Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
- "Ah bon ?"- "Tu vas rire ! J'ai rêvé que tu me baisais et que j'aimais ça"...
baisé à son insu !
Vous avez déjà ramené chez-lui un pote hétéro bourré ? c'est pas bien, mais ... Ce soir je suis avec des amis. Nous profitons de ce petit week-end pour sortir. Nous sommes quatre amis, Stephane, William, Curtis et moi, Max. Je suis le seul gay, et ils sont au courant. Par chance, tous l'acceptent et l'ont bien pris. Mais malheureusement pour moi, ils sont tous hétéro et je suis célibataire. Des 3 autres, William est celui qui me fait le plus bander !
La soirée se passe, nous parlons, nous rigolons et tous boivent sauf moi qui ne tient pas l'alcool (j'en suis malade). Arrivé 2h, le bar ferme et nous sommes contraint de partir. William est complètement bourré. Les autres aussi, mais moins. Je les ramène un par un chez eux, Curtis, Steph, qui rentrent sans problème chez eux, puis William, qui dort déjà. J'essaye de le réveiller, mais il est trop imbibé pour réagir. Je décide de le monter chez lui. Ses clefs sont dans sa poche, j'ouvre son appart', le porte jusque dans sa chambre, et le couche. Je lui enlève ses chaussures, ses chaussettes et son manteau. Il a de beaux pieds et surtout un beau que je rêve de découvrir plus. Mais je ne peux pas, ce serait abuser d'un homme qui a bu. Et il risquerait de se réveiller. Je commence à quitter l'appart' ... et soudain une folle envie me prends de jouer avec lui. Je retourne dans la chambre, ferme la porte, les volets, allume la lampe de sa table de nuit, car ne produit pas une lumière très forte, et le regarde quelques instants dormir. Il est extrêmement séduisant, brun aux yeux bleus nuit, presque ténébreux, barbe de trois jours, des muscles galbé ... le profil mannequin. Je le scrute de la tête aux pieds et je m'aperçois qu'il a une érection. Je tâte alors son membre viril et dur. Il ne bouge pas. Je commence à le branler, et son sexe réagit à ma volonté. Il est cette fois complètement érecté. J'ai chaud, à cause de la peur qu'il se réveille et à cause de l'excitation qui m'envahit. Je retire mon manteau et commence à me toucher. Les minutes passent. Je le branle et me branle et il ne bouge pas. Je défait sa braguette et me rend compte que l'engin que je touche est particulièrement volumineux, même si le boxer qu'il porte est assez ample. Ce boxer est tout aussi intéressant car comporte deux boutons pour l'ouvrir. Je lâche mon jotstick pour les défaire, délicatement, pour empoigner sa chaude bite bien musclée que je peux maintenant librement manipuler. Il dort toujours bien profondément. Je lâche mon nouveau jouet pour caresser son beau minois. Il est bien habillé, chemise-cravate et pull col V assorti, la grande classe, comme toujours. Mais c'est trop pour moi. Je fais donc glisser donc doucement son noeud de cravate et défais le premier bouton de sa chemise. Là j'assouvis mon premier fantasme : sentir son odeur corporelle. Je me penche sur lui et pose mon nez dans la légère ouverture dans sa chemise et le hume. J'adore particulièrement son odeur et le mélange avec le parfum qu'il a mis ce soir est exquis. Il bande encore bien qu'il dort. Je lui soutire sa cravate, la plie et la pose à côté de lui. Puis je déboutonne deux boutons supplémentaires. Je découvre en partie ses pectoraux bien ferme et musclés. Je bande encore plus ! Ma main vient effleurer le peu que je vois, en l'occurrence le fin espace entre ses deux pecs. Là, écartant un peu le tissu, je découvre que le bel endormi porte un débardeur. Je ne suis pas prêt de voir ses abdos ! Pour aller plus loin, je dois enlever son pull. Mission délicate, sachant qu'il ne faut pas le réveiller. Il comprendrait le fait que je lui hôte son pull mais pas celui que sa bite prenne l'air ! Je le prends dans mes bras, et soulève son pull, jusqu'à lui retirer. Je le recouche, il dort, mission accomplie. Je dispose maintenant plus facilement de son corps. Je déboutonne doucement sa chemise, jusqu'à découvrir la dernière barrière qui me sépare de son torse. Excité, je défais ma braguette, soulève mon slip et fais sortir le loup de sa tanière. Je me branle d'une main, et de l'autre caresse son torse, à travers le tissu. Insatisfait, je pousse sa chemise pour libérer ses épaules et son cou de taureau. Ses épaules sont divinement dessinées et prends plaisir à les prendre dans mes mains pour tester la fermeté. Puis je tente à nouveau le diable : je défais les boutons de ses manches, le reprends contre mon corps et lui retire sa chemise. Cette fois, je sens mieux son corps à travers le tissu. Maintenant, et vu qu'il roupille comme un loir, je passe à la vitesse supérieure et retire sa ceinture, puis défais son pantalon dans la foulée. J'ouvre largement le haut de son jeans et baisse un peu son boxer pour observer led contours de sa tour. J'ai été surpris de ne rien y voir, pas le moindre poil ! Il a dû se raser complètement ya pas longtemps. Passée l'interrogation, je masturbe un peu l'outil pour lui redonner de la vigueur. Puis, de mma langue, je viens lui titiller le gland. La réponse est immédiate : il mouille légèrement. J'en profite pour lui lubrifier le poireau. Puis j'engouffre l'interdit. Quelques minutes de va et vient qui me font intérieurement hurler de plaisir. Je sens que je vais éjaculer et coupe mon élan pour m'accorder un ultime plaisir. Ma bouche se sépare sa prise et je me mets à quatre pattes au-dessus de lui. Je lui baisse son pantalon et son large boxer. Puis de mes deux mains, je glisse sous son débardeur qui remonte petit à petit. Je me retiens mais c'est dur. Je le soulève et bloque son débardeur derrière sa tête.Il est quasi nu, l'homme de mes rêves, face à moi, inconsciemment soumis à ma volonté. J'immortalise l'instant d'une photo qu'il faudra garder secrete. Puis je fais glisser mes dougts sur ses adbos et ses reliefs. J'épouse le relief pour éprouver le maximum de sensations. Puis dans un élan de fougue, je laisse ma langue faire quelques tour de piste, autour de chaque abdos, entre les pecs, sur ses petits tétons chauds, dans le cou et finalement ... sur sa bouche.
"C'est donc toi qui m'a ramené ?"
Et moi de lui répondre :
"Oui t'étais pas en état."
"Merci sans toi je sais pas comment j'aurais fait."
"Oh c'est rien tu sais."
"Ouais mais merci quand même. Je me souviens de plus grand chose à vrai dire. À part ce rêve étrange que j'ai fait. "
"Ah bon ?"
"Tu vas rire ! J'ai rêvé que tu me baisais et que j'aimais ça" Là, ai-je été trop loin ?? Il ne s'est par chance pas réveillé. Je reprends vite mes esprits et mon calme, empoigne son sexe et le mien, et, dans un même élan, cette fois maîtrisé, je nous masturbe à l'unisson. J'éjacule le premier, assez lourdement et généreusement, sur son corps inberbe, souillant l'innocent de mon épaisse crème blanche qui est venu se loger par jets réguliers entre ses abdos, ses pecs et aussi sur son bat ventre. Puis de même, il a jouit, pas autant que moi, mais suffisamment pour couvrir en deux jets une bonne partie de ses abdos. Là encore, petite photo souvenir. Pour ne pas laisser de traces, je lèche les preuves (un petit bonus) et essuie le tout avec mon visage (bien rasé aussi). J'embrasse une dernière fois son penis et sort de son lit. Je me rhabille, débarrasse les vêtements, défais la couette du côté où il n'est pas, puis le soulève, profitant de l'occasion pour mettre ma main sur ses fesses bien galbées et dans son dos. Je le couche dans ses draps blancs maculés et je prends soin de lui remettre son débardeur et de remonter son boxer, en n'oubliant pas de refermer les boutons. Je touche peut-être pour la dernière fois son paquet mais j'aurai quand même bien profité de l'instant. J'éteins la lumière. Je quitte l'appartement sans un bruit et m'en retourne chez moi tout émoustillé. Le lendemain matin, un sms de William : S'il savait ... http://www.cyrillo.biz/histoire-gay-2015-soiree-trop-arrosee-01.php
l'ai-je retourné ?
...déjà pendant la fête...
il m'ont aidé à le porter à ma voiture...