puis 4, puis 5, puis 6. Toutes s'enchainèrent ainsi sans pause entre chaque alors que je pleeurais de douleur! Lui il riant de plaisir, me voir ainsi lopé semblait l'amuser. 
- bien, maintenant on va passer aux choses sérieuses mon petit... Mon petit comment?
- Jérôme, sanglotai-je.
- Jérôme, parfait Jérôme, tu aimes te faire baiser?
Je hochai la tête.
- parfait, parce que tu vas prendre cher avec moi...

En me disant cela, il sortit  de ses poches deux paires de menottes qu'il accrocha à mes poignets et à des canalisations qui s'échappaient des cartons. 
- parce que tu ne pourras pas appeler ça un viol collectif puisque techniquement tu es consentant vu les messages que tu m'avais envoyés, et tout simplement parce la police, c'est moi, me fit-il en me montrant sa plaque. 
- donc là, jusqu'à ce que je te le dise tu vas te faire baiser, et quand je dis baiser, c'est te faire éclater les trous... Et pas que par moi, parce que vois-tu, je fais partie d'un site internet où on se propose des partouzes et où n'importe qui de la région peut venir, et j'ai posté une annonce à l'instant, pendant que tu me suçais... Tu vas enfin réaliser ton rêve de gosse, te faire partouzer sans pitié...
Quelqu'un toqua à la porte.
-ah, je crois que les gens commencent à répondre à mon appel...
Il me sourit et monta au rez de chaussée. 
Dans quoi je m'étais fourré... J'avais déjà fait des plans a 4-5 maxi, jamais mon kiff de toujours : de vraies tournantes où n'importe qui pouvait venir...je n'avais même pas la force de me détacher, parce qu'en même temps c'était enfin l'occasion de savoir jusqu'à quel point je pouvais être une pute... J'attendis donc patiemment dans la position dans laquelle max m'avait laissé, et me cambrai même un peu plus, exhibant ainsi ma chatte rasé à blanc à quiconque descendrait à la cave. 

J'entendis des bruits de pas. Plrs bruits de pas' ils étaient plus de 2... Les bruits descendirent les escaliers. Il y eu alors 5 voix différentes toutes plus graves et viriles que les autres.
- ah ouais, quand meme...
- quelle pute!
- il a une de ces chattes!
- tu nous as pas menti Max...
- tu l'as ouvert déjà?
Je n'entendais que les voix, je ne pouvais pas les voir en raison de mes entraves et ça m'excitait encore plus...
- nan pas encore, répondit Max, défoulez vous les gars, cette chienne a tout juste 20 ans et prétend aimer être loper, montrez lui ce que c'est une vraie tournante! Je vais attendre les autres dehors.

J'entendis Max remonter les escaliers tandis que les autres mâles s'approchaient de moi en défaisant leurs braguettes. Un doigt s'enfila d'un coup sec dans ma chatte ce qui eu pour effet de me faire gémir. 
- putain la salope, elle couine de plaisir.
Un autre doigt s'ajouta au précédent tandis qu'une bite pénétra dans ma gorge.
- putain il a raison! Regarde comme elle a le cul tendre!
Je sentis le deuxième doigt s'agiter en moi. 
-vas-y mec, fourres-y ton doigt tu vas voir!
Et un troisième doigt vint s'enfoncer dans mon fondement pour lon plus grd plaisir.
- ah ouais... Quelle pute, j'ai jamais vu un gamin avec la chatte aussi accueillante et molle...
- bon je vais pas passer la soirée à doigter ce fils de pute, je suis venu pour me vider les couilles alors...

Je sentis une queue m'envahir ma chatte, elle s'enfonçait sans jamais finir... Elle devait faire au moins dans les 22 cm! Enfin de sentis ses couilles claquer contre mon cul et je gémis de plaisir autour de cette queue qui me bourrait le cul.
Je me sentais à ma place, une queue devant, une derrière, plrs gars autour de moi qui attendaient leur tour pour me baiser.
Soudain une grde douleur me perfora le cul, comme si... Comme si... Comme si une deuxième teub me pénétrait... Putain mais oui, ça faisait même pas 1min  que je me faisais baiser que déjà je passais à la double! Il me fallut quelques minutes avant de prendre pleinement mon pied et savourer ces deux queues qui bougeaient en décalé de manière à ce que j'en ai toujours au moins une au fond de ma chatte de pute. Entre temps un autre gars m'avait enfoncé sa queue dans la bouche, 2 devant, 2 derrière. Je couinais sous leurs coups de reins et bandais comme j'avais rarement bandé! Sentir ma chatte chauffer tant je me faisais limer profondément et rapidement, j'étais au septième ciel!
D'autres bruits de pas se firent entendre dans l'escalier. 
- je vois que ca la nike bien la chienne hein? Elle est bonne?
La salle entière hurla un "ouais" de satisfaction!
- elle a un cul, un truc de ouf frère!

Les quatre queues qui me limaient aux deux bout sortirent de moi s'échangèrent les places et reprirent leur labeur. J'avais dans la gueule les 2 zobs qui m'avaient pilonné le cul et inversement!  Je gémissais de bonheur, bavais partout, le cul tout mou tant il était dilaté, seuls mes lombaires étaient bandés pour que je puisse me cambrer au maximum et me faire baiser le plus profondément possible! Les bites tournèrent, de grosses remplacèrent les fines, mais toutes me démolissaient les trous avec force et sans pitie! Régulièrement un gars me lâchait un "sale bâtard!" ou un mollard et j'adorais ça, être enfin la pute d'autant de gars différents! 

Mon cul était démoli, je ne sentais plus qu'il y avait 2 queues en moi à chaque fois on me jutait dans les trous, j'étais complètement shooté au sperme, le foutre des mecs précédents servait de lubrifiant pour les suivants, ma gueule dégoulinait de jus bien gras et blanc, j'empestais la semence masculine, je la sentais couler le long de mes cuisses, je devenais complètement fou lorsqu'on me giclait dessus, réclamant qu'on m'ouvre le cul ou m'écarte les mâchoires à chaque giclée pour ne pas en perdre une goutte! J'étais un vrai zombie sexuel, une vraie pute à faire tourner qui ne souhaite que se faire remplir! Les mecs jutaient et partaient, ils étaient immédiatement remplacés par de nouveaux...! Enfin, vers 00h le rythme ralentit et a 1h30 ce fut fini. Max était parti depuis longtemps je crois mais les gars avaient continué d'affluer. 

Je me retrouvais donc seul, la chatte complètement explosée, incapable de marcher, la gueule pendante d'avoir autant pomper. J'avais le visage recouvert de sperme cristallisé, je ne pouvais presque plus ouvrir les yeux tant j'en etais couvert! Mon cul recrachait continuellement tout le sperme dont on l'avait gavé  je ne pus m'empêcher de le récupérer et de l'avaler. Ainsi recouvert de foutre et puant la transpiration et le jus, je ne pus m'empêcher de me trouver pute et donc de vouloir me branler. Je commençai alors à m'astiquer ma bonne teub. Or il me manquait quelque chose... Un vide m'accablait... Je savais! J'ouvris un carton en sortis une bouteille de champ' magnum et m'assis dessus! Je pouvais enfin jouir! A peine assis dessus, le goulot enfoncé dans ma chatte de gosse, de grosse giclées sortirent de mon gland gonflé de plaisir! Je léchais mon propre foutre au sol et m'allongeai sur les cartons pour finir par m'endormir.i

Epilogue : je cherchais depuis des heures, j'avais toujours mal à la chatte... Soudain je la trouvais, je trouvais l'annonce que Max avait postée :
"Rdv au ** av. *********** Chatou, pute a dispo de tout juste 20 a, à gaver sans pitié ni limite, grosse queue et quantité de foutre exigée! " accompagné d'une photo de moi en train de le sucer!"

 

   

  

 

   à qui le tour

 

 

 

 

 

 

 

 


Mar 19 jui 2016 Aucun commentaire