Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

c'était un peu comme si mon père m'avait "donné " à Jean-Luc ! mon ami-amant du lycée, il m'avait mis dans ses bras quoi !...avait-il une préférence pour Jean-luc au lieu de Guillaume ?  Tout ça ne me permettait en rien de révéler "la chose" à nos amis et connaissances ...ma mére je savait pas...mais je devais  continuer à faire semblant...beaucoup d'émotions pour mon petit coeur de lycéen...  

  Image extraite du clip de la chanson de Calogero «J'ai le droit aussi», réalisé par Benoît Pétré

Deux choupinous : Image extraite du clip de la chanson de Calogero «J'ai le droit aussi», réalisé par  Benoît Pétré - Capture d'écran YouTube

NDLR / être amants gays et platoniques ça n'existe pas : être amants  c'est aussi"intime" que vous allez voir. Parti avec le jus de Guillaume dans le cul on retrouve notre passif en vacances avec le jus de Jean-Luc au fond des boyaux    

  On avait repris nos esprits et on était retournés aux nécessités immédiates de la vie ...   

    mon l'intimité encore pleine de son sperme, je  sortis une main du bac à vaisselle et, reconnaissant, lui caressai tendrement le bas-ventre, touchant le nylon de son slip de bain pour mieux enserrer son membre viril et épais.  

« Tu as aimé tout à l'heure ? Me susurra-t-il à l'oreille. »

« Oui, c'était super bon. »

« Je t'ai pas fait mal au moins, je t'ai pas pénétré trop fort ? »

« Tu as fait ça très bien. Et j'aime quand c'est viril. »

 

Il sourit tout en continuant de me caresser la raie des fesses. Il plongea un doigt dans mon intimité et je poussai un faible gémissement. Il écarta mes parois poisseuses de sperme avec son doigt et [subjugué ndlr] j'eus le plus grand mal à me concentrer sur la vaisselle.

 

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« Tes petites fesses m'excitent mon beau, me lâcha-t-il. Et l'idée que ton trou soit empli de mon jus, ça me fait grave bander. »

Et en effet, je sentis son sexe encore durcir sous ma main.

« Et ne t'inquiète pas, j'ai fait des tests avant de partir en vacances et je suis clean. »

« Moi aussi, je l'ai fait il y a quelques mois quand j'ai décidé d'arrêter la capote avec mon copain. »

Je n'aurais pas voulu lui dire que j'avais un mec mais c'était un peu sorti tout seul, tout absorbé entre la vaisselle et le toucher rectal de mon étalon.

Jean-Luc sourit :

« Alors ton père avait raison. Il m'avait parlé au boulot que tu étais très certainement gay et en couple avec un garçon qui venait presque tous les jours à la maison. »

Et sur ce, il poussa son doigt un peu plus au fond de mon trou. Il s'enfonça tout seul tellement son foutre me lubrifiait les intestins.

Son sexe maintenant commençait à sortir du maillot de bain par l'élastique du dessus, laissant apparaître son méat et le début de son gros gland gonflé à bloc.

« Alors mon père s'en doute, répondis-je. »

« Et grâce à ses doutes j'ai pu te fourrer mon beau, sinon j'aurais jamais osé. Mais j'ai vu que tu me matais et j'ai bien compris ce que tu voulais. »

Et sur ce, il enfonça son doigt encore plus loin en moi, m'arrachant à nouveau un gémissement, beaucoup plus fort cette fois.

Je sentis la semence que j'avais en moi couler le long de son doigt et atterrir dans le fond de mon maillot de bain et cette sensation était délicieuse.

« J'ai encore envie de te faire l'amour mon beau, continua Jean-Luc. J'ai envie de te prendre toute la nuit. »

Mon cœur parut se renverser face à de telles déclarations et mon érection fut douloureuse tellement j'étais excité par ses propos à la fois coquins et doux.

« J'en ai envie aussi Jean-Luc. »

Il sourit et me déposa un baiser sur l'oreille tout en retirant son doigt de mon trou. Il me le montra, tout luisant de son foutre, et nous sourîmes tous les deux. Il le sentit, me le fit sentir et le rinça dans le bac à lessive et commença à essuyer les premiers verres.

Nous terminâmes la vaisselle complétement surexcités et dans la chaleur du soir, nos maillots de bain étaient tendus par nos sexes dressés avides de pouvoir servir à nouveau.

Après la vaisselle, nous revînmes dehors prendre des nouvelles de nos amis qui jouaient au tarot. L'ambiance était bonne et détendue et Bernard avait ouvert une bonne bouteille de cognac qui passait entre les mains de tout le monde.

On nous fit une place autour de la table et Bernard nous servit une bonne rasade de cognac après avoir eu l'approbation silencieuse de mon père, ce qui me fit rire plus qu'autre chose, n'étant plus un enfant.

Nous trinquâmes avec tout le monde et nous délectâmes du très bon cognac que Didier avait apporté. Nous regardâmes jouer nos amis et attendîmes qu'ils terminent leur partie pour nous y joindre.

J'aurais aimé prendre congé d'eux à cet instant tant la promesse d'une nuit intense avec mon étalon avait éveillé en moi une excitation incroyable, mais Jean-Luc ne fit pas mine de vouloir bouger et je pense qu'il ne désirait simplement pas éveiller les soupçons car je le savais tout comme moi au bord de l'excitation.

Lorsque je regardai son bas-ventre, sa queue était redevenue normale, ou du moins elle le paraissait dans son maillot de bain, mais je savais que si je le touchais en douce, il se remettrait à bander.

Cependant, c'était très difficile car nous étions beaucoup plus serrés qu'au repas et les autres convives risquaient de nous voir, ce qui aurait été vraiment gênant.

Nous jouâmes donc aux cartes mais j'avais la tête ailleurs. La soirée me sembla s'éterniser de longues heures bien qu'en réalité, nous restâmes seulement une quarantaine de minutes autour de la table.

Lorsque la nuit fut bien avancée et que la moitié de nos amis commencèrent à bailler, nous décidâmes tous d'un commun accord d'aller nous coucher. Nous nous embrassâmes et nous souhaitâmes bonne nuit, et Jean-Luc et moi prîmes congé du groupe pour rejoindre notre maisonnette à côté.

Il n'y avait que quelques mètres à faire mais pendant ces brèves enjambées, mon excitation grimpa soudainement et je recommençai à bander direct dans mon maillot de bain...

    shinywears85@hotmail.com sur cyrillo.com les amis de mon père

 

 

 

Mer 13 jui 2016 Aucun commentaire