Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

voilà ce que j'ai trouvé sur internet : Si vous voulez obtenir d'un garçon une réaction vive à tous les coups, la torture par les chatouilles est la meilleure façon d'y parvenir.  -lol-

   

     La victime finira, immanquablement par vous supplier d'arrêter, sans pouvoir se contrôler...  

Le garçon peut être nu ou habillé, mais les parties à chatouiller doivent bien sûr être découvertes, c'est à dire, torse et pieds minimum. Mais être nu est tout de même le mieux et le plus jouissif .

Le déshabillage peut très bien faire partie du supplice : dégrafer le pantalon et l'ouvrir, le rabattre sur ses cuisses, et le retirer, tout cela participe à l'excitation et inquiète d'autant plus la victime qu'elle sait d'avance qu'elle ne pourra retenir son érection, dés le début des chatouilles : rares sont les garçons qui savent ce qui les attend et qui ne bandent pas !

Il est indispensable que la victime soit attachée solidement, car elle va se débattre sous vos coups . Plus le corps est immobilisé serré, plus le sujet sera sensible aux chatouilles. Le garçon ne doit pas pouvoir se libérer. Il ne doit pouvoir bouger, ni les bras, ni les jambes. La séance n'en sera que pire...

La meilleure façon de le faire hurler de rire est de titiller sa peau. Le rasage complet du corps, surtout s' il fait partie de la séance, le rend incroyablement sensible. Le rasage, en effet, réveille les sens. Si vous y ajoutez une lotion adoucissante ou une huile pour la peau, l'effet de la torture sera décuplé.

Faire bander un garçon rend son corps hyper sensible. Vous pourrez le toucher n'importe où, il réagira. S'il jouit, vous pourrez, soit continuer, soit arrêter la torture. Car pour un garçon qui vient de jouir, les chatouilles peuvent devenir insupportables. Tout dépend de votre degré de sadisme et de ce que votre victime peut endurer ...

Essayer vos instruments de torture sous les pieds, c'est souvent la partie la plus chatouilleuse. L'effet est, en général, radical. Le but est d'obtenir le rire de la victime, et dire des choses comme "guili, guili, guili" est souvent suffisant pour le provoquer et rendre les sensations insupportables dés le début, car il faut être conscient que, plus le torturé rigole, plus il devient sensible, et plus les chatouilles seront insupportables.

Varier l'intensité et la rapidité des chatouilles pour voir quel est le type de torture qui fait hurler le plus la victime. Profitez-en à fond, chacun est différent et il vous faut trouver les points les plus sensibles et les façons les plus fortes de chatouiller pour vraiment y prendre plaisir.

Une fois que vous aurez commencé, n'arrêtez plus tant que le garçon n'est pas sur le point de perdre son souffle. Laissez le respirer de temps en temps. Donnez vous un mot de code, un mot de passe. Cela lui permettra aussi de vous supplier.

Vaut il mieux prévoir une torture des chatouilles à deux, ou à plusieurs ? tout dépend de vos goûts. Il est clair qu'on peut faire souffrir beaucoup plus un garçon à plusieurs que seul.

Pendant une séance de chatouilles, commencer par un point très chatouilleux, la plante des pieds, par exemple, les aisselles ou les flancs, l'intérieur des cuisses, ... Allez y a fond tout de suite, de façon à ce qu'il démarre au quart de tour. Une fois que vous avez trouvé un point très chatouilleux, vous pourrez explorer le reste du corps, trouvez d'autres zones, tout en revenant à ce point hyper sensible aussi souvent que possible. Plus il rit, plus le reste du corps devient chatouilleux. Cela l'amènera très vite aux supplications. A vous d'en tenir compte. Ou pas.

Il est préférable de commencer les chatouilles en passant délicatement les doigts de haut en bas sur toute la surface du corps que l'on chatouille : bougez les doigts en cercle sous la plante des pieds pour obtenir une réaction plus vive...

 

 

 

 

 

 

 

 

mon rêve !

 

 

 

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Mer 16 déc 2015 1 commentaire
J'adore subir une séance de chatouilles nu et attaché! Je bande comme un taureau!
seb - le 29/01/2018 à 22h13

bonsoir ! tu n'as qu'à venir: on t'en fera et là, je ne suis pas sûr qu'on s'en tienne aux chatouilles !

merci seb et à bientôt

bises et...caresses !  claudio

claudio