Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

  sauf mon consentement qui était acquis, ça pourrait passer pour un viol "dans les règles"  

 

   

 

 

 

 

 

 

 

 

 

    Une pine et un mec que j'avais maté longuement

 

si c'est ma bite que tu cherches, c'est ma bite que t'auras.

Je n'ai pas le temps de répondre, sa main avait déjà saisi la mienne pour la placer entre ses cuisses. Là, je sentais des grosses couilles et sa bite encore molle mais pourtant si longue et si volumineuse. J'étais terrifié mais également excité par tout ça. Il frottait encore et encore et la réaction fut imminente.

 

J'essayais de me détendre au maximum pour le laisser me remplir. Dès qu'il a senti un relachement dans mes parois, il a continué sa progression. Ça n'en finissait pas. Je sentais mon trou du cul s'écarter de plus en plus. J'avais peur qu'il se déchire tellement mon amant était large. Il s'arrête enfin. Cette sensation bizarre d'avoir un corps étranger au beau milieu de ses entrailles est grisant. On ne sait pas exactement où l'on se trouve, on a mal mais on aime quand même. C'est indéfinissable. Quand il a entendu que j'avais arrêter de geindre, il a commencé à me baiser purement et simplement. Au départ assez lentement (je pense qu'il avait un peu pitié) mais il est rapidement passé à un rythme plus animal. Sa bite coulissait en moi et je prenais petit à petit de plus en plus de plaisir. C'était de véritables coups de bite que je me prenais. Il faisait d'amples mouvements de hanches pour s'insérer et me violer dans toute la longueur de son épaisse queue. Il a vite fait chaud et il s'est mis à se déshabiller. Je me suis retourné et j'ai pu admirer le corps que j'avais imaginé plus tôt dans le métro. Il était pas mal musclé et surtout très, très poilu du torse. Ses biceps étaient bandés et des veines parcouraient ses bras. J'avais très envie de le caresser. Toujours en me baisant, il enserre mes hanches se colle à moi. Je sens alors son corps brûlant et transpirant contre mon dos. Cela me donne de terribles frissons qui démultiplient mon plaisir. Je sens son haleine de bière dans le cou alors que sa barbe me griffe les épaules. Je me sens de plus en plus à l'aise avec sa bite en moi et je commence à lentement regagner le contrôle de mes sphincters. J'en joue pour resserrer davantage mon anus et lui procurer encore plus de joie.

Cela doit maintenant faire une dizaine de minutes qu'il me viole contre son mur et j'adore toujours autant. Je me sens possédé, animé de luxure. J'en veux plus. Mon amant est très bon dans ce qu'il entreprend et mon petit cul vierge s'en souviendra longtemps. À ma grande surprise, il se met à me mordre les épaules et le cou, et les lèche sans vergogne. Il accélère alors ses mouvements et je m'apprête à recevoir le fruit de notre coït. Mon trou du cul brûle et sa semence va éteindre le feu qui s'y trouvait. Son corps se tend, son étreinte devient puissante, presque douloureuse, et il se bloque dans mes fesses, profondément. Il est sur la pointe de ses pieds quand il transfère son sperme de ses couilles vers le fond de mon anus. Je ressens alors les pulsations de son dard contre mes parois intimes. Une autre sorte de chaleur m'envahit alors : son jus est expulsé violemment en moi. Tout devient humide et c'est à ce moment-là que je jouis à mon tour. Mon amant accompagne la fin de son éjaculation de quelques coups profonds supplémentaires. Il reprend son souffle alors que sa queue est encore encastrée dans mon cul maintenant devenu glissant. Il s'en amuse encore continuant sa saillie quelques minutes encore. J'aurais presque envie qu'il éjacule à nouveau. Mais à mon grand désarroi, il se retire, lentement, laissant mon trou orphelin. Même son sperme décide de s'enfuir. Par curiosité, je glisse quelques doigts dans ma fente. J'étais souillé : j'avais une flaque de jus qui n'en finissait pas d'en sortir. Mon anus était extrêmement sensible et chaque contact m'envoyait une décharge de plaisir. J'étais tellement excité que j'avais envie de lui sauter dessus pour recommencer. Mais il a déjà enfilé son boxer malgré sa bite encore à moitié bandée. Il était beau, là, grand, fort, transpirant, dominant, super bon coup… Il me pressa de me casser en me tendant mon pantalon. Avant de passer le seuil, il me dit :

  • Tu sais où j'habite.

 

 

Ven 6 nov 2015 Aucun commentaire