Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
1.Fred me disait que je pouvais même plaire aux heteros....le jeune prof de physique que je désire comme un fou...me questionne ...
Non, mais le souci ! il y a un con qui ma piqué ma clé USB et ma sextape va aller dans toutes les mains et même sur le net...
la vie peu ordinaire d'un lycéen +18 en ...2018
ils sont nés en 2000
my dream !" putain ! fais-toii voir dit le prof, toujoursd aussi cash.
11h10… Arrivée remarquée en cours de physique chimie…
UNE BITURE DOUBLEMENT MEMORABLE...
-“Tu as ton mot d'excuse Axel ?
-Promis demain monsieur….
-va t'asseoir on commence !”
"Ca c'est la cl USB camoufléen gomme qu'on m'a piquée.
Elle contient un petit gif que j'ai fait moi même, tiré d'une de mes sextapes. Une meuf etait fan des culs de mecs quand ils baisent. Du coup j'me suis filmé de dos pendant que je faisais semblant de baiser (j'avais coincé ma queue entre deux coussins). Je sais que j'ai un bon cul musclé mais je pensais pas que voir apparaître et disparaître les fossettes au niveau de mes lobes pouvait la rendre aussi folle de moi. Et pas que...” Ces cons avaient subrepsticement branché ma clé sur le portable du prof...et tandis que défilaient les images, tous les élèves* regardaient vers moi, pleins de questions...je devais être rouge...j'avais chaud aux joues.
Je le vois me lancer des regards noirs et interrogateurs durant tout le cours. Hyper difficile pour moi de suivre le cours… Et je ne sais pas trop
ce qu'on eu comme effet les doigts [FRUSTRANTS] de Fred à l'intérieur de moi… Au lieu de les satisfaire, ça a, semble t-il, décuplé mes envies sexuelles. Je m'excite à m'imaginer avec le
prof à me laisser doigter pendant que je le pompe à fond. Avec un plaisir sadique il découvrirait que plus il met de doigts, et plus il les enfonce rapidement et profondément, et plus sa
bite,dans mon fantasme) finit au fond de ma gorge. Il s'autorise de bonnes tapes sur mes fesses… Impossible de suivre le cours dans de telles conditions… En plus j'ai des nausées… Mais si je
vais à l'infirmerie l'infirmière va me sentir alcoolisé… Je suis dans l'impasse… Je dois subir l'assaut incessant de mes pensées perverses. Par moment, imaginant sa barbe dense et noire
frotter mon anus à chacun de ses coups de langue, par moment j'imagine aussi juste lui pomper sa grosse queue sous le bureau lors d'une réunion parent- prof… Avec lui jamais de chantage, je
n'ai jamais dû sucer pour augmenter mes notes… Mais plutôt, en récompense ce serait plutôt mes bonnes notes qui m'autorisent à lui ouvrir le jean pour le pomper longuement et si je dépasse les
15/20 je suis autorisé à recevoir ses magnifiques éjacs faciales…
Bref mes fantasmes me font gonfler la bite, une violente douleur parcourt mon jean trois fois trop serré… Je me déteste dans cette situation… Je ne
suis qu'un pervers fantasmant sur un prof inaccessible…
“Si mon cours t'emmerde Axel, tu me le dis. La porte est là !”
Le côté cash de ce prof m'étonnera toujours. L'élève à côté de moi… Toujours le même que je ne supporte pas et qui me déteste se réjouit de lancer devant toute la classe :
“Msieur ! Axel pue l'alcool à plein nez ! J'ai l'impression d,'être bourré rien qu'être à côté de lui ! -en tout cas, toi, c'est sûr que ton cerveau est loin d'être bourr d'idées lumineuses. -"Axel tu resteras après le cours”
J'admire la répartie de ce prof… Tout le monde était mort de rire, tout le monde à part moi… Mort de honte que tout le monde soit au courant de ma
biture… Et en plus le prof qui veut me voir…
N'oubliez pas de me faire penser à envoyer à ce connard d'élève un des potes de mon grand frère qui se fera un plaisir de lui faire la peur de sa
vie. Si, en prime, il pouvait baiser son trou jusqu'au sang j'en serais ravi… Mes ennemis ? Je n'ai aucune pitié pour eux… Plus maintenant :-(
Quand la cloche retentit enfin, un moment pénible va arriver… Tout le monde sort, l'élève que je déteste me nargue (vous savez vous ? Je le déteste
tellement que je refuse de donner un prénom à ce trou-du-cul) en attendant que tout le monde sorte et que le prof s'approche de moi j'envoie un texto à Nassim et Enzo pour leur demander
s'ils peuvent venir me chercher à cause d'un élève qui me fait chier et dont je voudrais juste qu'ils l'intimident. Du tac au tac ils me répondent sans problème.
Le prof s'avance enfin vers moi, pose ses deux mains sur ma paillasse laissant apparaître ses bras couverts de veines saillantes. Je ne parle même
pas de son jean moulant dans lequel il rentre une chemise cintrée qui permet de bien mettre en valeur que son dos est creux, qu'il a un bon cul musclé et des pecs tellement gonflés et à l'étroit
que la chemise laisse apparaitre son torse entre chaque bouton…
“Laisse moi deviner… Vodka ?”
J'acquiesce d'un petit mouvement de tête, sans dire un mot…
“Une demi bouteille ?”
Je monte mon pouce vers le haut pour indiquer plus…
“Axel…. Je ne te fais pas l'affront de te rappeler les dangers liés à la consommation d'alcool….
- ...
- tu veux en parler ?
- rien de grave je vous assure.
- si c'est grave ! On ne se détruit pas pour rien. Un petit mec comme toi qui a tout pour réussir… Ca me fait mal au coeur de te voir comme ça… Tu
veux qu'on aille voir l'infirmière.”
Ca va trop loin là ! Je me lève pour m'énerver et lui interdire d'aller la voir, malheureusement mon geste fut tellement brutal que ma tête se met à tourner je vois tout blanc et je tombe au sol dans ses bras… Avec une voix faible et douce je lui dis :
-je vous en supplie ne faites pas ça, j'ai fait une bêtise mais je ne recommencerai pas… S'il vous plaît je suis prêt à tout pour votre silence.
Soudain le démon qui contrôle mes pensées refait surface… Et je poursuis mon discours avec une voix beaucoup plus provocante :
“S'il faut, vous pouvez me demander quoi que ce soit et je le ferai. Vous pouvez décider du prix de votre silence. Je saurai être discret et vous obéir au doigt et à l'oeil…”
Je me sens mal à l'aise surtout qu'il me tient toujours dans ses bras. J'ose même poser une main sur son pec droit. Il est brûlant et le contact de
ma main gelée fait pointer son téton. Il m'attrape le poignet pour me retirer de contre lui. Je percois qu'il est déstabilisé mais étant dans son univers pro' il n'avait pas trop d'options au cas
où quelqu'un rentre. Pourtant je sens que mes mots ont eu de l'effet. Je commence à comprendre quel type d'homme je peux amadouer : tous ceux qui aiment que leur virilité soit mise en avant
et donc que leur partenaire soit soumis(et obéissant et s'offre complètement à lui. C'est pour ça que Fred me disait que je pouvais même plaire aux hétéros.
Il se ressaisit et me dit avec autorité :
“Je fais comme si je n'avais rien entendu et je mets ça sur le compte de l'alcool mais que ça ne se reproduise pas Axel.”
[sur l'ordi ...mes potes m'avaient tous envoyé des pics de leurs queues dans tous leurs états dans l'espoir que je leur arrange le coup avec une meuf de mon invention . La fin de soirée fut alors un festival de sextos et de photos provenant de Fred, Enzo et Nassim. Je n’avais plus assez de mains pour répondre aux sextos, me branler et me doigter. Par moment ça devenait presque insupportable de savoir que je me faisais autant de bien en touchant ma queue ou ma rondelle qu’en répondant aux profondes envies de Fred, de complimenter et flatter l’ego d’Enzo concernant chaque partie de son corps, d’inventer une conversation entre Nassim et la fille fictive pour qu’il m’en montre plus en m’en dise plus sur ce qu’il compte lui faire…
Le soir venu c'est avec stress que je me connecte sur skype… Le prof est déjà là…
“-Bsr.
-Bsr.
-je suis vraiment désolé pour le malentendu de tout à l'heure…
- [il s'inquiète pour mes fréquentations (Nassim, Enzo...)]
-Oui [...] ton frère est absent alors méfie toi !
-Comment savez vous que mon frère est absent ??? »
J’ai dû renvoyer des lignes et des lignes de points d’interrogation avant de recevoir un simple « je t’ai entendu en parler dans la cour. Je te
laisse j’ai des copies à corriger »
Argument absolument irrecevable !! je ne le crois pas du tout ! Je suis quasiment sûr de ne jamais en avoir parlé !! Ce problème avec mon frère est
une douleur interne qui me ronge depuis que j’ai découvert ce qu’était le sexe et l’amour, personne au bahut n’est au courant ! à part Fred…
Mon prof vient de s’être fait prendre la main dans le sac, toutefois je ne sais absolument ce qu’il sait, ce
qu’il fait et ce qu’il veut…
En parallèle je reçois un SMS d’Enzo me disant « Travail effectué - plus d’inquiétude à avoir - autres missions ? » Il me fait bien rire
celui là. Il trouve toujours le petit truc qui me fait rire… Je pense néanmoins qu’il était content que je sollicite leur aide pour corriger le mec qui me faisait chier … J’avoue être un peu
chaud ce soir et avant même de tourner mille fois mes pouces avant de répondre, je lui envoie : « Ma prochaine mission n’a rien à voir, mais est tout aussi importante. Jusqu’où est tu prêt à
aller pour m’aider ? »
Sa réponse fut brève, presque automatique : « j’irai au même endroit où ton frère irait en ne déviant jamais de mes promesses »
Si seulement tous les hommes pouvaient être comme lui…
je me suis follement amusé à lire, vous faire goûter et illustrer le début de cette longue histoire gay vous ai-je mis l'eau à la bouche (et pas que, -lol-) ? ...Axel va-t-il réussir ?
- 1 à séduire le prof de physique (ça, à mon avis c'est dans la poche !) ?
- 2 à conclure...?
Pour patienter, écoutons ce merveilleux petit intermède :
oh my love, my darling - I hunger for your touch Tentez le changement, mais je trouve que cette interpretation (originale) est meilleure que cell d'Elvis...
enjoy !
2. CINQ ANS PLUS TARD ... une partie de flipper :
J'entre dans un café en plein centre-ville et commande un demi au comptoir. Le troquet était presque vide, à l'exception d'un couple d'amoureux assis dans un coin isolé et d'un jeune noir d'environ 18 ans légèrement vêtu d'un short en jean et d'un tee-shirt, en train de torturer un flipper au fond de la salle. Ma chope à la main, je me dirige vers lui et m'attable juste à côté. Absorbé dans mes pensées, je le regarde à peine. Au bout de cinq minutes, sa partie terminée, il s'approche de moi et me dit:
— Ça vous dirait une partie de flipper?
Un peu interloqué, je m'apprête à l'envoyer paître mais, voyant son beau visage aux traits fins et ses yeux rieurs, je lui réponds en souriant:
— Avec plaisir! Mais ça va bien faire 3 ans que je n'en ai pas fait. J'espère ne pas avoir trop l'air ridicule...
— Vous en faites pas! Il est plutôt facile celui-là!
Effectivement, après quelques instants, j'arrive à me débrouiller sans trop de honte, et d'autant plus facilement que mon adversaire compatissant m'aide à jouer. Il est à côté de moi devant le flipper et, par moment, son bras passe devant moi pour prendre les commandes. Au début un peu agacé par son manège, je commence à trouver la situation un peu bizarre, d'autant plus que, à chaque fois, comme par hasard, il se glisse entre moi et le flipperet se débrouille por me coller.
Au bout de quelques instants de ce manège, je sens malgré moi une excitation m'envahir. Impossible qu'il ne s'en rende pas compte car mon pantalon de toile légère ne peut cacher mon émoi. Le jeune garçon, tout en martyrisant son flipper, se serre de plus en plus contre moi. Son petit cul bien moulé dans son short se trouve juste à hauteur de ma bosse. Régulièrement, ses fesses cognent ma verge dont la raideur augmente rapidement. Soudain, la partie se termine. Il se retourne vers moi et, avec un sourire charmeur, me dit:
— J'ai l'impression que vous n'êtes pas très branché flipper... Vous pensez à autre chose, pas vrai? Ça se voit...
Je suis tellement embarrassé que je ne sais pas quoi répondre. J'ai l'impression d'être complètement écarlate.
— Soyez pas gêné. Si ça peut vous rassurer, j'pense à la même chose que vous. On s'casse?
— OK, mais où?
— Suivez moi, j'connais un coin tranquille pas loin.
Complètement subjugué, je marche à son côté. Il m'emmène dans un immeuble dans une rue voisine. Pas un chat! Manifestement, il connaît l'endroit car, sans hésiter, il se dirige vers le fond du hall et, derrière une porte, descend un escalier. La lumière éclaire très peu, je le vois à peine.
Après quelques détours dans le dédale de couloirs, nous arrivons dans un local fermé par une porte à claire-voie, à peine éclairé par une ouverture en hauteur donnant au ras du trottoir. Une cave d'immeuble quoi ! Il me fait entrer, referme la porte, se colle contre moi et me gratifie d'un super patin tout en mettant sa main sur mon entrejambe. Ses lèvres fraîches et douces m'électrisent. Le contact de ce jeune corps souple contre le mien, celui de cette main sur mon sexe, tout concourt à me faire perdre la tête... Mes mains le caressent en tremblant. J'ai les réactions d'un jeune adolescent qui fait l'amour pour la première fois.
Paradoxalement, c'est le jeune garçon qui joue les initiateurs. Manifestement il n'est pas novice. Il déboutonne ma chemise et se met à me lécher le torse. Ses mains, en me caressant la poitrine, déclenchent une réaction immédiate: mes tétons se dressent, une sensation de plaisir intense m'envahit. Je suis à sa merci... Pendant que j'enlève ma chemise, il dégrafe mon pantalon, le baisse et saisit ma verge complètement tendue par l'excitation. Il s'agenouille devant moi et commence à me lécher le gland à petits coups, comme si c'était une glace... Puis, avec la pointe de sa langue, il lèche ma queue tout du long, remontant vers mes couilles gonflées et durcies par l'envie, en m'arrachant un râle de plaisir. D'une main, il saisit mes couilles et leur inflige une pression délicieusement douloureuse. De l'autre, il me masse la queue qu'enfin il avale en entier. Fasciné par la vue de ce jeune adolescent dont les lèvres épaisses entourent ma queue gonflée, je perds toute notion de la réalité. À chaque aller-retour, sa langue masse ma bite dans une longue caresse.
Soudain, je sens dans mon cou un souffle chaud. Deux mains puissantes se posent sur mes pectoraux et un corps musclé se colle contre mon dos. Le jeune garçon abandonne un instant ma queue vibrante et complètement ensalivée:
— Ah! Te voilà enfin Ahmed! Tu vas voir, une vraie salope ce mec... Marié, mais prêt à tout.
— T'inquiète pas, Éric, il va être servi...
— Oh oui, j'ai envie d'être baisé à fond... Prends-moi. Encule-moi. J'aime ça...
Pendant que le jeune adolescent reprend son ouvrage, je sens une main s'introduire entre mes fesses moites de sueur et d'excitation. Complètement prisonnier, je ne peux absolument rien faire. Je réussis en tournant la tête à regarder derrière moi. À ma grande surprise, le mec est à peine plus âgé que l'ado en train de me pomper. Il a environ 18 ans, un corps d'athlète et un visage superbe. Son torse, légèrement poilu, est magnifiquement musclé. En passant une main sur son bas-ventre, je trouve un pal de chair chaude, vibrante et dure, d'une taille telle que je n'en avais encore jamais rêvée. Il repousse ma main et, d'un mouvement puissant, introduit son chibre entre mes deux fesses. Instinctivement, je me cambre pour lui faciliter la tâche. Son gland énorme se pose sur ma rosette, à moitié ouverte par l'excitation. D'un mouvement puissant, lent mais régulier, il me pénètre à moitié. Sous la poussée, mes reins se trouvent projetés en avant, ma queue s'enfonce entièrement dans la bouche du jeune éphèbe qui l'avale goulûment.
Son corps complètement collé contre le mien dégage une chaleur et une force peu communes. Je sens mon cul mouler sa queue longue et raide. Lentement, il se retire en déclenchant une vague de plaisir inouïe. Puis il entame des mouvements de va-et-vient réguliers. Je l'accompagne en remuant mon cul autour de la base de sa bite énorme dont je fais à plusieurs reprises le tour avec mon index. Son souffle devient rauque. Il gémit:
— Oui... Vas-y... Remue ton p'tit cul de salope...
À chacun de ses coups, je me trouve projeté contre le visage fin du jeune adolescent. La sensation procurée par la douceur de sa peau se frottant contre mes cuisses contraste délicieusement avec la belle brutalité du mec qui m'encule... Le jeune ado me suce avec fougue, s'aidant de ses mains pour caresser mes couilles, augmentant ainsi la sensation de plaisir offerte par sa langue qui enserre ma queue comme une main chaude et humide.
Au bout de dix minutes de son manège, Ahmed se raidit et, dans un râle de jouissance, décharge son foutre à longs traits dans mon corps. Sous l'effet du plaisir, je gicle à mon tour dans la gueule de l'adolescent qui, à son tour, lâche son jus sur le sol.
Quelques instants après, honteux d'avoir tant apprécié d'avoir baisé avec ces deux mecs, je me rhabille rapidement. Ahmed me lance alors:
— Super ton cul! Reviens quand tu veux, tu sais où nous trouver!
Tout en m'enfuyant comme un voleur, je me dis que j'aimerais bien pouvoir bientôt recommencer
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