Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

pour se complaire à publier des images comme celles-là tout en criant sa haine il faut être homo refoulé. Une évidence !   

L’homosexualité est un péché mortel !

13 février 2010 REPRODUIT TEL QUEL si les photos s'effacent tu peux cliquer sur le lien du site pour les voir, ça vaut le coup !

https://lebloglaquestion.wordpress.com/2010/02/13/lhomosexualite-est-un-peche-mortel/ 

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L’homosexualité masculine doit être spécialement stigmatisée

car l’acte de sodomie

est condamné très fermement par l’Église car jugé dégradant et impur.

 

Il faut être clair, l’homosexualité est un péché grave, un péché mortel ! Elle représente une tendance contre-nature abominable, une situation contraire à l’épanouissement spirituel de l’âme. L’homosexualité masculine doit être spécialement stigmatisée car l’acte de sodomie est condamné très fermement par l’Église car jugé dégradant et impur.

La sexualité humaine ne peut pas être dissociée de la possibilité de la reproduction, ou du devoir conjugal, ayant pour finalité le don de la vie. La sodomie, l’homosexualité masculine, sont donc des signes de la perversion humaine. L’homosexualité porte atteinte à l’altérité des sexes et à leur différence. Elle est une non reconnaissance de la différence des sexes et de l’altérité divine.

La sodomie est un crime, un infâme péché, elle présente un danger pour l’humanité car en soi elle menace la survie de l’espèce humaine et donc elle est d’une gravité équivalente au meurtre. Le philosophe Philon d’Alexandrie, qui vécu au Ier siècle de notre ère, affirmait déjà : « Non seulement ils efféminaient leurs corps à force de mollesse et de sensualité, mais ils travaillaient à la ruine de tout le genre humain, ils provoquent la dépopulation des villes, la raréfaction de l’élite de la race humaine

 

 

sculpture 2e siècle av jc  : hermaphrodite

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« La sodomie est un crime, un infâme péché. »

 Le livre de la Genèse, raconte le jugement par le feu de Sodome et Gomorrhe, deux villes remplies d’homosexuels. (C’est de là que vient le terme sodomie). Dieu dit à Abraham, à propos de ses habitants : « Ce qu’on leur reproche est énorme.  » (Génèse XVIII, 20)

Dans le Lévitique, les lois données par Dieu à Moise, la condamnation est sans équivoque :

« Si un homme couche avec un homme comme on couche avec une femme, ils ont fait tous deux une chose abominable; ils seront punis de mort: leur sang retombera sur eux. » (Lévitique XX, 13). 

Dans le Nouveau Testament la condamnation est toujours aussi claire :

« C’est pourquoi Dieu les a livrés à des passions infâmes : car leurs femmes ont changé l’usage naturel en celui qui est contre nature; et de même les hommes, abandonnant l’usage naturel de la femme, se sont enflammés dans leurs désirs les uns pour les autres, commettant homme avec homme des choses infâmes, et recevant en eux-mêmes le salaire que méritait leur égarement. » (Romains I, 26,27)

Dans les Évangiles la question de l’homosexualité est abordée par le biais de l’histoire de Sodome, et s’emportant contre la cité de Capharnaüm, Jésus a ces mots, expliquant que les péchés de Capharnaüm étaient plus graves que ceux de Sodome :

painting1

« Et toi Capharnaüm, est-ce que tu sera élevée jusqu’au ciel? Tu seras abaissée jusqu’aux enfers; :car si les miracles qui ont été faits dans tes murs, avaient été faits dans Sodome, elle serait :restée debout jusqu’à ce jour. Du reste, je te le dis, il y aura au jour du jugement, moins de rigueur pour le pays de Sodome que :pour toi.” (Matthieu XII, 23-24)

Saint Paul, une fois encore, n’hésite pas non plus, et met les homosexuels (efféminés) dans la liste de ceux qui n’iront pas au paradis :

« Ne savez vous donc pas que les injustes n’hériteront pas du Royaume de Dieu ? Ne vous y trompez pas ! Ni les débauchés, les idolâtres, ni les adultères, ni les efféminés, ni les pédérastes, ni les voleurs, ni les accapareurs, ni les ivrognes, ni les calomniateurs, ni les filous n’hériteront du Royaume de Dieu. » (1 Corinthiens VI, 9-10).

« Ni les débauchés, ni les homosexuels,

ni les pédérastes, n’hériteront du Royaume de Dieu. »

Dans l’Europe chrétienne, dès les premiers siècles, l’homosexualité devient un crime contre l’ordre naturel défini par Dieu et pouvait mener au bûcher si la sodomie se doublait de pédérastie. Au XIIIe siècle l’homosexualité sera même considérée comme une hérésie, et fut combattue par l’Inquisition, sous le nom de bougrerie. Il faudra attendre 1790, et les funestes lois révolutionnaires, pour que le crime de sodomie fut aboli.

carlo Dolci saint sébastien    

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Les personnes homosexuelles sont appelées à la chasteté.

Ainsi l’Eglise, bien que distinguant toujours le pécheur et le péché [Pour le Catéchisme de l’Église Catholique§ 2359 : « Les personnes homosexuelles sont appelées à la chasteté. Par les vertus de maîtrise, éducatrices de la liberté intérieure, par la prière et la grâce  sacramentelle, elles peuvent et doivent se rapprocher, graduellement et résolument, de la perfection chrétienne »], condamne fermement l’homosexualité, et la regarde comme une désorientation majeure car elle considère que l’Homme (au sens général, hommes et femmes), est comme le temple de Dieu, et que le corps ne doit pas être soumis à des actes dégradants, scandaleux et impurs.

Tout dernièrement, Benoît XVI, alors cardinal, dans une lettre adressée en 1986 aux évêques de l’Église catholique, décrivait l’homosexualité comme un « mal moral, un désordre objectif qui est contraire à la sagesse créatrice de Dieu ». Selon ses termes : « Un souci spécial devrait être porté sur les personnes de cette condition, de peur qu’elles soient menées à croire que l’activité homosexuelle est une option moralement acceptable. »

 L’homosexualité est un penchant contre-nature !

En 2003, la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, réaffirmait :

« Reconnaître légalement les unions homosexuelles ou les assimiler au mariage, signifierait non seulement approuver un comportement déviant, et par conséquent en faire un modèle dans la société actuelle, mais aussi masquer des valeurs fondamentales qui appartiennent au patrimoine commun de l’humanité».

En fait, l’Église rappelle ainsi que la reconnaissance juridique de l’union entre des personnes de même sexe vient contredire un principe universel pour elle : c’est par l’union d’un homme et d’une femme qu’a été fondée la société.

Pour l’Église catholique, considérer que chaque orientation sexuelle est un modèle social comme un autre, est une idéologie dangereuse pour le bien commun. Le Catéchisme met également en garde contre le déni de la différence sexuelle aux fins d’assouvir le désir d’être parent. La revendication de l’homoparentalité porte un danger anthropologique, car une loi universelle incontestable détermine que seuls un homme et une femme peuvent concevoir un enfant naturellement. L’exigence de parentalité homosexuelle entraîne donc une désincarnation de la sexualité et une objectivation de l’enfant (l’enfant devient l’objet de l’assouvissement du désir de parentalité).

L’Église considère que ce problème est suffisamment grave pour refuser la communion aux hommes politiques qui défendent le mariage homoparental, dans la mesure où ils s’excluent d’eux-mêmes de l’enseignement de l’Église

Ainsi donc, redisons-le avec fermeté, il ne peut y avoir aucune complaisance pour l’homosexualité qui est un penchant contre-nature, un péché mortel, et il ne sera jamais question, même sous la pression des lobbys gays et homosexuels et de leurs provocations malsaines, d’une quelconque reconnaissance par l’Eglise, sous prétexte de tolérance, de cette scandaleuse désorientation !

      ____________ndlr  (note de la rédaction) _____________________

Pôvres mecs !

ils voudraient que ça nous fasse horreur, mais ça nous fait HONNEUR ! ça   nous plaît  et ça va faire des émules !  

On ne pouvait pas mieux nous persuader de rester "droits dans nos bottes"

 

 

 

 

Mar 24 nov 2015 Aucun commentaire