Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
un gars qui l'aurait jamais fait...ça manquerait à son expérience ! Noé, 16 ans en 2011.
Noé découvre la vie
Je métais informé sur le net mais c'est mon cousin qui m'avait passé ce bon coup.
Je voulais pas me louper. Malgré le charme des amours ados, je m'étais juré de ne pas le faire avec un mec aussi puceau que moi. J'avais le mail du type en question. Mon cousin Jérémie me l'avait donné. Je voulais mettre toutes les chances de mon côté et j'écrivis ce mail : « Salut, j'ai été en contact avec plusieurs de vos amants. Ils m'ont affirmé que vous les aviez dépucelés. Je cherche moi aussi à me faire dépuceler. Je suis gay et j'ai vraiment envie. S'il vous plaît je veux vraiment me sentir un "homme". Contactez-moi s'il vous plaît. »
Le soir même j'avais la réponse à mon mail tant attendue. Il me disait : « Ouais, pourquoi pas. T'as quel âge ? Je donne pas dans la nurserie. Et sache que si j'accepte, c'est surtout pour moi. Ton plaisir, je m'en branle ». Bon, heureusement que je ne lui ai pas dit que j'avais 16 ans. Il allait falloir que je la joue serrée. Je lui répondis par un nouveau message : « Je sais. J'ai presque 18 ans. Je suis puceau. Je suis mince, mais pas efféminé. Blond, les cheveux courts et les yeux verts. Vous voulez qu'on se rencontre ? »
J'avais eu ce que je voulais. Un rendez-vous. Dans un café, d'accord, mais c'était déjà ça. J'étais peinard pour le week-end, mes parents étant allés voir mes grands-parents. A ma demande ils me laissaient de plus en plus souvent seul J'ai pris grand soin dans ma tenue. Je pris une longue douche bien chaude. Je me suis lavé avec un savon à l'amande douce. J'ai consciencieusement nettoyé mon sexe, mes fesses, allant jusqu'à enfoncer un doigt plein de savon dans mon anus. J'aimais faire ça de temps en temps, mais là, je voulais sentir bon partout. Je me suis séché, et je suis allé dans ma chambre. Je me regardais dans le miroir. Bon, j'étais un ado de 16 ans, et il fallait que je marque des points. Première chose à enfiler, un caleçon. Je savais qu'il en faisait collection. J'ai essayé un premier, puis un second. Mais même constat. Même s'ils m'allaient bien, ils ne me mettaient pas en valeur. J'ai tapé dans mes vieux boxers taille 10/12 ans. J'en avais un, un free-gun bigarré avec une dominante violette. J'ajustai mon sexe dedans. C'était bien mieux. J'étais bien serré dedans. Puis j'enfilai des chaussettes noires qui allaient bien avec mes chaussures de ville. Là aussi, l'adolescence avait commencé à montrer ses effets. J'avais pris 4 pointures en 2 ans, et je faisais maintenant du 41. Je pris une chemise blanche et l'enfilai. Elle était bien cintrée et proche de la peau. Je finis par un jean noir lui aussi serré à la taille. Je me regardais dans le miroir. Me voir ainsi me mis aussitôt en érection, renforçant encore ma sensualité. Pas besoin de pull ce soir. Mais j'en ai quand même mis un de côté que j'emporterai au cas où la nuit se rafraîchirait. Je repassai dans la salle de bain afin de peaufiner ma coiffure. J'avais les cheveux mi-longs et j'essayais de leur donner un aspect volumineux. Enfin prêt, je sortis de chez moi, avec une petite boule au ventre. Je me suis rendu au café.
Je repérai tout de suite celui qui allait devenir mon initiateur. Ouahh. Mon cousin ne m'avait pas menti. Il était barraqué. Son tee shirt, trop petit pour lui moulait chacun des muscles de son bras et de son torse. Il avait les épaules carrées et un visage carré, sec. Je me suis approché. Il me dit de manière très désagréable :
– Tu veux quoi ? T'as pas ton chocolat chaud qui t'attend chez maman ?
Bon c'était mal barré, mais je persistai. Je lui demandai :
– Vous êtes bien Nino ?
Il me répondit, en se levant :
– Casse-toi petit con, dit-il, je fais pas dans le gamin.
– Je ne suis pas un gamin.
– En tout cas tu n'as pas presque 18 ans.
– Si ! je suis plus proche de mes 18 ans que de ma naissance.
Il se rassit. Visiblement, je l'avais touché. Il m'invita à m'asseoir. Il me dit :
– Bon alors, qu'est ce que tu veux p'tit con. T'es complètement barré de sortir le soir à la rencontre d'inconnus.
– Ben vous n'êtes pas inconnu, mon cousin, vous l'avez dépucelé l'an dernier. C'est lui qui m'a parlé de vous.
– Et tes parents ?
– Non, ça c'est pas vous qui les avez dépucelés.
Il rit. Et toc, un nouveau point de marqué. Heureusement que j'ai de la répartie
– Non, en fait il sont en week-end chez mes grands-parents. Mais moi, les vieux, ça me saoule.
– C'est pour ça que tu viens me rencontrer, je suis quoi moi, si je ne suis pas un vieux.
– Ouais, mais vous c'est pas pareil.
– Ah, je suis un gentil monsieur à qui tu demande gentiment de te voler ton innocence ?
– Vous me la volez pas puisque je vous la donne.
– Bon, admettons que j'accepte, que veux tu de moi ?
– Que vous me dépuceliez.
– Tu sais ce que ça veux dire ?
– Ça va, j'ai 16 ans, je ne suis pas un perdreau de l'année !
– Comment t'appelles-tu ?
– Noé. Et vous ?
– Nicolas.
– Qu'as tu déjà fait ?
– Je me masturbe depuis que j'ai 10 ans. Ça fait presque 1 an que j'éjacule. J'ai déjà pratiqué la fellation sur mon cousin deux fois et je n'ai jamais rien fait avec mon anus, à part me mettre un doigt quand je me masturbe.
– Eh bien, ça c'est direct. Donc tu suces, tu gicles et tu te branles. C'est bien tout ?
– Oui.
– Qu'attends-tu de moi ?
– Je veux que vous me sodomisiez.
– Pourquoi ?
– Pour mes hémorroïdes, répondis-je sérieusement.
– Bon, on fait quoi, continuai-je.
– Tu viens chez moi, mais juste pour continuer la conversation. Je n'ai pas dit que j'allais te baiser ce soir.
– Ok ça me va.
Gagné, J'avais gagné. On allait dans son appartement. Et quel appartement. Il était spacieux, pas de bordel. Intimidé, je quittai mes chaussures. J'avais mal au ventre, le stress certainement, imaginant la suite des événements. Il me proposa :
– Bière, Whisky, Cognac ?
– Ca va pas, je bois pas, je suis trop jeune, répondis-je.
Je voulais surtout avoir les idées claires, et puis j'avais envie que la boule que j'avais au ventre disparaisse.
– Tu es trop jeune pour boire mais assez vieux pour avoir envie de baiser ?
– Ben oui, j'ai des valeurs ! Je veux bien une tisane si vous avez.
– Bon, c'est toi qui vois, mets toi à l'aise, je te prépare ça.
Il s'éclipsa. Pendant ce temps, je regardais les bibelots classieux qu'il avait dans son appartement. Je me rendis compte que la majorité des objets étaient des représentations de sexe en érection, mais de façon très artistique. Il revint dans le salon, avec ma tisane et un verre à la main. Je lui dis :
– Bon, par quoi on commence ?
– Comment ça, par quoi on commence ?
– Ben oui, je vais pas vous faire un dessin.
– Je t'ai dit que je te faisais monter pour discuter pas pour te baiser.
– C'est ça. Juste pour causer. Bien sûr, dis-je d'un air faussement contrit
– Ok, si c'est ce que tu veux vraiment, mais avant il faut que tu comprennes que je suis pas un tendre. Quand je baise, je baise, je me fous de savoir si la personne que j'encule a mal ou pas.
– Je sais, mon cousin m'a dit.
– Pourquoi tu ne demandes pas à ton cousin ?
– Tout simplement qu'il est passif et quand j'ai essayé avec lui, il n'a pas pu.
– Ok. Alors d'abord tu vas me faire le plaisir de te foutre à poil. Pour t'enculer ce sera plus facile.
Je m'exécutai. Je déboutonnai ma chemise, l'enlevai et la posai sur une chaise. Je retirai ensuite mon pantalon et mes chaussettes. J'étais en boxer. Je savais qu'au moment où j'allais l'enlever, il ne serait plus question de revenir en arrière. Puis je descendis mon boxer. Il me détaillait. Je sentais son regard sur moi et je commençais à avoir une légère érection. J'allais poser mon boxer quand je me souvins qu'il faisait collection des sous-vêtements des mecs avec qui il couchait. Je lui lançai le boxer et lui dis :
– Tenez, c'est pour votre collection, c'est mon cousin qui m'a dit... A votre tour, maintenant
Il n'hésita pas un instant et enleva tous ses vêtements. J'étais soufflé par la virilité de cet homme. Mon cousin était une crevette à côté. Il était vraiment costaud. Des pectoraux développés, des bras, des cuisses musclées. Des abdominaux très bien dessinés. Il était velu sans excès du torse jusqu'au pubis. Je m'arrêtai sur son sexe. Je ne pus m'empêcher de dire :
– Ouah il est gros votre pénis.
Il me sourit et me dit
– Tant que je bande pas, tu peux encore faire demi tour. Après il sera trop tard.
Je me suis approché de lui et je lui dit :
– Non, je reste, mais elle mesure combien, je pensais pas que c'était possible d'en avoir un aussi gros.
– Tu n'es pas mal non plus pour ton âge. Tu n'auras pas une bite aussi grosse que la mienne je pense, mais tu es déjà bien équipé pour un chiard. Pour ton info, elle mesure 21 cm quand je bande, et vu ta main, tu n'en feras pas le tour.
Maintenant que j'y étais, je n'allais pas faire demi tour. J'avais le souvenir de la bite de mon cousin dans ma main. J'ai approché ma main de son sexe. Je la posai dessus et la pris en main. Je lui dis :
– Ben si, regardez !
– Arrête de causer et fais moi bander maintenant, tu verras bien.
Je me suis mis à genoux sur la moquette. J'ouvris ma bouche et embrassai son gland. J'ai ouvert un peu les lèvres et je commençais à jouer avec ma langue sur son bout pas encore décalotté. Il sentait fort, mais ce n'était pas désagréable. Ça ne sentait pas l'urine, juste l'odeur musquée d'un homme. Au bout de quelques secondes il bandait complètement. Avec ma main, je tirais sur la peau pour le décalotter complètement. Il avait une bite impressionnante. Il m'attrapa par les cheveux et me força à en prendre plus dans ma bouche. J'avais mal à la mâchoire. Je sentais dans ma bouche et à l'entrée de ma gorge son sexe bandé. Je ne pouvais pas en prendre plus. Je le suçais comme je pouvais. Ça faisait un bruit énorme de succion.
Tout à coup il se retira. Il n'était vraiment pas tendre. Il me tira par les cheveux pendant qu'il s'allongeait sur le canapé. Je compris qu'il voulais que je continue à le sucer pendant qu'il me sucerait à mon tour. Il goba toute ma bite dans sa bouche. Il me goba les couilles aussi. J'essayai d'en faire autant, mais j'étais tellement submergé par les émotions que je faisais probablement n'importe quoi. Je sentis soudainement un de ses doigts mouillés forcer violemment l'entrée de mon anus. Au bout de quelques minutes je sentis un deuxième puis un troisième doigt me dilater mon fion. J'étais aux anges. Je suçai sa bite comme je pouvais, mais je me tortillais sous l'action de sa préparation. Il m'aspergeait le trou du cul d'un gel qui permettait à ses doigts de mieux glisser. Quand ses doigts furent remplacés par sa langue, je fus submergé par une vague de plaisir inconnu. La branlette que je lui offrais était de plus en plus erratique. Soudain, je sentis son sperme gicler dans le fond de ma gorge. Surpris, je me suis mis à tousser et je reçus le reste de son sperme sur mon visage. Je lui dis :
– Vous m'auriez prévenu, j'aurais pu tout avaler.
– Ouais, mais bon, t'es mignon avec du sperme sur le visage. Viens par là.
Je m'allongeais sur son ventre et son torse. Il m'enserra de ses puissants bras. Je sentais son sexe bandé contre mon pubis. Je bandais comme un âne . Il m'embrassa. C'était tout aussi intense et puissant que le reste de ses caresses. Il continuait à masser ma rondelle et à élargir l'entrée de mon intimité avec ses doigts.
Bandant toujours comme un âne, il me fit mettre à quatre pattes sur le canapé, les cuisses et les jambes très écartées. Je sentais l'air frais sur ma rondelle. Je pense que je devais bien être ouvert. Il me dit :
– Je te préviens, quand j'aurai commencé, je ne m'arrêterai plus.
– Non, allez-y.
– Alors détend-toi, quand tu sentiras ma bite sur ta rondelle, tu pousseras comme si tu avais envie de chier. Tu peux gueuler, j'ai pas de voisins.
Je sentis une pression sur l'entrée de mon anus. Il poussait doucement pour essayer de rentrer son gland. Putain que c'était gros. Je n'arrivais pas à me détendre. Puis je sentis qu'il me pénétrait. La douleur fut intense. Tellement intense, que j'ouvris grand la bouche et que je hoquetais sans arriver à sortir un son. Je sentais sa bite entrer toujours plus profondément. Puis il s'arrêta. Je le sentais pousser mais il n'arrivait pas à aller plus loin.
Tout à coup, il donna un violent coup de rein et je sentis sa bite rentrer tout entière dans mes boyaux. Sous la douleur je me suis mis à hurler très fort. La douleur était vraiment intense. Mais petit à petit j'acceptais le corps étranger en moi. Il en profita pour me chuchoter :
– Ca y est, dit-il, je viens d'aligner ton colon tes sphincters et tes boyaux dans l'alignement de ma bite. Vu la taille, si tu mets une main au niveau de ton nombril, tu sentiras mon gland.
Je mis une main pour vérifier ce qu'il me disait. Je ne sentis rien de particulier. Par contre je pouvais sentir sa bite au plus profond de mes entrailles. Je pleurais de douleur, mais je ne voulais pas arrêter maintenant. Je bandais plus fort que jamais. Au bout de quelques instants, il commença à se retirer, puis il se renfonça. La douleur allait et venait en s'atténuant. Je commençais même à prendre du plaisir. Surtout qu'il s'occupait de ma bite en même temps. Il allait de plus en plus vite avec des va et viens de plus en plus importants. Je gémissais maintenant sous ses coups de boutoir. Il avait une main sur mon épaule alors que l'autre m'astiquait ma bite. A chaque coup j'avais l'impression de recevoir la ruade d'un cheval et il m'arrachait à chaque fois un petit cri aigu. J'ai éjaculé sur son divan. J'ai senti cette fois ci que j'avais spermé bien plus que d'habitude, ce qui me fit sourire inconsciemment. Puis dans un dernier coup de boutoir, je sentis un liquide chaud remplir mon ventre. Il venait d'éjaculer à l'intérieur de mes intestins.
Quelques secondes plus tard, il retira sa bite et ça fit un drôle de bruit quand il sortit de mon anus. Il me dit :
– Allez, file prendre une douche et casse toi.
Je suis allé dans la salle de bain et pris une longue douche. En sortant, il prit ma place. J'étais exténué mais comblé. J'avais mal au cul, mais ça en valait la peine. J'avais la tête qui tournait. Je ne me suis pas rhabillé de suite. Je me suis allongé sur le canapé qu'il avait nettoyé.
Je me suis réveillé dans son lit. Il était toujours à poil. Visiblement, je m'étais endormi et il m'avait couché avec lui. Il bandait. D'instinct, j'ai commencé à le sucer. Il soupirait. Je pensais qu'il était en train de faire un rêve porno dont j'espérais être la star. Puis je sentis une main dans mes cheveux qui me caressait. Je le regardais pendant que je le suçais. Plus doux que la veille il me dit :
– Mhhh Noé, C'est trop bon de se faire sucer au réveil par toi. Mhh continue.
Je continuai ma fellation. Au bout de quelques minutes, il me dit :
– Attends, on va voir si hier je t'ai bien ouvert. Couche toi sur le côté.
Je m'exécutais. Je sentis une noix de gel frais sur mon anus. Il releva ma cuisse avec sa main. Je sentis sa bite contre mon cul. Il poussa. J'offris beaucoup moins de résistance que la veille, et la progression de sa bite dans mes entrailles fut plus aisée que la veille. Il me lima une dizaine de minutes avant de répandre sa semence dans mon cul. Il resta ainsi un bon bout de temps avant qu'il ne débande et décule. Je sentais son sperme suivre le mouvement et sortir de mon rectum.
Enfin, il me dit :
– Noé, tu fais quoi ce soir ? Tu veux découvrir de nouvelles choses ?
– Oui, répondis-je.