Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

     "viré" GAY ? Résultat de recherche d'images pour "gay leaning over an office colleague'S SHOULDER"  hein ? moi aussi ça me questionne ...  

  NOUVELLE BOÏTE  

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  NOUVEAU(X)   COLLEGUE(S° 

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  "-Je suis crevé, et toi ? et si on allait se faire un squash ?"

 

 

 

 

Tout commença par hasard. Dans ma nouvelle boîte, un de mes collègues, Thierry me proposa d'aller faire un squash. J'acceptai et nous nous retrouvâmes dans un club où il a manifestement ses habitudes.

Aprés avoir perdu, j'allais me déshabiller pour prendre ma douche: les vestiaires donnent sur de grandes cabines de douches individuelles, avec un banc. En me dirigeant vers l'une d'elles, j'aperçois un surprenant spectacle par une porte restée ouverte: un jeune homme bien monté est en train de se faire sucer par une jeune femme assise sur le banc. En m'apercevant, le jeune homme me sourit et, un peu décontenancé, je me dirige vers une douche, avec un début d'érection.

Thierry m'a suivi de près, et rentre avec moi dans la douche:

— "Ça t'a plu, on dirait!"

— "C'est toujours agréable à regarder..."

— "Ça te plairaît d'y avoir droit?"

— "Bien sûr, tu la connais?"

— "Ferme les yeux et ne bouge pas."

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Je m'exécute, et quelques instants plus tard, je sens une main saisir mon sexe et commencer à me le caresser: je sens la main remonter doucement des couilles vers le gland, et recommencer. L'effet ne se fait pas attendre, et je me mets à bander fort.

J'entends le bruit d'une serviette qu'on étend sur le sol, je sens l'haleine d'une bouche s'approcher de mon sexe dressé, et deux lèvres douces se poser sur mon gland, d'abord avec une sorte d'hésitation, puis elles me l'enrobent doucement, et la bouche me gobe le gland avec douceur, presque avec tendresse.

ayé elle me suce, waou !  

Je sens la langue qui tourne autour de mon gland, qui joue avec... Ses mains sont posées sur mes fesses, et me les écartent généreusement.

C'est alors que j'ouvre les yeux, et je reconnais Thierry. J'ai un mouvement de recul, je retire mon sexe de sa bouche.

— "Hé, ça va pas!"

— "Quoi, ça n'a pas l'air de te déplaire," me répond-t-il en souriant...

— "C'est pas le problème, t'es un mec!"

Thierry se relève, et j'aperçois son sexe en érection je suis un peu surpris: sans être très gros, il est beau, bien proportionné.

— "Tu n'as jamais touché un sexe d'homme?"

Il prend ma main et la dirige vers son sexe dressé. C'est à la fois dur et doux. Subjugué, je commence à caresser le bout de son gland, doucement d'abord, puis un peu plus vite. Je regarde ma main sur ce sexe, je suis fasciné. Je m'humecte les doigts de salive, et recommence mon manège. Puis, en entendant Thierry pousser un petit soupir, je regarde son visage: ses yeux sont fermés, il est tendu...

J'accélère un peu le mouvement, son expression se crispe davantage. Je commence à me rendre compte de mon emprise sur lui, et ce pouvoir m'excite! Je bande terriblement, et commence à me caresser de ma main libre. Il a dû sentir mon mouvement, il ouvre les yeux, et semble vouloir reprendre la situation en main.

Il me pousse vers une paroi, je m'adosse. Il s'agenouille et entreprend de me ressucer, avec vigueur cette fois. Ses mains courent sur mon sexe d'abord, puis me massent doucement les couilles. Il s'interrompt un instant, se mouille les doigts. Il entrepend de m'ouvrir les fesses, et je sens sa bouche sur mon sexe, un doigt qui joue doucement avec mon anus, qui me le viole tout doucement. Je le sens qui s'enfonce en moi, de plus en plus, et ça m'excite. Soudain, il me retourne: je suis appuyé contre la paroi, il me dit de reculer mes pieds et d'ouvrir légérement les cuisses. Je m'exécute.

Toujours à genoux, il me saisit les fesses à pleines mains, me les ouvre et je sens sa langue se poser sur mon anus. Je suis hyper-excité, je ne sais plus où j'en suis... Sa langue joue un peu avec ma rondelle, se fait plus pressante, je la sens pénétrer en moi et ce contact me donne un plaisir jusque là inconnu. Je gémis, j'en redemande. Je sens un doigt m'envahir, de plus en plus profondément. Un second tente de le rejoindre, mais je me raidis.

— "Tu me fais mal!"

— "Laisse-toi faire."

 

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  Le charme est rompu, il le sait. Je sens aussitôt ses mains se rediriger vers mon sexe. À nouveau il me tourne, me reprend avec sa bouche. Il engloutit mon sexe jusqu'au bout, le ressort, recommence. Son rythme est lent, régulier. Il me regarde, et dans ses yeux je vois où il veut en venir. Il n'a pas à attendre, je sens le plaisir monter, et cette fois je m'y abandonne totalement. Je gémis doucement en éclatant dans sa bouche. Lui continue à me pomper, jusqu'à ce qu'épuisé, je débande. Un peu de sperme coule le long de son menton.  

— "Merci," lui dis-je.

Pour moi, c'est terminé, je suis flageolant, et vais m'asseoir sur le banc.Le sperme, même si c'est le mien,  me dégoûte un peu

— "Ce n'est pas fini, regarde moi..."

Effectivement, son sexe est fièrement dressé.

 

Je comprends bien qu'à mon tour je devrais le soulager, et je m'y prépare sans être vraiment motivé.

_____________imagine la suite___________________

Je ne me suis jamais imaginé sucer un mec, même pas en rêve. 

 Rien ne m'oblige à sucer ce gars...

-1  si je le suce, je prouve qu'un événement entré de force dans ma vie m'a fait changer d'orientation sexuelle...la théorie de l'homosexualité acquise triomphe !-2 Si au contraire, je n'ai pas besoin de faire effort pour dire "non", je prouve que la nature de chaque être est innée.

   

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sexualité choisie, optée ou vécue et subie ?  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

un blog de la Tribune de Genève :

http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2015/10/10/race-homosexualite-la-peur-des-mots-270837.html

 

 

  ** Une histoire gay
Texte paru le 1999-08-28 par Beuch   

Ce texte a été reçu d'un internaute anonyme. Il a été impossible d'en vérifier la source et/ou confirmer à l'adresse email reçue.

 

 

 

Mar 10 nov 2015 Aucun commentaire