Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

Avec deux potes, assis au bistrot,  on regarde les vidéos de moi et mes partenaires qu'ils ont enregistrées  avec leurs i-phones en n'oubliant pas de se faire oublier pendant les prises...  

 

On commente :

Le mégot encore fumant écrasé dans le cendrier, Jérém reprend sa bière sans retirer sa main posée sur ses abdos sous son t-shirt blanc moulant… il en avale une bonne gorgée en inclinant la tête vers l’arrière. Je suis le moindre mouvement de sa pomme d’Adam et de son petit grain de beauté… je devine le liquide pétillant glisser dans sa gorge, tout comme j’ai senti le flux de son jus glisser dans la mienne quelques minutes plus tôt…
Une fois sa soif étanchée, je le vois respirer profondément, secouer la tête comme pour se ressaisir…
Et lorsque ce mouvement s’arrête, voilà, l’image qui se présente à moi est d’une rare et touchante beauté… car à ce moment là, mon Jérém a cet air… cet air que je lui connais très bien et qui me rend dingue de lui et en même temps tout particulièrement fier de moi… oui, Jérém porte sur lui cet air de mec comblé sexuellement, cette allure de mâle repu qui lui va si bien…

Le corps est repu, certes, mais dans la jolie tête du beau brun, ça gigote toujours autant… les images de la pipe récente dans les chiottes du bistrot s’enchaînent, s’entrechoquent…les potes ne peuvent pas entendre ce que je pense, heureusement !  >... 
    >... "...."
    >...Et je JOUIS…
    >... C’est du FEU, c’est du délire, c’est géant… je… je… je me répands partout, dans le corps, dans l’esprit… mon bassin contre son visage, mes couilles sur ses lèvres, le gland calé à l’entrée de sa gorge…
    >... Je jouis sans bouger, en silence… une décharge électrique parcourt mon corps…
    >...Je jouis et j’en suis tellement secoué que j’ai l’impression que je ne contrôle plus mes mouvements, j’ai l’impression que je vais perdre l’équilibre et tomber… lorsque l’orgasme me submerge, je perds la conscience du présent… du passé… de l’avenir… je pars ailleurs, loin, très loin, dans un univers de jouissance ou plus rien d’autre ne compte…Une voix en moi vient me contredire :

    > voix dans ma tête : plus rien d'autre sauf...Nico peut-être ?  

        >...J’ai envie de crier, je perds pied, j’ai l’impression que mon cœur va lâcher tellement le choc est puissant, l’impression que je vais devenir fou tellement je suis secoué, que le cœur va bondir de ma poitrine…  tellement c’est bon…
    > voix : Il n’y a qu’avec Nico que c’est aussi bon…
    >...C’était boooooon…

- je dis : « Il a tout avalé, comme si sa vie en dépendait… il adore le goût de mon foutre…  

    > voix : Ca te plait, ça, n’est-ce pas, petit vicieux ?

- je dis : « Ces jets brûlants qui sortent de ma queue et qui vont en lui… c’est toute mon énergie sexuelle qui se déverse dans sa bouche… c’est un peu de moi qui va en lui, mon plaisir qui déborde en lui… c’est de la pure domination sexuelle… je suis le mec…

    >...C’était-juste-délirant…
    - je dis : « C’est le pied d’être dominant, debout, face à lui à genoux…
    >...J’adore cette position, l’angle que prend ma bite tenue entre ses lèvres quand il est à genoux… et ça contribue à décupler le plaisir…
    - je dis : «  Ce que j’aime tout particulièrement c’est de sentir ma bite se vider, sentir les jets jaillir de mon gland...
    >... L’orgasme… il n’y a que ça de vrai…
Ego : Ma queue qui s’enfonce en lui, disparaît en lui, mes couilles qui frappent son menton ou ses fesses, mon gland qui cogne contre son palais, qui s’enfonce au fond de sa gorge, ou disparaît entre ses fesses,
        >...Qu'est ce que c'est bon de jouir sans capote...

- je dis : «Qu'est ce que c'est bon de jouir sans capote... mon jus qui quitte ma bite et coule dans sa gorge, ou fourre son cul… ma semence qui se répand en lui…

    Francis : Qu’on jouisse dans sa bouche ou dans son cul, pas besoin de capote avec le puceau pd, pas de risque de morpions, ni sur les couilles, ni dans le dos…
    > voix : Foutaises… c’est si bon parce que c’est avec Nico…

- je dis : « Mate un peu ça… il a tellement aimé qu’il ne peut pas arrêter de me sucer…
- je dis : « Maintenant que j’ai joui, ça ne va pas le faire…
- je dis : « Sa soumission est magnifique…
   > voix : ta gueule… ENVOIE UN MESSAGE CLAIR ET PUISSANT… FEU !!! Mouvement puissant des bras pour le repousser…
    > voix : Nico se relève… pourquoi t’as fait ça ? C’était si bon de le voir téter à ma queue comme un fou…
Nico : « C’était trop trop bon… ça m'a trop manqué… »
    > voix :Tu l’entends, ce petit Nico ? Ça te flatte ça, n’est-ce pas « le mâle » ?
    > voix :Pas de signal…
    > voix :Et ces bisous excités, fébriles, désespérés qu’il est en train de poser dans le creux de ton cou, ne sont-t-ils pas sacrement bons aussi ?
        > voix :Je ne peux pas le laisser faire…
Francis : Cet endroit pue et ce que tu viens de faire n’est pas bien… tire-toi… et en plus il se branle dans son boxer… il ne faut pas le laisser faire…
    > voix : Mais tu aimes ça, Jérém… et tu aimes le voir revenir à la charge malgré que tu l’aies repoussé… vraiment il en veut, ce petit Nico… regarde comment il mordille ta peau… pareil que tu l’as fait un peu plus tôt… il caresse tes cheveux…
Francis : Et il frotte sa braguette ouverte contre ma cuisse…
        > voix ::Et il descend dans le cou, il pose tout plein de baisers, il mordille la chaînette… il lèche les pecs, il agace les tétons… je viens tout juste de jouir mais là je sens monter une nouvelle excitation…
Ego : Je viens tout juste de jouir mais cette adoration de mon corps et de ma virilité me fait un effet de dingue…
Pare-feu : Tu devrais le repousser pour de bon et te tirer… remonte ton froc et dégage !
Plaisir : Je ne peux pas, c’est bon…
Ego : C’est flatteur…
Pare-feu : Arrête ça, t’es un mec ou t’es pd ?
       > voix&Francis ensemble :  Pare-feu, qu’est ce que tu peux être vieux jeu… … n’écoute pas - je dis : «  avoue que t’as tellement pris ton pied que tu meurs d’envie de lui rendre la pareille, de lui faire plaisir à ton tour… tu peux bien le gâter un peu après ce qu’il vient de te faire…
je dis : «   Lever le bras… approcher la main de son torse, la passer dans l’ouverture de sa chemise…
Francis : … sois raisonnable… ne fait pas ça…
je dis : «  … pincer son téton avec le bout des doigts… ah, ça l’excite ça… je le vois à comment il s’excite contre ma cuisse…
Francis : Mais putain, il y va tellement fort qu’il a failli te faire tomber…
    > voix&Francis ensemble : C’est trop ça, le repousser violemment, lui montrer qu’il va trop loin…
    > voix :Vous êtes vraiment une sacrée bande de cons…
       Il a compris, il se branle tout seul dans son coin…
  > voix&Francis ensemble : Tire-toi Jérém, t’as pris ton pied, t’as joui, et c’est tout ce qui compte… tu n’as plus rien à faire ici, il va se débrouiller tout seul s’il veut jouir…
Voix : Avoue, Jérém, avoue que ça te plait de le regarder se branler, il est beau le petit Nico en train de se faire plaisir…
Francis : Pars ! Remonte ton calebut et pars…
- je dis : «  Ok… ok… mais… il me regarde en se branlant… il veut jouir en me regardant…
Francis: Barre-toi…
- je dis : «  Juste un instant… ça me plait ça comme idée…
Francis : Quoi donc ?
    - je dis : « Le regarder se branler… l’idée qu’il prenne son pied en matant mon torse, ma queue, ma virilité, avec ce regard d’adoration qui n’est que pour moi, le mec qui lui a rempli la bouche et la gorge de son jus brûlant…
Francis : Va t’en, je te dis…
- je dis : «  J’ai envie d’un truc…
Pare-feu : Quoi encore ?
    - je dis : « Juste ma queue en lui, pour lui montrer qu’il ne peut pas me chercher sur ma virilité, qu’on ne plaisante pas avec ça, pour lui montrer qu’il a besoin de ma queue pour prendre son pied…
Pare-feu : On aura tout vu…
    > voix : : Je sais à quel point c’est bon d’être en lui…
L’attraper par les épaules, le retourner, et m’enfoncer en lui…
Francis  fffffff: Tu fais quoi là, enfoncé dans son cul ? Tu ne vas pas quand même jouir à nouveau ? T’as pas le temps, et t’en a même pas envie… sa pipe t’a épuisé…
   > voix : : C’est juste pour lui montrer qui est le mec et lui donner la mesure de ma gaule…
  > voix : : T’as envie de le voir jouir, oui… et même de l’aider à jouir,…
- je dis : « Lui montrer qu’on ne met pas en doute la puissance de ma queue… FEU !!! « Alors… elle te semble comment, ma gaule ? »…
   > voix&Francis ensemble :  tu es insupportable…
- je dis : « Qu’est ce que ça fait du bien de lui balancer ça… presque autant que de l’entendre répondre, presque dans un état second…
« T’es vraiment un sacré étalon… »…
- je dis : « J’adore cette sensation de le faire jouir du cul rien qu’en étant en lui, sans le moindre mouvement… l’idée que la simple présence de ma queue enfoncée entre ses fesses suffit à le rendre dingue…
- je dis : «  Ça m’excite tellement que j’aurais presque envie de commencer à le pilonner… mais je sais que ce serait long à venir…
Francis :  Oui, ce serait long, surtout qu’on est là depuis déjà bien trop longtemps…
- je dis : « Envie de recommencer, envie de le défoncer…
Francis : Mais pourquoi donc arrête-t-il de se branler ?
    - je dis : «  Il profite juste du bonheur de la présence de ma queue en lui…
Francis :  Peut être qu’il s’imagine que tu vas aussi lui baiser le cul… allez, si tu veux le voir jouir, soit, mais il faut se dépêcher… vas-y, balance un truc puissant… Merde… ton partenaire est encore HS… il a encore rechuté de sa plus grave maladie : la fierté… je vais me débrouiller… FEU ! … je balance une petite torpille en direction de Nico : « Allez… dépêche… finis en… »…
Francis : T’as juste envie de le voir jouir, avoue…
- je dis : « Vite fait…

 

   

  -    pas besoin de capote avec le puceau pd, pas de risque de morpions, ni sur les couilles, ni dans le dos…