Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
bisex en congrès sur Paris, je n’étais en général pas long à décrocher mon téléphone et à proposer une bonne partie de baise aux hommes présents sur la messagerie
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C’était il y a deux ans, j’étais de nouveau de passage à Paris pour un congrès et avais réservé une chambre d’hôtel pour la semaine. J’avais alors trente ans, désormais marié avec une jolie femme dont j’étais très amoureux et mes rencontres homosexuelles étaient devenues plus rares, une fois ou deux fois par an maximum. Mais lorsque je me trouvais seul sur Paris, je n’étais en général pas long à décrocher mon téléphone et à proposer une bonne partie de baise aux hommes présents sur la messagerie. Cette fois-là, je n’attendis même pas la fin de la première journée. Très vite, j’entrai en contact avec un homme de cinquante-quatre ans, de passage à Paris comme moi pour son travail, et qui cherchait un bon moment de détente en compagnie d’un homme plus jeune que lui et entièrement passif. Il me demanda de venir à son hôtel, près de la Gare de Lyon, et me dit qu’il allait tout de suite sortir acheter une boîte de préservatifs et du gel dans une pharmacie. Avant de raccrocher, il me dit d’un ton presque sévère :
— Ne me pose pas de lapin hein ! Et tu vas voir, je suis bien monté, je vais te remplir le cul....GROS FANTASME DU GENRE :
Ce langage cru m’excita encore plus. Je me dépêchai de finir de m’habiller et je partis rapidement le rejoindre à son hôtel.
Comme convenu, je l’appelai sur son portable en franchissant la porte de l’hôtel, à 17h précises. Il me donna son numéro de chambre et je montai directement le rejoindre. Lorsque la porte s’ouvrit, mon excitation monta d’un cran.
Marc était bel homme, grand et fort, les cheveux grisonnants, musclé, des grands yeux bleus et un joli sourire. Surtout, il me reçut entièrement nu et son sexe à moitié bandé était déjà d’une taille plus que respectable. Surprenant mon regard sur son entrejambe, il me dit en souriant :
— 22 par 6 en position de travail… tu vois, je ne t’ai pas menti… mais ne t’inquiète pas, on va prendre notre temps… tu es pressé ?
— Non, lui dis-je, je n’ai rien de prévu de particulier.
Il m’invita à me déshabiller puis me fit signe de m’allonger à côté de lui sur le lit.
— Tu as un très beau corps, me dit-il en me caressant les épaules, le torse et les cuisses, tu es vraiment bien foutu.
Il est vrai que sans être un mannequin, je ne suis pas trop mal foutu, un visage plutôt joli, des yeux clairs, 1m75, mince, avec des fesses assez charnues qui pourraient presque être féminines…De plus, je fais attention à mon corps et fais régulièrement du sport. Ses caresses et le ton de sa voix achevèrent de me décontracter tout à fait et, pour la première fois, je me surpris à répondre à ses baisers et à prendre du plaisir lorsque sa langue se mit à fouiller ma bouche. Après quelques minutes d’embrassades, je décidai cependant de passer à ma position favorite. Après lui avoir longuement léché les tétons et le ventre, je me mis à genoux entre ses cuisses et commençai une fellation dans laquelle je mis toute mon énergie et mon savoir-faire.
Ses soupirs me signalaient qu’il appréciait particulièrement lorsque j’enfonçai sa bite au plus profond de ma gorge, en laissant s’écouler les filets de salive sur ses testicules que je massai en même temps. Sa bite avait désormais atteint sa taille maximum, je n’arrivais plus vraiment à la sucer sur toute sa longueur sans m’étouffer.
Je voulais me donner entièrement
Je sortis un préservatif et lui déroulai sur le sexe tout en continuant à le sucer. Je remontai alors doucement le long de sa poitrine et vins l’embrasser en souriant. J’étais moi-même surpris d’avoir envie de l’embrasser et de lui faire l’amour comme si j’étais une vraie femme. À ce moment-là, j’étais surexcité, mais en même temps, plein de tendresse pour cet homme très beau, si sûr de lui. Je voulais me donner entièrement, lui appartenir, me sentir complètement possédé. Tout en l’embrassant, je positionnai mon anus sur le bout de sa queue et je me mis à pousser doucement. Au début, cela me fit mal et je dus recommencer plusieurs fois avant que son gland ne finisse par pénétrer ma rondelle. Je m’enfonçai doucement et commençai quelques allers-retours tout en continuant à l’embrasser. J’avais encore un peu mal, mais la douleur commençait à s’atténuer, sous l’effet notamment de l’excellent gel dilatant qu’il avait acheté en pharmacie, à un prix assez élevé m’avait-il même précisé. Finalement, la douleur disparut complètement, et je me mis à le chevaucher sans plus de retenue, assis sur son ventre, la tête rejetée en arrière. Lui me caressait le ventre et les seins et me répétait sans cesse :
— Hmm, c’est bon, t’as un joli corps, t’es vraiment bien foutu… hmm.
J’étais bien, empalé sur sa grosse queue, mon sexe frottant sur son ventre, ses mains me parcourant le corps.
Après un temps relativement long, il m’arrêta, et me dit :
— Tu la veux bien profond ?
— Oui répondis-je dans un souffle, totalement abandonné à ses pulsions et aux miennes.
Il me fit mettre à quatre pattes sur le lit tandis que lui se mettait debout à côté. Mes fesses étaient ainsi juste à la hauteur de son sexe. Il m’encula d’une seule poussée, jusqu’à ce que ses couilles viennent toucher les miennes. Après déjà un quart d’heure de pénétration, mon anus était bien ouvert et je ne ressentis aucune douleur. Par contre, je ne pus retenir un cri de surprise et de plaisir mélangé. Jamais de ma vie je n’avais été à ce point rempli, écartelé, jamais je ne m’étais senti aussi bien possédé, jamais je n’avais eu autant envie de m’offrir entièrement à mon partenaire. Commença alors ce qui reste encore aujourd’hui pour moi mon meilleur souvenir de sodomie. Il se mit à me pilonner à un rythme rapide et régulier, en me donnant de temps en temps de petites claques sur les fesses. Il m’excitait aussi de la voix, me traitant de « bonne salope », de « chienne », me disant qu’il prenait son pied, qu’il adorait mon cul, qu’il aimait me défoncer, etc. Il est difficile de décrire mon plaisir à ce moment. Mon cul parfaitement lubrifié et dilaté accueillait son gros sexe sans problème. Avec le gel, j’avais l’impression de mouiller comme une femme. J’étais secoué par ses coups de reins, dans un état second, lui caressant les couilles d’une main, me branlant de l’autre et je sentais mon sexe se gonfler et se tendre. Je le prévins que je n’allais plus pouvoir me retenir très longtemps. Il me demanda d’attendre encore quelques minutes et finalement, au moment où je sentis son préservatif se remplir dans mon cul, je partis dans un orgasme incroyable, inondant littéralement de sperme la serviette que j’avais placée sur le lit.
Il s’écroula sur moi en m’embrassant le cou, et nous restâmes ainsi un long moment immobiles tous les deux, dans un état second. Après être passés tous les deux sous la douche, il me proposa de m’emmener dîner près de l’hôtel. J’acceptai avec enthousiasme et nous passâmes une très bonne soirée, discutant de presque tout, sauf de sexe, sans presque aucune allusion aux moments forts que nous avions vécu quelques heures auparavant. J’appris ainsi qu’il était cadre supérieur dans une entreprise d’informatique, marié, père de deux enfants dont l’un était à peine plus jeune que moi, qu’il aimait rencontrer de jeunes hommes imberbes et passifs de temps en temps lorsqu’il était de passage dans la capitale. Au moment de se quitter, il me demanda de venir passer la nuit avec lui à l’hôtel. L’idée me plaisait, mais je devais me lever tôt le lendemain et craignais d’être en retard pour un rendez-vous important. Il me restait par ailleurs peu de temps pour attraper le dernier métro. Tout en lui expliquant la raison de mon refus, je lui proposai donc de nous revoir vite et, avant de partir, de le faire jouir encore une fois.
— D’accord, me dit-il, mais alors, ne remonte pas dans ma chambre, car je t’empêcherai de partir et tu n’auras pas ton métro.
Comprenant qu’il me lançait un défi, j’avisai un couple qui pénétrait dans un immeuble à côté de nous. Je les laissai entrer, mais retins la porte avec mon pied, de façon à pouvoir pénétrer dans le hall derrière eux. Dès que la lumière du couloir s’éteignit, j’entrai en tirant mon amant par la main. Je le poussai le long du mur, et, en moins de temps qu’il n’en faut pour l’écrire, je commençai une pipe frénétique, sans aucune pudeur ni peur d’être surpris.
— Après tout, me dis-je, qu’est-ce que je risque ?
Mon compagnon, bien que surpris au début de ma réaction, était ravi. Il s’amusa à me guider les mains appuyées sur ma tête, me faisant parfois hoqueter tant sa bite pénétrait loin dans ma gorge. Excité comme il était, il ne fut pas long à jouir. Alors que j’avais, par précaution, presque toujours refusé de recevoir une éjaculation dans ma bouche, je m’appliquai cette fois-là à ne pas en laisser perdre une seule goutte. Je lui nettoyai parfaitement la queue, en pressant même légèrement ses couilles pour recevoir les toutes dernières gouttes. Je me relevai et vis qu’il avait encore les yeux embués de plaisir. Il m’embrassa à pleine bouche et me demanda quand nous pourrions nous revoir. Le lendemain étant impossible pour lui, rendez-vous fut pris à son hôtel le surlendemain. J’avais hâte d’y être. Mais je ne me doutais absolument pas à ce moment-là que mon amant allait aussi devenir un initiateur pour des situations encore plus osées.
Notre deuxième rencontre débuta comme la première. Nous passâmes un long moment sur le lit à nous embrasser, moi à le sucer et lui à me doigter le cul avec un puis deux puis trois de ses doigts qu’il avait enduits de son gel miracle. Curieusement cependant, Marc ne semblait pas pressé de me prendre. À un moment, il s’arrêta et me demanda si une partie à trois me plairait. Un peu surpris, presque jaloux, je lui demandai alors ce qu’il avait en tête. Il m’avoua avec un sourire coquin qu’il s’agissait d’un pur hasard. Il avait surpris récemment l’un de ses collègues et subordonné en train de regarder un site gay sur son portable dans son bureau. Son collègue ne l’ayant pas entendu arriver, il avait eu tout le temps de l’observer en train de se masturber devant des photos de jeunes mecs se faisant sodomiser en direct. Finalement, lorsque son collègue s’était aperçu qu’il n’était plus seul, il avait bien sûr été horriblement gêné et avait demandé à son supérieur de ne rien dire à personne. Ce dernier en avait profité pour lui poser quelques questions intimes et c’est ainsi qu’il avait su que ce parfait père de famille de quarante-cinq ans fantasmait aussi sur les mecs et à l’occasion, invitait dans sa chambre d’hôtel un jeune passif rencontré sur le net pour profiter de son cul.
— Et le meilleur, me dit-il pour conclure, c’est que mon collègue participe au même colloque que moi et qu’il est descendu dans le même hôtel… je lui ai dit tout à l’heure que j’avais rencontré un super bon plan, et que peut-être, si tu étais d’accord, on se ferait une partie à trois.
— Tu as envie de lui ? lui demandai-je.
— Non pas du tout, mais c’est vrai que je suis voyeur et j’aimerais bien de voir te faire baiser par lui…et puis, je me trompe peut-être, mais tu es tellement chaud que je suis sûr que tu as déjà fantasmé sur une telle situations non ?
Là, il avait touché juste, une queue derrière, une autre devant, c’était un fantasme depuis longtemps.......
VOUS IMAGINEZ DONC LA SUITE !