Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

les vigiles...ne sont pas de bois ...sauf poour une petite partie de leur corps -lol-     

 

 

 

 

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  hummhhh faire déshabiller les délinquants !  

 

  le nom du magasin est changé    

 

J'avais fini faute de mieux par accepter cette place de surveillant dans lemagasin Dailyed du marché Projean. Pas de tout repos parce que ici y a des bandes de loubards, pas beaucoup de ronds, et les tentations sont grandes de piquer. Ca risquait de ne pas être de tout repos. Je ne me doutais pas que j'en tirerais très vite des plaisirs inattendus.

C'est l'autre surveillant,un grand noir baraqué, genre culturiste, dont la puissance physique me rassurait, au cas où il y aurait de la castagne, qui m'affranchit. Très rapidement, on avait sympathisé : il assumait pleinement son rôle de protecteur et moi je lui apportais mes connaissances en français, en histoire, en culture occidentale. Il était curieux de tout et très chaleureux; et au bout d'une semaine, on était vraiment potes et complices.

Peu à peu, j'appris qu'il s'appelait Alioune, vivait dans un foyer et que la vie de famille, il aimerait bien mais c'était pas la peine d'y penser. Il commença par me parler de son regret d'une femme, puis des ressources manuelles, la branle quoi, et pour finir il avoua, un peu honteux, qu'il se faisait parfois des mecs, mais toujours actif, protestait-il avec cetorgueil du mâle qui ne veut pas, vrai ou faux, laisser croire s'être fait baiser. J'eus d'autant moins de mal à lui dire que moi au contraire, actif ou passif, j'assumais pleinement mon goût des mecs, que c'était une façon de
lui dire "tu me bottes et si tu as envie, n'hésite pas!". Après un moment de gêne, il avait fini par se détendre et dans nos relations amicales se glissait une nuance de familiarité érotique.

Dans le magasin ou de notre observatoire, le petit local entouré de miroirs sans tain qui nous permettait non seulement la surveillance des écrans de la vidéo mais l'observation directe, Il lui arrivait de me toucher la fesse sous prétexte d'attirer mon attention sur un client suspect, de se pencher sur moi en me tenant le cou. Il me laissait entendre aussi que ces fonctions de contrôle avaient leur bon côté: des voleurs pris sur le fait avaient des
complaisances dont on pouvait tirer parti.

Une fille, qui avait volé des bas et qu'il avait emmenée dans le local pour faire le constat, s'était d'elle-même mise à genoux devant lui, l'avait déboutonné et lui avait fait une pipe. Il l'avait laissé partir et elle s'était sauvée en le remerciant,racontait-il en rigolant!


Un jour, il me montra deux petits mecs 16 ou 17 ans, dont l'air dégagé et les allées-venues montraient l'intérêt qu'ils portaient aux caméras de surveillance, sans savoir qu'on était juste à côté d'eux à les regarder."Mignons non? Ils te plaisent pas?" Et comment ils me plaisaient!  j'étais si fasciné par eux que je n'avais même pas compris leur manège, ravi qu'ils aient la bonne idée de passer et repasser devant mes yeux éblouis. Le plus grand, près d'1m80, c'était un noir, fin comme tout, d'allure, de traits, d'attaches : un cou, des poignets d'une extrême délicatesse et de longs cils courbés sur des yeux très doux. Dans cette sveltesse, deux débordements qui la soulignaient et qu'elle soulignait, promesses de plaisirs intenses. Le pantalon de toile beige, qui flottait ailleurs, galbait des fesses
rebondies, presqu'arrogantes, sous les reins très cambrés; et de l'autre côté le tissu tendu par les fesses, moulait un sexe aussi nettement que sous un maillot de bain : long, large, il remontait en oblique vers la ceinture et paraissait sans proportion avec la finesse des autres membres. Il me rappelait Amadou, la biche sénégalaise, qui m'avait tant séduit, mais un Amadou tel qu'il devait être ado. A croquer!

De son copain, maghrébin, marocain sans doute car ce sont les marocains qui ont souvent cette peau mate et lisse, on distinguait moins le corps car il avait un polo et un pantalon larges, dissimulant les formes; mais il avait belle allure -1m70 environ, des épaules larges et un beau port de tête; son visage était un régal et donnait envie de voir le reste : teint mat, éclat des yeux clairs presque verts, cheveux frisés brillants, bouche charnue et comme "Amadou" des cils invraisemblables.

"Tu ne réponds pas! Ils ne te plaisent pas?"

"Au contraire, je suis fasciné" "

J'en étais sûr; moi aussi ils me plaisent bien... Ils sont déjà venus la semaine dernière pour observer. C'est les
piles qui les tentent. S'ils les prennent, on se les fait. Ok?"

Je laissai un "oui" glisser tandis que mon coeur se mettait à battre la chamade : Amadou venait de s'interposer entre la caméra et le rayon et le petit beur de prendre deux packs de piles et de les glisser sous sa ceinture, sans doute dans son slip.

"On les tient. Tire les rideaux pour cacher les glaces et prépare l'appareil photo!"

dit Alioune en sortant de la cabine. Avec cet appareil numérique, on était censé faire une photo du voleur et des objets volés. J'allai le prendre dans le placard, un oeil sur la scène du magasin; je savais ce qu'Alioune qui s'était placé entre la sortie et les jeunes gens leur dirait; c'était toujours la même chose :

"Inutile de résister, vous avez été pris sur le fait et filmés. C'est une broutille et résister aggraverait votre cas. Entrez par la deuxième porte" 

C'est comme si je l'avais entendu. Je vis les jeunes se regarder, hésiter puis se diriger vers le local. Je les vis entrer l'un derrière l'autre, la tête basse;

"bonjour"

Ils relevèrent la tête

"Bonjour, monsieur!" "

Alors, on chaparde?"

 

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Pas de réponse, et un air gêné. Alioune venait de refermer la porte, et de tourner la clé dans la serrure.

"Vous avez le choix : coopérer et il n'y aura pas de drame; résister et c'est la police, procès-verbal,
casier et tout le tintouin, sans compter les parents prévenus. A vous devoir. Vos noms?"

"Amadou"

J'eus un sourire amusé

"Abdelaziz" "

Placez-vous là côte à côte"

dit Alioune en leur désignant le mur du fond devant lequel était une longue table étroite.

"Debout, les mains appuyées en arrière sur la table...C'est pour la fouille"

"C'est pas la peine; voilà ce qu'on a pris"

dit Abdelaziz en esquissant un geste vers sa ceinture.

"Stop! ditAlioune. Tu t'imagines qu'on va se contenter de ce que tu voudras bien montrer. Mais je note que tu as reconnu avoir caché quelquechose là. C'est un bon point. Ne bouge plus! Prends une photo, Edouard!" Aussitôt dit,
aussitôt fait, et sur l'appareil apparut  le photo du jeune mec la main dans le sac, en l'occurrence dans le pantalon et sans doute le slip. La collection allait commencer.

"Allez. En position, les mains en arrière sur la table" Ils obéirent sans trop rechigner et nous regardèrent pour tenter
de déchiffrer nos intentions. "Occupe toi d'Amadou; je prends Abdelaziz, dit Alioune. Tu n'as pas l'habitude, fais comme moi."

Dès lors l'appareil posé sur la table, à portée de main, je fis tout comme lui. Je pris le tee-shirt  et le remontai jusqu'aux aisselles où il se coinça, mais continuai à le tirer vers le haut par le milieu en le tordant pour coiffer la tête
d'Amadou. Ils étaient maintenant tous deux torse nu et aveuglés par leur tee-shirt. Abdelaziz avait protesté "C'est quoi ce machin?" et voulu se dégager la tête, mais Alioune lui avait replacé les mains sur la table : "Tu
préfères les flics et la publicité?" Et il avait cédé.

Amadou lui n'avait rien dit et j'avais cru voir un mouvement sous la braguette quand j'avais, en remontant le tee-shirt, effleuré ses deux pointes de sein avec une lenteur concertée. Apparemment réceptif! Maintenant je dégrafais la ceinture et déboutonnais la braguette, lentement. Je prenais mon temps pour admirer le spectacle et  voir les réactions. En dégageant les deux pans de l'ouverture, je fis apparaître un slip blanc gonflé par une bite qui s'était
mise à bander et dont le gland commençait à repousser la bande élastique de ceinture. Déjà comme ça elle faisait au moins 20 et semblait avoir encore de la ressource.

Alioune en était au même point mais Abdel ne bandait pas vraiment, ce qui ne l'empêchait pas d'avoir un slip gonflé par une bite épaisse au semi repos et par les paquets de piles; il me fit signe, un doigt sur la bouche pour m'inviter à la discrétion, de prendre l'appareil. Je cliquai en toussant pour masquer  le bruit : une de chaque slip gonflé. Je
cliquai aussi quand Alioune descendit le slip du marocain: l'une près des autres, une belle pine qui commença à se déplier avec la liberté retrouvée et les deux packs de Duracell.

"Bon, ben ça y est; vous les avez!"
"Doucement! rien ne garantit qu'il n'y a rien d'autre..."

"Et où je l'aurais mis?"

C'était pas la question à poser... A mon tour j'avais baissé le slip d'Amadou. Il ne cachait, mal d'ailleurs, que sa bite qui me sauta quasi au visage quand je descendis l'élastique; mais quelle bite! 21 ou 22 sur plus de 5, et toute tendue. Les attouchements ne laissaient pas Amadou indifférent et je ne cessai d'effleurer, caresser, soupeser sous prétexte de fouiller. Il coopérait même, écartant les jambes lorsque je glissai ma main entre ses cuisses et sous ses couilles pour verifier s'il n'y avait rien dans le fond du slip. La main gauche portant littéralement les couilles, je réussis à faire un cliché macro de la main droite, et fus ravi du résultat; outre la splendeur des objets en gros plan, la complaisance du mouvement crevait les yeux. Ca pourrait servir.

Pendant ce temps, prenant de l'avance sur moi, Alioune qui avait récupéré les piles, avait baissé le slip et le froc d'Abdel, fouillé ses chaussettes et lui disait de se retourner...

"Tu sais sans doute où les mineurs cachent les diamants qu'ils volent en Afrique? Qui sait si tu n'as pas fait pareil... Penche toi!"

Abdel venait de comprendre :

"Non! je ne veux pas"

Mais Alioune était très fort et Abdel empêtré dans ses vêtements. Il le coinçait les mains dans le dos et la tête
appuyée contre la table : "Non seulement si tu ne te laisses pas faire, tu auras affaire aux flics avec tout ce que ça veut dire, mais en plus je fais circuler les photos où on te voit le slip gonflé par ta bite et les piles, puis la bite sortie à côté des piles volées. Ta réputation sera foutue, tu pourras plus te montrer nulle part. Mieux vaut une petite honte privée vite passée qu'une humiliation publique non?" Abdelaziz, frappé par l'évidence de la menace, avait cessé de bouger et ne disait rien. Quant à Amadou, il s'était laissé retourner sans résistance, soit que les arguments aient porté pour lui aussi, soit qu'il ait eu des goûts qui le rendaient plus disponible, ce dont j'étais quasi certain.

Je pris une dernière série de photos des culs offerts sans prendre cette fois la peine de couvrir le
déclic. "Gel et capote maison, me dit Alioune en me les passant. C'est plus agréable et plus prudent malgré leurs airs innocents." Il ouvrit sa braguette et sortit une bite énorme de plus de 23 sur 5 ou 6. C'était pour moi une découverte et il commenta "Elle te plait, Edouard?" Je pris un air admiratif en dégaînant la mienne tellement plus modeste avec ses 18x4. "Tu devrais l'assouplir avant, dis-je inquiet pour le petit marocain" "T'inquiète!" et il commença à entrer son doigt enduit de gel chauffant dans le cul d'Abdel qui sursauta mais ne dit rien. Il s'était fait une raison.

Moi je me mis aussi à masser le cul d'Amadou avec du gel, mais à ses mouvements et à ses soupirs on voyait qu'il aimait. Je fus le premier à m'enfoncer et il poussa un gémissement, mais de plaisir. Je le ramonai consciencieusement et lentement en lui pinçant les seins parfois, en lui tâtant les couilles. " Je jouis en lui quand Alioune pénétra Abdel et son cri fut couvert par le gémissement d'Amadou qui avait sans se branler éjaculé en même temps que moi. Je me retirai doucement tandis que je voyais à côté Alioune s'enfoncer peu à peu, et que j'entendais Abdel, la surprise initiale de l'effraction passée, souffler à chaque coup de boutoir. "Tu peux
te branler" lui dit Alioune.

C'était une astucieuse tentative de le faire coopérer; elle réussit : Abdel commença à se branler un sexe qui durcit très vite, 19 seulement mais très épaisse, 6 à la base, en forme de pieu. Et du coup il sembla coopérer davantage, prenant  lui aussi son plaisir. Alioune se mit à râler et poussa un 'ooohhh!" de jouissance. Abdel accéléra le mouvement de sa main et jouit 30" plus tard, envoyant comme Amadou une giclée sous la table jusque sur le mur du fond. Il faudrait nettoyer.

Pourl'instant, les queues. Les deux "petits" avaient dégagé leur tee-shirt mais Adbel surtout n'osait pas lever les yeux, tandis qu'Amadou les levait par moments d'un air subreptice, apparemment moins gêné pour lui-même que pour Abdel auquel il jetait des regards sans réponse. Alioune avait attrapé un rouleau de Sopalin, saisi le sexe d'Abdel et le lui essuyait avecdélicatesse, en lui demandant "Alors, c'était si difficile? tu n'as pas aimé?" L'autre, qui se laissait faire, ne répondit pas. "Tu as eu mal?" "Un peu, au début" "Et après, tu as aimé, non?" "Un peu, forcément! mais j'aurais préféré pas..."

Je ne savais s'il aurait préféré ne pas se faire mettre ou ne pas aimer. Sans doute les deux. Pour Amadou, la question ne se posait même pas; je lui avais aussi essuyé le sexe avec une attention et des caresses presqu'amoureuses et il se laissait faire complaisamment. Tandis que je le laissai se rhabiller, j'allai griffonner mon téléphone et le lui glissai discrètement. Il me regarda avec un semi sourire amusé, empocha le papier sans un mot

 "Je peux sortir? Je devrais être chez moi depuis un quart d'heure. Je vais me faire engueuler." "Moins que si t'étais revenu avec unPV et une amende! Oui tu peux sortir." "Tu viens, Abdel? ou on se retrouve au sport cet après-m?" "A cet après-m; je suis pas prêt"

Il était tout songeur en reboutonnant sa braguette. "Pourquoi vous m'avez fait ça? C'est dégueulasse. J'ai honte de moi et devant mon copain en plus." "Mais ton copain, tu t'es jamais rendu compte qu'il aime ça? il a pris son pied, lui; et au lieu de souffrir d'un orgueil mal placé, tu ferais mieux de regarder les choses en face. Si ça t'as déplu, c'est pas un drame;  tu recommenceras pas, et personne n'en parlera plus. Si ça t'as plu, à ton service... C'est peut-être ça qui te dérange. Ca t'a pas entièrement déplu, hein?"

Son silence valait acquiessement. "En plus, je me moque quelquefois d'Amadou à cause de ça, et là il vient de me voir enculer" "Ca, ça t'apprendra! tu devrais plutôt t'en vouloir d'avoir fait chier ton copain avant! Assume et excuse-toi! Ca vaudra mieux" "J'oserai plus regarder les gens en face!" "Pourquoi? tu crois que ça se voit que tu as eu le cul troué par une bite? non seulement, ça ne se voit pas, mais en plus y a pas de honte à ça. Pas plus pour une nana de se faire baiser ou pour un mec de mettre sa pine dans la chatte ou le cul d'une meuf. Quand tu croises les gens, les flics, ou tes profs, ou même ta famille, tu vois pas qui baise qui, où, quand et comment!! Et si les gens te regardent sortir d'ici, c'est à cause du vol qu'ils vont te dévisager, pas parce que tu as une tête d'enculé!"

J'avais pris le relais d'Alioune pour le décomplexer et ces mots brutaux le gifflaient. "Tu as trop longtemps accepté de prendre ce mot pour une injure et maintenant tu te l'appliques. Enculé, c'est pas une tare. Et encore une fois ça regarde personne comment toi, ou n'importe qui, vous prenez votre plaisir. Allez! vas-y! t'as pas de honte à avoir. Si t'as envie d'en parler, tu viens et on cause. Inutile de te dire que si t'as envie de le refaire, Alioune, qui n'est pas plus pédé que toi du reste, se fera un plaisir; et moi j'aimerais bien tater d'un si beau mec" Là il leva les yeux, interloqué de la tournuredes choses. "Ca m'étonnerait. Au revoir".


Trois jours plus tard, j'avais Amadou dans mon lit. Il avait appelé "C'est Amadou. Vous êtes libre?" "Quand? maintenant?" "Oui" Je lui avais donné l'adresse et six minutes après il sonnait. On se voit maintenant régulièrement au moins une fois par semaine. Quant à Abdelaziz, un jour lui aussi m'a téléphoné. "C'est Amadou qui m'a donné votre numéro. Il m'a dit que vous étiez très sympa et compréhensif. Est-ce que je peux vous voir?" "Qu'est-ce qui t'arrive? Un problème?" "Non, mais j'ai besoin de parler. Vous voulez bien?" "Ok, ce soir, vers 18h" Il était arrivé pile et on avait parlé de ses désirs passagers pour le sexe mâle et de sa honte. Il était resté; pendant la nuit, on avait varié les rôles; mais celui qu'il préférait était clairement celui qui lui faisait le plus honte : enculé. Il est revenu
trois fois, et il me semble qu'il s'assume mieux.

Quant à Alioune, il m'a donné à goûter de son énorme engin une dizaine de fois avant de partir pour la Pologne comment chef de la sécurité d'une succursale installée à Cracovie. Sacrés souvenirs, et un Amadou qui doit venir ce soir, à qui je donnerai ce récit à lire, et qui rira de ce rire sonore qui m'enchante avant de m'offrir son cul.N'est-ce pas, Amadou? On y va ?

 

  tendresse ordinaire :    

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copains dans la vie  :

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Jeu 17 déc 2015 Aucun commentaire