Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
Ce ne sont pas tous les gays qui aiment bouffer le cul des partenaires, pas plus qu'il n'est sûr qu'un hétéro aime bouffer les moules mais la
plupart des actifs vous diront que le trou du cul masculin est une belle fleur pulsatile* qui attend juste d'être léchée, pénétrée de la langue sucée ou mordillée et aspirée
comme un escargot, surtout dans ce que les anglo-saxons appellent le "felching" qui consiste à aspirer le jus sorti de l'éjac après l'orgasme..
Ci-dessous, une collectionde GIFS mangeurs de cul
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Not every gay guy likes eating ass. Just like not every straight guy likes eating pussy. But most tops will tell you that the male asshole is a beautiful, pulsing flower just waiting to be
rimmed, sucked, and tongue-fucked.
Below, a collection of the greatest ass-
MATTHIEU ... "- Il crie de plaisir et je meurs d’ envie de lui manger la chatte anale.
Ses cuisses sont ouvertes, les fesses sont écartées, la raie est offerte et je peux admirer sa corolle, son abricot que j’ ai déviergé deux jours plus tôt.
— Tiens tes jambes, mon chéri, je vais te bouffer la chatte …
Il me fixe avec un air lascif, me fait un sourire gourmand, vicieux et, comme une femme, il passe ses bras entre ses jambes ouvertes, les relève encore et les écarte à fond pour me donner sa fente.
— Voilà, soupire t-il, je te donne mon cul …
Je plonge en soupirant de bonheur et enfonce mon nez dans sa fleur anale. L’ odeur m’ explose le cerveau et je hume, respire, m’ enivre de son trou de cul. Il gémit :
— Oh oui, c’ est bon, oh oui, c’ est bon
Je retire mon nez de ce trou foncé dont les plis m’ excitent à fond ; l’ étoile est un peu ouverte, m’ offrant un aperçu des chairs rouges de l’ intérieur, de l’ entrée du fourreau, du puits de jouissance que je m’ apprête à dévorer et je colle mes lèvres dessus pour aspirer comme une ventouse. Je plonge ma langue dans l’ étui et je l’ embrasse encore plus fougueusement qu’ il ne l’ avait fait avec sa bouche juste avant.
Son anus devient l’ objet de ma gourmandise la plus folle ; je suis avide de sa chatte anale, de la mouille qui en sort, j’ aspire, je mange les lèvres de son cul, je prends ses chairs en bouche et les mordille. Il crie de plaisir et pousse comme je lui demande pour en faire sortir le maximum du trou. C’ est trop bon, le bout de ma langue fouille chaque petit repli de la corolle et puis plonge au centre jusqu’ au plus profond, je me gave de son foutre anal.
Il crie :
— Encule moi maintenant s’il te plaît, baise moi, bourre ma chatte ….
Une fois de plus, je me retrouve dans la situation inverse de ce que j’ aime car je préfère m’ offrir et être la salope qui donne son cul, mais là, devant cet animal androgyne, je bande comme un âne et j’ ai envie de le prendre, de le saillir.
...son bassin accompagne le mien, il chaloupe, se trémousse, ses jambes se serrent encore plus fort autour de ma taille, s’ accrochent pour me suivre, son ventre se colle au mien… il s’ arque sur le lit comme une femelle et crie qu’ il jouit du cul ! Je sens aussi que du sperme s’ écoule de sa queue et inonde délicieusement nos ventres.
Ses bras m’ enserrent, il revient coller sa bouche à la mienne puis ses doigts viennent crocheter mes mamelons qu’ il pince et tord violemment. Ma bouche collée à la sienne je ne peux m’ empêcher de crier de douleur et de plaisir car au même moment, je sens mon sperme passer dans ma queue comme de la lave en fusion pour se déverser tout au fond de ses entrailles.
J’ éjacule longuement, décharge plusieurs giclées de jus dans son fondement que je sens palpiter au rythme des spasmes qui agitent mon mandrin tandis que ma semence jaillit. Mon orgasme est d’ une intensité extraordinaire et je me répands en me couchant sur lui, prenant ses mains dans l’ une des miennes pendant que l’ autre va caresser amoureusement sa croupe et que je l’ embrasse en suçant sa langue, à bout de souffle.
J’ ai l’ impression de jouir de tout mon corps puis, lorsque l’ orgasme s’apaise, que ma queue se retire doucement de son antre, je me fais glisser le long de son corps ; j’ embrasse le dessous de ses bras, sa poitrine et ses tétons, sa peau toute lisse et douce en descendant et ma bouche va laper, lécher tout le sperme qui mouille son ventre et sa bite molle mais encore gonflée. Je la prends amoureusement en bouche et la mange, la savoure longuement,tète et aspire le gland pour recevoir la dernière gouttelette du jus de ses couilles.
Il est pantelant de plaisir, allongé et je le fais mettre sur son ventre en ouvrant les jambes à fond pour aller amoureusement lui offrir une feuille de rose tendre et passionnée. Une fois de plus je colle ma bouche à son anus de rêve pour me repaître de ses chairs tendres et boire le mélange de foutre anal et de sperme qu’ il fait sortir en poussant ses lèvres culières. Je pétris ses fesses, caresse partout, mange sa fente, dévore sa rondelle et il gémit de plaisir.
C’ est trop bon et ce n’ est que le début d’ une longue nuit…