Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
Une différence : les homos n'étaient pas visés, mais , si ça vous rappelle rien : Le terrorisme durant la guerre d'Algérie n'a pas concerné que le territoire de l'Algérie puisque des attentats contre diverses cibles et des assassinats de policiers (ou d'Algériens refusant de payer l'impôt révolutionnaire), ont été commis en métropole par le FLN et ont entraîné le recours au couvre-feu pendant la période qui précède le massacre d'octobre 1961.
Le 25 août 1958 vit le début d'une vague d'attentats dans l'ensemble du territoire contre des postes de police, des casernes, des dépôts de carburants et autres intérêts économiques.
Les affrontements entre le FLN et leMNA causèrent en France, selon les chiffres officiels entre le 1er janvier 1956 et le 23 janvier 1962, 10 223 victimes dont 3 957 tués
L'OAS a également été active en métropole par l'intermédiaire de sa branche « OAS-Métro », responsable de l'attentat contre André Malraux qui débouche sur l'affaire de la station de métro Charonne.
Lutte contre le terrorisme en métropole [ ndlr : long pédalage dans la semoule]
le 23 août 1958 création sous la direction du cabinet du préfet, le SCAA coordonne à partir de cette date l'action des services - existants et nouveaux -spécialisés dans la lutte contre le nationalisme algérien. Outre le SAT-FMA et la section de renseignement, le SCAA supervise les opérations d'unités actives : la BAV et ses deux sections (enquêtes et voie publique), la 8e brigade territoriale (8e BT), unité territoriale de police judiciaire, les équipes spéciales de district (composée d'éléments en civil chargés de la surveillance des milieux musulmans) et, à partir du 1er décembre 1959, la Force de police auxiliaire (FPA), appelée également Force auxiliaire de police (FAP).
Contre-terrorisme
Le terrorisme employé par les musulmans indépendantistes du FLN a suscité un terrorisme de représailles de la part des européens anti-indépendantistes. Suite aux massacres du constantinois en Algérie, les autorités militaires françaises ont créé des groupes d'autodéfense et au sein de ces nouvelles formations sont nées des unités secrètes de « contre-terrorisme » utilisant les mêmes moyens que le FLN[1].
Dans ce contexte sont apparus les premiers attentats de l'ORAF, à partir de 1956, puis dès 1961, ceux de , l'OAS.
ON N'A PAS FINI DE VOIR DES SCENES PAREILLES N'ayez pas peur ils disent !
Protégeons-nous.